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samedi 23 avril 2011

Sarkozy peut fanfaronner devant les paysans français , pour se faire sécher sur l'affaire Parmalat qui concerne tous les producteurs de lait européens et surtout français, pour ,info elle a été implantée dans le Puy de Dôme elle avait surtout ,des intérêts en Normandie



Pour son info voici quelques coupures de presses de l'AFP  , juste pour vous dire qu'une fois de plus les paysans vont payer les conneries de Lactalis et de Parmalat pour la grande joie des actionnaires de l'agro-alimentaire ; mais enfin vous pouvez toujours téléphoner à la femme à Sarko . Mais au fait vous êtes sûr que l'on a affaire à un chef d'état ?

Si les riches de ce pays manœuvrent si bien cette marionnette vous aurez compris pourquoi , quand aux paysans 
Ils peuvent encore pendre les fourches , d'autres avant nous on pris la bastille!

ROME (Italie) - Le groupe français Lactalis a annoncé mardi s'être emparé de 29% du capital du groupe agroalimentaire italien Parmalat en rachetant 15,3% aux fonds d'investissement étrangers Zenit Asset Management AB, Skagen AS et Mackenzie Financial Corporation.

Lactalis a précisé dans un communiqué qu'il rachèterait toutes les actions ordinaires détenues par ces fonds au prix de 2,80 euros par action. "L'accord sera exécuté ce jour", a indiqué Lactalis.
"Au terme de cette opération, le groupe Lactalis détiendra une participation directe et potentielle représentant environ 29% du capital de Parmalat", selon le communiqué du groupe publié à la demande des autorités boursières italiennes.
Mécontents de la gestion de Parmalat, les fonds norvégien Skagen, canadien Mackenzie et suédois Zenit s'étaient alliés en janvier avec l'ambition de faire du groupe l'un des leaders mondiaux du secteur après avoir débarqué le patron de Parmalat, Enrico Bondi.
L'action Parmalat cédait 3% à 2,38 euros vers 8H45 GMT après la suspension de la cotation pendant une quarantaine de minutes à l'ouverture.
Lundi soir, le groupe Lactalis avait annoncé avoir poursuivi sa montée dans Parmalat et détenir directement et indirectement 13,67%.
Le groupe français avait pris tout le monde de court jeudi dernier en annonçant qu'il détenait 11,42% de Parmalat et était donc devenu le premier actionnaire du groupe italien, dont le capital est très éclaté.
Lactalis avait indiqué qu'il entendait poursuivre sa montée au capital mais sans dépasser le seuil des 30% qui l'obligerait à lancer une OPA.
Face à cette offensive de Lactalis, le gouvernement italien avait annoncé réfléchir à des mesures pour défendre les entreprises du pays quand elles sont jugées "stratégiques".
Le groupe de luxe français LVMH vient de s'offrir le joaillier Bulgari et EDF discute avec les actionnaires italiens d'Edison pour parvenir à un accord sur le contrôle de l'électricien. Groupama devait prendre une part de la holding Premafin avant la fin des discussions cette semaine. La compagnie aérienne Alitalia est par ailleurs détenue à 25% par Air France-KLM depuis 2009.
Dans ce contexte, l'ambassadeur de France en Italie, Jean-Marc de La Sablière, avait été reçu dès jeudi par le ministre de l'Economie Giulio Tremonti et le sous-secrétaire à la présidence du Conseil Gianni Letta, le bras droit de Silvio Berlusconi, pour être informé de la position de Rome qui voudrait des "règles de réciprocité".
Pour barrer la route à Lactalis et aux fonds, le gouvernement italien a indiqué être "très favorable" à une alliance d'investisseurs de la péninsule. La banque Intesa-San Paolo pourrait en être le pivot tandis que le groupe laitier Granarolo et le géant du chocolat Ferrero (Nutella, Kinder) ont fait part de leur intérêt.
Lactalis, déjà très présent en Italie avec Galbani, a présenté sa liste de candidats pour le conseil d'administration de Parmalat qui doit être renouvelé à la mi-avril. Cette liste publiée par Parmalat ne contient pas le nom de l'actuel patron du groupe, Enrico Bondi.
Par AFP
Lactalis-Parmalat: ouverture d'une enquête en Italie

ROME — Le Parquet de Milan a ouvert une enquête pour faire la lumière sur les opérations financières menées par le groupe français Lactalis, après sa montée au capital du groupe agroalimentaire Parmalat, ont rapporté les médias italiens.
Selon l'Ansa, l'enquête porte sur des anomalies présumées dans des mouvements de capitaux enregistrés depuis février, qui pourraient faire apparaître un délit tel que la manipulation de marchés.
Pour sa part, le groupe Lactalis a affirmé "avoir toujours opéré de façon correcte" et "attendre sereinement de connaître les développements de cette affaire", dans un communiqué publié en début de soirée.
Le groupe français Lactalis a annoncé mardi un accord avec les fonds d'investissement étrangers Zenit Asset Management AB, Skagen AS et Mackenzie Financial Corporation pour leur racheter 15,3% de Parmalat, portant ainsi sa participation à 29% du groupe italien.
La semaine dernière, le groupe français avait déjà pris tout le monde de court en annonçant qu'il détenait une part de 11,42% de Parmalat et qu'il était donc devenu le premier actionnaire du groupe italien dont le capital est très éclaté.
Lactalis avait indiqué qu'il pourrait poursuivre sa montée au capital mais sans dépasser le seuil des 30% car cela l'obligerait à lancer une OPA.
Cette montée au capital du groupe agro-alimentaire a suscité l'ire du gouvernement italien qui a adopté des mesures de défense des joyaux économiques du pays.
Fleuron de l'économie italienne, Parmalat, dont le nom reste associé à l'un des krachs les plus retentissants d'Europe, compte aujourd'hui 14.000 salariés dans une quinzaine de pays, d'abord en Italie mais aussi au Canada, en Amérique du Sud, en Australie et en Afrique du Sud.
Troisième producteur mondial de lait avec un chiffre d'affaires de quelque 9,4 milliards d'euros (dont 60% générés hors de France), Lactalis (marques Lactel, Président) compte 126 sites de production répartis dans 24 pays et emploie 38.000 salariés dans le monde.













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