Concombre - 2 juin 2011 - Et si la bactérie Escherichia coli provenait du laboratoire P4 de Hambourg ?
Cet article donne une liste d’éléments qui prouve qu’il est bel et bien possible que la toute nouvelle souche de bactérie Escherichia coli qui a tué presque 20 personnes ayant séjourné en Allemagne pourrait bien provenir du laboratoire de "haute sécurité" de Hambourg, qui est l’un des très rares laboratoires de la planète à pouvoir faire des expériences sur les bactéries et virus les plus dangereux. Ceci n’est pas une accusation, mais une question. Il s’agit juste d’envisager aussi cette piste, puisqu’aujourd’hui toutes les pistes sont ouvertes.
L’épicentre de l’épidémie est Hambourg en AllemagneBonjour à toutes et à tous,
Commençons par remarquer que les concombres espagnols sont maintenant hors de cause et qu’on commence à accuser tous les produits maraîchers. Une chose de sûre, c’est que la région la plus touchée est celle de la ville de Hambourg et paraît-il que toutes les personnes atteintes sont passées par l’Allemagne. Le centre de cette nouvelle épidémie n’a rien à voir avec l’Espagne, mais avec Hambourg en Allemagne.
Une souche inconnue jusqu’alors
Une autre chose de sûre, c’est que la souche bactérienne d’Escherichia coli en cause dans l’épidémie est une toute nouvelle souche inconnue jusqu’alors. En voici la preuve par le biais d’une dépêche de l’agence Reuters :
http://fr.news.yahoo.com/quatorze-d…
Extrait :
« La souche de la bactérie en question, décelée dans des concombres importés d’Espagne, est inconnue, ont fait savoir les autorités, avant une réunion de crise à Berlin. »Quand la souche d’une bactérie est inconnue, la question se pose de savoir s’il s’agit d’une nouvelle souche fabriquée artificiellement par l’homme grâce à la haute et bienveillante technologie OGM :
http://mai68.org/spip/spip.php?article1162
Ceci est très possible, puisque le centre de l’épidémie est Hambourg où se situe un laboratoire de "haute sécurité" destiné à faire se reproduire les microbes les plus dangereux, tels les virus de classe 4 comme Ebola par exemple, afin de faire diverses "expériences".
De tels laboratoires sont très rares…
Comme par hasard, une souche inconnue de la bactérie Escherichia coli apparaît non loin d’un tel labo, alors que de tels laboratoires sont très rares… On comprend que les Allemands aient assez vite eu des doutes sur le fait que la bactérie vienne d’Espagne. D’autant plus que, comme par hasard aussi, tous les malades sont passés par l’Allemagne. Sans exception à ce jour !
Source pour le labo de Hambourg : Infections virales émergentes
http://revue.medhyg.ch/print.php3?s…
Extrait :
Les virus de classe 4 sont des pathogènes qui demandent un niveau de sécurité maximal pour leurs manipulations ainsi qu’une législation extrêmement stricte. Moins d’une dizaine de laboratoires dans le monde remplissent les conditions draconiennes de sécurité nécessaires pour procéder au diagnostic d’un patient, pour étudier ces agents ou pour développer des tests diagnostiques. Ces règles strictes sont compréhensibles, sachant que pour pouvoir réaliser ces deux dernières activités par exemple, ces virus doivent être multipliés à des millions d’exemplaires à l’aide de cellules en culture ou d’animaux, avec tous les risques potentiels que cela comporte. La majorité de ces laboratoires habilités se trouvent aux Etats-Unis, mais plus près de chez nous, le Bernhard Nocht Institute à Hambourg ou le laboratoire P4 de l’INSERM à Lyon sont aussi actifs dans ces domaines. »Il y a déjà eu au moins un accident dans ce laboratoire de Hambourg.
source : Accident de recherche sur le virus d’Ebola : une chercheuse en quarantaine
17 mars 2009
http://www.google.com/hostednews/af…
Extrait :
Une chercheuse a été placée en quarantaine après s’être piquée avec une seringue qui avait contenu le virus de la fièvre mortelle Ebola, a annoncé mardi la clinique universitaire de Hambourg.De plus, ce qui est curieux, c’est la virulence de cette bactérie.Jamais aucune souche de cette bactérie ne l’avait été autant. Normalement, c’est une bactérie inoffensive. On en a tous des milliards dans notre corps !
La chercheuse, qui travaille dans un laboratoire de haute-sécurité à l’Institut des maladies tropicales de Hambourg, s’est piquée jeudi à la main à travers ses gants de protection, a précisé la clinique dans un communiqué.
"Comme elle ne montrait à ce moment-là aucun symptôme, il n’existe aucun risque de contamination pour les personnes qui ont été en contact avec elle", souligne l’établissement.
La souche du virus qui était contenue dans la seringue étant mortelle à 90% et "en l’absence de tout moyen prophylactique ou de traitement, il a été décidé, en accord avec des experts internationaux, de lui appliquer un protocole personnalisé, basé sur un vaccin testé avec succès au stade pré-clinique aux Etats-Unis", poursuit la clinique.
Les labos de haute sécurité, ou P4, travaillent couramment sur la bactérie Escherichia coli.
Voici en effet ce que raconte Wikipedia sur Escherichia coli :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Escher…
Extraits :
Découverte en 1885 par Théodore EscherichRemarque : la biologie moléculaire est la science des OGM (Organisme Génétiquement Manipulés)
…
E. coli constitue alors tout au long de la vie de l’hôte l’espèce bactérienne dominante de la flore anaérobie intestinale. E. coli est sans doute l’organisme vivant le plus étudié à ce jour : en effet, l’ancienneté de sa découverte et sa culture aisée (division cellulaire toutes les 20 minutes à 37 °C dans un milieu riche) en font un outil d’étude de choix. La profusion de publications scientifiques qui la mentionnent en témoigne, et elle joue le rôle de « cheval de labour » dans tous les laboratoires de biologie moléculaire.
La piste d’une toute nouvelle souche d’Escherichia coli ayant été artificiellement fabriquée à Hambourg est donc une piste qu’il serait imprudent de négliger.
Si cette bactérie provient effectivement du Bernhard Nocht Institute (le laboratoire de haute sécurité — P4 — de Hambourg), alors la question se posera de savoir si elle s’est échappée accidentellement de ce labo, ou si elle a été répandue volontairement.
Notons toutefois que si la bactérie s’est échappée accidentellement d’un labo, c’est alors très probablement de celui de Hambourg, puisque cette ville est l’épicentre de l’épidémie. Mais que si elle a été répandue volontairement, alors elle a pu être fabriquée n’importe où dans le monde.
Si c’est un accident, l’enquête sera alors close, il faudra "seulement" en tirer les conséquences.
Mais si on se dit qu’il est possible qu’une telle bactérie ait été volontairement utilisée pour contaminer des aliments, biologiques de surcroît, une autre question se pose. Et elle est essentielle :
Quel est le mobile du crime ?
S’il y a eu effectivement crime, peut-être la réponse à la question du mobile tient-elle dans une question SMS que j’ai entendue à C dans l’air sur France 5le 31 mai 2011 :
« Culture bio = engrais naturel = excréments = Escherichia Coli. vive le bio ? »
(Explication : Escherichia coli se trouve à l’état naturel dans les intestins de tous les animaux et est normalement inoffensive)
Réponse :
Et si cette bactérie d’une toute nouvelle souche inconnue jusqu’alors avait été commanditée et jetée volontairement sur des aliments bio par des industriels de l’agro-alimentaires pour faire de la propagande anti-bio, prétendant que la nourriture industrielle est bien plus sûre que le bio ?
Je tiens à préciser qu’à plusieurs moments, dans cette émission sur France 5, j’ai eu l’impression que l’on faisait de la propagande contre le bio et pour la bouffe industrielle !
Comprenons-nous bien, Je n’accuse pas France 5 ni les participants de cette émission, ni même son animateur, d’avoir intentionnellement fait de la propagande anti-bio, mais peut-être sont-ils tout simplement tombés dans un piège monté par des industriels de l’agroalimentaire qui auraient empoisonné des aliments bio avec une souche mortelle d’Escherichia coli dans le but de "prouver" que le bio c’est pas aussi bien qu’on le pensait.
Voilà, je répète que je n’affirme pas ici qu’il s’agisse d’un coup monté. Je n’affirme pas même que cette nouvelle souche, inconnue jusqu’alors, d’Escherichia coli provienne effectivement d’un quelconque laboratoire P4. je dis seulement qu’il est indispensable d’envisager de faire des recherches sérieuses sur cette piste.
Merci pour votre attention,
Meilleures salutation,
do
http://mai68.org
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