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samedi 27 août 2011

Quand il s'agit de défendre leur "patrons" les états n'hésitent pas , les USA viennent de distribuer 700 milliards de dollars à leurs patrons banquiers : combien faudrait t'il pour sauver de la faim les ens de la corne oriental de l'Afrique? ASSASSINS!


L’agence Bloomberg News a publié les chiffres, qu’elle a pu se procurer sur la base de la Loi sur la liberté de l’information. Morgan Stanley aurait reçu 107,3 miliards de dollars, Citigroup 99,5 et Bank of America 91,4 miliards. Parmi les autres heureux beneficiaries de cette manne : la Royal Bank of Scotland et l’ UBS suisse.
New York –En 2006, alors que les prix de l’immobilier atteignaient des sommets, Citigroup et Bank of America étaient les reines incontestées du secteur financier US. Ensemble, les 10 plus grands établissements financiers US faisaient état de 104 milliards de bénéfices. Deux ans plus tard, l’effondrement du marché immobilier obligeait ces mêmes établissements à emprunter 669 milliards de $ à la réserve Fédérale, un chiffre resté secret jusqu’à maintenant. Selon Bloomberg News, le sauvetage du système financier par le président de la Banque centrale US Ben Bernanke aurait coûté plus de 1200 milliards de $ aux USA.
Selon les données obtenues par l’agence de presse fondée par le maire de New York, Michael Bloomberg, se fondant sur le Freedom of information act (loi sur la liberté de l’information), Morgan Stanley aurait reçu 107,3 miliards de dollars, Citigroup 99,5 et Bank of America 91,4 miliards. Mais les établissements financiers US n’ont pas été les seuls bénéficiaires de ces prêts, qui ont aussi été fournis à des banques européennes. Au moins la moitié des 30 plus grands établissements financiers ayant reçu des fonds serait en fait européens. Selon Bloomberg, la Royal Bank of Scotland aurait encaissé 84,5 milliards de dollars et l’UBS suisse 77,2 miliards.
Le montant des prêts fournis par la fed à la date de décembre 2008 sur la base de ses sept différents programmes de soutien à l’économie était de 1200 milliards, soit trois fois le budget fédéral de cette année-là. Pour faire une comparaison, le TARP (super-plan de sauvetage du secteur bancaire US approuvé par le Congrès) s’élevait en tout à 700 milliards.
« Nous avons conçu nous programmes d’urgence pour contenir la crise et réduire les risques financiers pour le contribuable US », a expliqué le vice-directeur de la Division des affaires monétaires de la Banque centrale US, James Clouse, qui a tenu à souligner que « presque tous nos programmes ont été menés à leur terme. Jusqu’à présent, nous n’avons pas constaté de pertes et nous n’en attendons pas à l’avenir ». Bloomberg estime que les 1200 milliards distribués par la Banque centrale US auraient suffi à éponger les 6,5 millions d’emprunts hypothécaires sur des biens immobiliers dont la valeur est inférieure au montant du prêt.

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