Sept gendarmes ou plutôt 7 fusibles ont été inquiétés après la visites de Nicoléon 1er au Mayet de Montagne ; un peu facile quand même !
le "dispositif " au Mayet de Montagne : çà ne rigole pas! |
Les faits : lors de la visite du locataire de l'Elisée dans l'Allier , un militant "Sud "avait été retenu à la gendarmerie le temps de la visite... mais voila cette action n'est pas sortie du cerveau des gendarmes , car au moment ou ce militant était "arrêté , ,je partais pour le Cher et l'Indre et Loire ou nous allions en visite chez un médecin pour notre fille , au moment ou j'arrivais au bout de mon chemin, nous avons croisé une voiture de gendarme , j'ai été surpris d'en voir au moins 4 à l'intérieur , ma première réflexion a été de dire à mon épouse , "et ben je sais pas ce qui se passe " puis nous avons continué notre chemin , vers les 10H 30 , j'ai reçu un coup de fil de gens qui participaient à l'organisation de la virée , de "Mosieur" me demandant ou j'étais , surpris je répond , "et bien dans le Cher comme prévu" et mon correspondant de me répondre soulager , "Ha bon parce que les gendarmes te court après!" devinez ma surprise , à ce moment j'ai fait le rapprochement avec la voiture de gendarme au bout de ma route , et qui ne m'ont pas reconnu car j'étais en camping car , et de mon point de vue ils n'ont pas réagi ....
Pourquoi je raconte tout çà , et bien pour une raison simple , les gendarmes répondaient à un ordre , le préfet de l'époque avait donner l' ordre de suivre de très près les "agitateurs potentiels" " ils auraient même déclaré selon mes même sources (que je crois fiables) "je veux tout savoir même si ils vont pisser" !
Monzani le préfet de l'époque! en pleine explication de son "dispositif " pour la visite de Sarko, "il parait que nous ne sommes que des minables"........ |
Donc ce ne sont pas les gendarmes qu"il faut inquiéter, mais bien le préfet de l'époque , d'autant qu'il sait ce qu'il dit quand t'il déclare au journal " La Montagne" "je crois sincèrement que les gendarmes sont innocent" et pour cause!
Enfin bref , nous vivons une époque formidable!!!!!
souriez ! Vous êtes filmés...
RépondreSupprimerNous vivons bien dans une démocratie, n'est-ce pas. Mais avec le temps les mots sont comme les gens, ils vieillissent, perdent de leur souplesse et de leur vigueur. Dans le récit que tu reprend aujourd'hui, la démocratie est à l'hospice boiteuse et maigrichonne, de sa jeunesse il ne lui retse plus guère que quelques souvenir de rencontres avec la liberté, l'égalité ou la fraternité... Aujourd'hui elle déambule dans les couloirs blafards de son enfermement au rythme du cliquetis des articulations mécaniques de son déambulateur. Elle n'a plus guère de visites depuis qu'elle est veuve du scrutin et que la grande famille de ses enfants a choisi l'abstention.
Alors bien sûr son regard sur le monde s'est terni, son esprit s'émousse avec pour seul spectacle du monde celui de la petite lucarne qui lui fait croire aux propos de saltimbanques qui manie sans modération le bâton de la peur et la caresse hypocrite.
Aujourd'hui aussi, nombreux sont ses enfants, qu'ils soient naturels, légtimes ou d'adoption qui montent la garde, ils sont sont tellement convaincus que le partage du pouvoir les en priverient qu'ils confinent mami démocratie dans les couloirs des assemblées d'élus, ne lui concédant que quelques sorties en voyage organisé dans des espaces de "démocratie participative", ou de "démocratie active", ou de "démocratie citoyenne"... C'est un peu comme la sortie des enfants à Mickey land ou au parc Sarkozi... les grandes personnes s'imaginent que les enfants ont besoin de ces monstres mécaniques à fric pour apprendre à s'amuser et s'amuser à apprendre ENSEMBLE.
Il ne faut pas se bercer d'illusions, la démocratie, comme les hommes qui la font, n'est pas immortelle. Sa survie est intimement liée à la capacité des citoyens à assurer sa descendance, sans citoyens politiquement puissants, sans organisations politiques actives et mobilisatrices, sans vie sociale et culturelle riche, instituant le fameux "vivre ensemble" dans la vraie vie, autrement que dans les sloggans et les discours, sans conscience politique aiguisée, la démocratie se meurt en vieille essseulée.
Depuis 1789, et même avant quand les Jacques levaient leurs fourches sous les murs des châteaux, les peuples ont su faire vivre la démocratie...Mais ils ont plus souvent oublié de bien l'entretenie en acceptant des locataires du pouvoir qu'il se l'approprient.
Napoléon, quelqu'en soit le numéro, Thiers ou Pétain, pour les plus anciens avaient bien enterré la démocratie française. Le peuple de France a su la faire revivre. Aujourd'hui il nous faut la sortir des griffes de ses fossoyeurs du moment.
L'engagement citoyen et militant des communistes en serait un bon moyen.
L'heure n'est pas à mettre le drapeau dans la poche quand le pouvoir fait pister ses supposés opposants par les forces de l'ordre. Qu'il sache au moins que la résistance existe !