Pour la France, ce capital est supérieur à six fois le montant du budget net de l’État. Quant à l’Europe, ce capital est gigantesque.
Nous pouvons matraquer à longueur de journée sur internet l’expression : « Capital de la Dette publique », cette formule ne sera jamais reprise par aucun média. Allez comprendre ?
Comment se construit le capital de la Dette publique ?
Bien sûr, à l’origine on trouve cette célèbre loi « Pompidou-Giscard » qui interdit à la Banque de France de financer les investissements de l’État et qui contraint l’État français à emprunter aux banques privées.
Lesquelles banques privées ont, elles, le droit de créer des chiffres monétaires (L’argent dette).
Cette loi « Pompidou-Giscard », certains ne se privent pas de nous l’étaler comme la cause unique de la situation. Un peu comme si le problème s’arrêtait là.
Une politique délibérée du gaspillage
En fait, l’explication majeure, nous l’avons tous devant les yeux tous les jours :
- Inciter à l’irresponsabilité ;
- Générer la misère et les malades ;
- Encourager les facteurs de désordres et de misères ;
- Financer à outrance le monde politico-associatif nuisibles et les entreprises politico-religieuses malfaisantes ;
- Courir après la Croissance.
Le PIB est l’indicateur de la Croissance
Le PIB est la somme totale de l’ensemble des facturations publiques et privées :
- Un accident de la route est source de PIB ;
- Les malades produisent du PIB ;
- Tout vandalisme produira du PIB ;
- Une tempête dévastatrice produira un énorme PIB ;
- Tout gaspillage est compté en PIB ;
- Etc. Il n’existe pas de limite.
Seul le bénévolat ne produit pas de PIB. Mais, le bénévolat bien orchestré par des spécialistes produit souvent de la misère.
L’oligarchie au pouvoir (Qui a main mise sur le capital de la Dette publique) sait très bien que pour produire du PIB, il suffit de générer de la misère et des malades.
Qu’elle soit matérielle ou cérébrale, la misère est le fondement de la société de l’argent !
(Le malade, l’industrie première.)
Quand le PIB augmente, le pays fait de la croissance. Quand le pays fait de la croissance, il s’enrichit. Quand le pays s’enrichit, c’est de l’argent pour ceux qui en ont besoins. Va sans dire, de l’argent pour les riches. Pour être pauvre, on n’a pas besoin d’argent.
L’Europe
Face au gigantisme du capital de la Dette publique de l’ensemble des pays européens, chaque pays ne pèse pas lourd.
Récemment, l’ancien Premier Ministre Grec « Georges Papandréou » a bien compris qu’il devait abandonner son projet de référendum imbécile. Lequel référendum proposait, ni plus ni moins, à la population de se prononcer sur les mesures imposées par l’Europe pour rembourser la Dette grecque.
L’aide européenne
L’Europe est généreuse comme on n’imagine pas !
Les chiffres en milliards d’euros, sortis de nul-part, vont gonfler directement la bulle des marchés boursiers (argent fictif, de l’encre noire sur du papier) sans passer par l’économie active.
Naturellement, c’est à l’économie active que l’on demande de rembourser (en argent vrai, de l’argent qui sent la sueur). On comprend donc le désarroi des populations concernées.
L’Europe est soumise au dictat de l’axe CIA-VATICAN
Qu’ils soient de « droite » ou de « gauche », les élus politiques sont au seul service du capital de la Dette publique. Ils n’ont pas de compte à rendre à la population.
Dans cette Europe dominée par les curés, l’argent sert à créer les problèmes. Non pas à les résoudre ! D’ailleurs, pourquoi les résoudre ?
Les curés vivent de la misère qu’ils produisent.
http://n-importelequelqu-onenfinisse.hautetfort.com
Nous pouvons matraquer à longueur de journée sur internet l’expression : « Capital de la Dette publique », cette formule ne sera jamais reprise par aucun média. Allez comprendre ?
Comment se construit le capital de la Dette publique ?
Bien sûr, à l’origine on trouve cette célèbre loi « Pompidou-Giscard » qui interdit à la Banque de France de financer les investissements de l’État et qui contraint l’État français à emprunter aux banques privées.
Lesquelles banques privées ont, elles, le droit de créer des chiffres monétaires (L’argent dette).
Cette loi « Pompidou-Giscard », certains ne se privent pas de nous l’étaler comme la cause unique de la situation. Un peu comme si le problème s’arrêtait là.
Une politique délibérée du gaspillage
En fait, l’explication majeure, nous l’avons tous devant les yeux tous les jours :
- Inciter à l’irresponsabilité ;
- Générer la misère et les malades ;
- Encourager les facteurs de désordres et de misères ;
- Financer à outrance le monde politico-associatif nuisibles et les entreprises politico-religieuses malfaisantes ;
- Courir après la Croissance.
Le PIB est l’indicateur de la Croissance
Le PIB est la somme totale de l’ensemble des facturations publiques et privées :
- Un accident de la route est source de PIB ;
- Les malades produisent du PIB ;
- Tout vandalisme produira du PIB ;
- Une tempête dévastatrice produira un énorme PIB ;
- Tout gaspillage est compté en PIB ;
- Etc. Il n’existe pas de limite.
Seul le bénévolat ne produit pas de PIB. Mais, le bénévolat bien orchestré par des spécialistes produit souvent de la misère.
L’oligarchie au pouvoir (Qui a main mise sur le capital de la Dette publique) sait très bien que pour produire du PIB, il suffit de générer de la misère et des malades.
Qu’elle soit matérielle ou cérébrale, la misère est le fondement de la société de l’argent !
(Le malade, l’industrie première.)
Quand le PIB augmente, le pays fait de la croissance. Quand le pays fait de la croissance, il s’enrichit. Quand le pays s’enrichit, c’est de l’argent pour ceux qui en ont besoins. Va sans dire, de l’argent pour les riches. Pour être pauvre, on n’a pas besoin d’argent.
L’Europe
Face au gigantisme du capital de la Dette publique de l’ensemble des pays européens, chaque pays ne pèse pas lourd.
Récemment, l’ancien Premier Ministre Grec « Georges Papandréou » a bien compris qu’il devait abandonner son projet de référendum imbécile. Lequel référendum proposait, ni plus ni moins, à la population de se prononcer sur les mesures imposées par l’Europe pour rembourser la Dette grecque.
L’aide européenne
L’Europe est généreuse comme on n’imagine pas !
Les chiffres en milliards d’euros, sortis de nul-part, vont gonfler directement la bulle des marchés boursiers (argent fictif, de l’encre noire sur du papier) sans passer par l’économie active.
Naturellement, c’est à l’économie active que l’on demande de rembourser (en argent vrai, de l’argent qui sent la sueur). On comprend donc le désarroi des populations concernées.
L’Europe est soumise au dictat de l’axe CIA-VATICAN
Qu’ils soient de « droite » ou de « gauche », les élus politiques sont au seul service du capital de la Dette publique. Ils n’ont pas de compte à rendre à la population.
Dans cette Europe dominée par les curés, l’argent sert à créer les problèmes. Non pas à les résoudre ! D’ailleurs, pourquoi les résoudre ?
Les curés vivent de la misère qu’ils produisent.
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