Pages

dimanche 8 janvier 2012

Kadafhi n'était pas à l'origine de l'attentat de Lockerbie ;un mensonge de plus , une fois de plus nous basculons dans l'effroyable ; tout le monde a été insulté à commencer pas les victimes........


Le guide libyen mort, les victimes de l'attentat de la PanAm peuvent-elles s'estimer venger? Plutôt floués! A la fois par la justice écossaise et  les services secrets américains.  Enquête en deux volets.   
  
Mercredi 21 décembre à l’occasion d’une cérémonie commémorative,  John Brennan, Conseiller en Chef du président Obama en matière de contre-terrorisme ayant passé 25 ans au service de la CIA, a déclaré que les victimes de l’attentat de Lockerbie en Ecosse pouvaient désormais reposer en paix à la suite de l’élimination du Colonel Kadhafi.  
  
Rien, hélas, n’est moins sûr... 
  
Rappel : le 21 décembre 1988 à 18h30, le Boeing 747 de la Pan Am « Clipper Maid of The Seas » quitte le parking K14 à l’aéroport londonien de Heathrow et s’envole en direction de New-York. A 19h01, il explose en vol au dessus du village écossais de Lockerbie, faisant 270 victimes dont 11 villageois. 
  
Aux dires de nombreux témoins appartenant tant à la population locale qu’à la Police écossaise, le périmètre des recherches est sinon bouclé, en tous cas étroitement contrôlé pendant 2 jours par des « officiels américains » arrivés très rapidement sur place. Dans les 3 mois, 90% des débris de l’appareil, les corps et les effets personnels des passagers sont localisés, récupérés et minutieusement examinés.  
  
Les services américains en appellent aux minuteurs suisses 
  
L’enquête s’oriente vers la présence dans le container à bagages n° 4041 de l’appareil, d’une valise supposée provenir de Malte qui contenait la bombe et, affirment les enquêteurs, l’un des 20 minuteurs MST-13 dont on a miraculeusement retrouvé les fragments, prétendument vendus à la Libye par la société suisse MEBO. 
  
Après la Syrie puis l’Iran, les soupçons se portent sur une opération de représailles de la Libye au terme d’un rapprochement expéditif avec l’attaque aérienne ordonnée par R. Reagan en 1986 contre le complexe résidentiel de Kadhafi à Tripoli.   
  
Un mandat d’arrêt international est donc lancé en 1991 contre Abdelbaset Ali Al-Megrahi et Al Amin Khalifa Fhimah, 2 membres présumés des services secrets libyens employés à Malte par la compagnie aérienne nationale libyenne. 
  
Pour forcer la main du fantasque Colonel et le contraindre à livrer ses ressortissants, un boycott et des sanctions contre Tripoli sont décidés par l’ONU. Les résolutions 748 du 31/03/1992 et 883 du 11/11/1993 sont préparées par Michael Scharf, juriste au Département d’Etat depuis 1989.  
  
Le département d'Etat maintenu dans le flou par la CIA et le FBI 
  
Il déclarera bien plus tard : « La CIA et le FBI ont maintenu le Département d’Etat dans le flou. Ca les arrangeait que nous adhérions totalement à la thèse de la responsabilité de la Libye. J’ai personnellement aidé le Bureau du contre-terrorisme à rédiger les documents expliquant les raisons de nos soupçons sur la Libye. Mais elles reposaient moins sur des preuves que sur la présentation par le FBI, la CIA et le Ministère de la Justice, de ce que devrait démontrer le procès, et qu’il a d’ailleurs effectivement démontré… ».  
  
Les sanctions seront levées en 1999 à la suite de la remise des deux suspects à la disposition de la justice écossaise contre la promesse qu’ils soient jugés en terrain neutre.  Le procès est finalement organisé par Robert Black professeur de droit écossais à l’université d’Edimbourg, sur une ancienne base militaire aux Pays Bas.  
  
«Une honte pour la justice écossaise» 
  
  
Présidé par 3 juges écossais, le tribunal siège de mai 2000 à janvier 2001, et voit défiler 230 témoins. Il se termine par l'acquittement de Fhimah et la condamnation le 31/01/2001 d'Al-Megrahi à la prison à perpétuité assortie d’une peine de sûreté de 27 ans. L’homme est libéré pour raison médicale le 20/08/2009 en échange d’une renonciation à former appel de sa condamnation. Il assiste, depuis son lit, à la révolution libyenne et accorde une interview le 03/10/2011  puis une autre le 22 décembre dernier. 
  
 Scandalisé, le Professeur Black n’aura de cesse de dénoncer la mascarade :   «Le procès à Camp Zeist est une fraude qui a abouti à une condamnation qui est une honte pour la justice écossaise… » affirme-t-il.  
  
De la subtilité de la CIA 
  
Des propos relayés par un autre personnage clef du dossier en la personne de Lord Peter Fraser. En charge de l’accusation (Lord Avocate of Scotland) le procureur écossais droit dans ses bottes déclarait en 1991 : « Nous avons des témoins qui prouveront nos accusations au delà du doute raisonnable ». Interrogé par un journaliste du Times en 2008 sur l’éventualité que la CIA ait déposé elle même les preuves à charge, il se montrait nettement plus nuancé « …je ne sais pas ; personne n’est venu me voir pour me dire ‘maintenant on peut mettre ça sur le dos des libyens’. Ça n’a jamais été aussi direct. La CIA s’est montrée subtile… ». 
  
 
  
Faut-il en conclure que l’attribution de l’attentat à la Libye et à feu son dictateur déchu, n’était qu’une conspiration machiavélique de l’Oncle Sam ? Mais alors, si tel est le cas et les preuves dans ce sens tendent à s’accumuler, qui est responsable de l’attentat et quels en étaient les mobiles ?   
  
  
La claque de la justice écossaise 
  
  
Après 3 ans d’une enquête complexe menée de 2004 à 2007, la Scottish Criminal Cases Review Commission (SCCRC) dont les conclusions devaient déterminer si Al-Megrahi pourrait interjeter appel de sa condamnation du 31/01/2001, ( !) a rendu son verdict. Dans un rapport de 800 pages accompagné de 13 volumes d’annexes, son président Graham Forbes concluait : « Au terme d’une longue enquête ayant révélé de nouveaux indices et des preuves qui n’avaient pas été présentées au tribunal lors du procès, nous sommes parvenus à la conclusion que le demandeur à pu être victime d’un déni de justice. C’est à la Cour d’Appel d’en juger et nous lui transmettons le dossier… ».  
  
Un coup de théâtre et une claque d’une rare violence pour le procureur de l’affaire, Peter Fraser dont les certitudes étaient certes déjà ébranlées depuis un moment comme en attestent ses confidences à Tam Dalyell, député travailliste écossais de la circonscription de Linlithgow : « S’il y a eu conspiration, je suis dedans jusqu’au cou. L’unique autre possibilité eut été que je fasse preuve d’une telle naïveté que des preuves ont été déposées et que j’ai tout avalé, l’hameçon, la ligne et le plomb… ». Demi-aveu, recoupant les propres soupçons du parlementaire, rendus publics dès le 15/06/1995 : « j’en suis arrivé à me demander si le minuteur en question n’était pas un minuteur différent de celui du vol Pan Am 103, mais un système que la CIA aurait récupéré auprès des Libyens…J’ai tendance à penser que le dispositif a été placé là par la CIA… » 
  
Flopée d'arguments  
pour dédouaner Kadhafi 
  
De nombreux arguments militent en faveur de la thèse d’une machination destinée à faire porter le chapeau, déjà bien rempli, au Colonel Kadhafi. 
  
Les moins contestables sont les suivants : 
  
La SCCRC évoquée plus haut a entendu à 3 reprises, un officier supérieur de la Police écossaise désigné sous le nom de code « Golfer » (et identifié dans un article de Bella Caledonia du 07/09/2011, comme le Chief Constable Tom Halpin, numéro deux de la police locale au moment des faits. L’article a été retiré du Web à la suite d’une injonction des avocats du policier) qui a révélé à la Commission de Révision, le dépôt par la CIA elle-même sur les lieux de l’accident, de prétendues preuves. 
  
Des millions de dollars  
pour les témoins clés 
  
La même SCCRC s’est engagée à ne jamais rendre publics, 2 des 6 éléments l’ayant conduit à conclure au possible déni de justice (‘justice miscarriage’) au préjudice d’Al-Megrahi. Elle a toutefois découvert que les 2 principaux témoins de l’accusation, un transfuge libyen du nom de Majid GIAKA recruté par la CIA, et Tony GAUCI, le prétendu vendeur maltais des vêtements retrouvés dans la valise piégée, ont reçu chacun 2 millions de dollars en échange de leur témoignage, le frère de ce dernier bénéficiant également d’une « prime » d’un million de dollars, au titre du « Federal Witness Protection program ». En outre, la Commission de révision a constaté que de multiples incohérences dans les témoignages de GIAKA et GAUCI ont été dissimulées aux juges. 
L’existence d’un témoin « secret » (un certain David Wright) en mesure de prouver qu’Al-Megrahi n’est pas la personne ayant acheté chez GAUCI à Malte, les vêtements dans lesquels ont été retrouvés les débris de minuteur MST-13, a été dissimulée aux juges. 
Le 18/07/2007, dans une attestation établie chez Maître Walter Wienland, notaire à Zurich, Ulrich Lampert, ingénieur chez MEBO de 1978 à 1994, a affirmé avoir menti lors de son audition pendant le procès, en cachant qu’il avait volé un prototype du détonateur MST-13 chez MEBO et l’avait remis le 22/06/1989 à l’insu de ses patrons, à un « officiel » enquêtant sur l’attentat. Ses « aveux » mettent en pièces la thèse de l’accusation : « Je confirme aujourd’hui 18/07/2007 que j’ai volé à MEBO le circuit du 3ème minuteur MST-13 constitué de 8 couches de fibre de verre, et je l’ai donné sans autorisation le 22/06/1989 à une personne enquêtant officiellement sur le dossier Lockerbie… » 
  
 
  
  
Le chef de l’équipe d’enquêteur de la CIA, Vincent Cannistraro, avait été recruté par l’Agence en 1986 avec la mission spécifique de contribuer à « déstabiliser la Libye et à détruire le régime du Colonel Kadahfi ». A son sujet, Oswald Le Winter, un collègue membre de l’agence de 1968 à 1985, s’est risqué publiquement à un bon mot assez révélateur : « que Cannistraro soit en charge de l’enquête aurait été drôle si ce n’était pas une obscénité… » . 
  
Mebo ne fait plus le beau 
  
Dans une lettre ouverte au parlement écossais du 7/01/2011 Edwin BOLLIER, le sulfureux dirigeant de la société suisse MEBO, affirme qu’il est en mesure de démontrer de manière rapide et irréfutable, que les débris du minuteur retrouvés dans la campagne écossaise, ne peuvent pas provenir de l’un de ceux vendus à la Libye par sa société. 
Le Dr Hans Köchler, observateur de l’ONU lors du procès a ainsi résumé ses impressions dans son rapport (partie 11) : « in 2001-2002, the impression prevailed that strictly judicial considerations were put aside in favor of political considerations… »  
Shukri GHANEM, premier ministre Libyen de 2002 à 2006 a affirmé à deux reprises, à la radio et à la télévision, qu’en dépit de la lettre de reconnaissance de la responsabilité libyenne « pour les actes de ses ressortissants » envoyée à Kofi Annan, et des 2,7 milliards de dollars versés aux familles des victimes, la Libye n’était responsable de rien ; à la question de la raison de l’indemnisation injustifiée, il a répondu : «Après que les sanctions nous aient été infligées et les problèmes qu’elles nous ont posés, les pertes financières considérables que nous avons subi, nous avons pensé que la meilleure solution était d’acheter la paix, raison pour laquelle nous avons payé les indemnités. On s’est dit ‘achetons la paix et mettons toute cette histoire derrière nous en repartant de l’avant… »   
  
Raté…. 
  
(suite de notre enquête demain, sur les très bonnes raisons d'accuser la Libye et le témoignage d'un ancien honorable correspondant de la CIA) 


Deuxième volet de notre enquête sur l'attentatat de Lockerbie. Où émerge la piste d'un trafic d'héroïne mené par l'Etat américain. 
 
Le mystère de l’attentat contre le vol Pan Am 103 se dissipe lentement. De nombreuses pistes officieuses recoupent la thèse soutenue publiquement par Suzan Lindauer, agent de la CIA dont nous avons révélé l’existence dans une précédente livraison de Bakchich.  Elle a notamment fait une déposition à ce sujet le 4/12/1998 dont toutes les traces sur le web ont été effacées. 
Elle récidive le 4 mars 2011,   : « supervisée par mon officier traitant, le Dr Richard Fuisz qui affirme depuis le 1er jour qu’il connaît les origines de la conspiration de Lockerbie et l’identité des terroristes… Fort de cette assurance, notre équipe a engagé des discussions avec les diplomates libyens pour l’organisation du procès. J’ai participé à plus de 150 réunions à l’ambassade libyenne (auprès de l’ONU) à New-York. Après que la Libye ait livré les 2 accusés, notre équipe a engagé un bras de fer, pour obtenir l’autorisation pour le Dr. Fuisz, de faire une déposition relative à sa connaissance de la conspiration… »
Héroïne et Trafic d'Etat
Le 31 mars, elle remettait le couvert en livrant une partie des clefs de l’énigme (nous avons volontairement omis de traduire ses propos « explosifs ») : « according to my own CIA handler, Dr. Richard Fuisz who had been stationed in Lebanon and Syria at the time, the CIA had established a protected drug route from Lebanon to Europe, and on, to the United States. His statement support other sources that ‘operation Corea’ (Khourah) allowed Syrian drug dealers led by Monzer Al-Kassar (also linked to Oliver North in the Iran-Contra scandal) to ship heroin to the US on Pan Am, in exchange for intelligence on the hostages’s whereabouts in Lebanon. The CIA alledgedly made sure that suitcases carrying heroin were not searched at customs…»
L’idée selon laquelle, la CIA aurait assuré, éventuellement à l’insu de la DEA dont c’est normalement la mission, le contrôle de livraisons sécurisées vers les grandes métropoles américaines (« controled delivery ») d’héroïne en provenance de la plaine de la Bekaa, en échange d’informations sur le lieu de détention des otages au Liban (Terry Anderson et 11 autres prisonniers anglais et américains dont Jeremy Levin, patron local de CNN et le pasteur anglican Terry Waite. On se souvient que William Buckley, le chef de l’antenne locale de la CIA avait été enlevé puis torturé à mort avant que son corps soit abandonné devant les locaux de la CIA à Beirouth) a été confirmée « du bout des lèvres » par plusieurs protagonistes plus ou moins directs de l’affaire.
Pour sa part, dans son livre-confession I solemnly swear – Conmen, DEA, the Media and Pan Am 103, Micheal T. Hurley, responsable (Supervisory Special Agent) de la DEA à Chypre au moment des faits, nie avoir jamais entendu parler de l’opération Khourah, ou de Khaled Jafaar, l’une des victimes de l’attentat. 

Une mule qui pèse lourd

De nombreux témoignages contredisent son propos et affirment au contraire que le jeune Khaled Nazir Jafaar était un « courier de la DEA voire de la CIA » et qu’en cette qualité, il a pu introduire sans être contrôlé, la bombe dans le vol Pan Am 103, pensant que la valise en question contenait de la drogue. 
Une hypothèse battue en brèche par le témoignage d’un fermier, Jim Wilson, qui a témoigné avoir trouvé dans un champs de sa propriété une valise contenant une grande quantité de drogue, remise aux autorités…
Que des ordres venus de Washington et destinés à dépêcher sur place, une équipe d’incorruptibles dirigée par Charles Dennis McKEE de la DIA (renseignement militaire) chargée de vérifier l’implication de services fédéraux dans un tel trafic puis d’en rendre compte, est loin d’être inimaginable.
D’autant que figurent parmi les victimes de l’attentat,  outre Mc KEE et Khaled Nazir Jafaar,  Ronald Albert Larivière, et Daniel Emmett O’Connor, agents spéciaux du Diplomatic Security Service, Matthew Kevin Gannon de la CIA et Joseph Patrick Curry membre des Forces Spéciales qui rentrait d’une conférence sur la sécurité à laquelle il aurait assisté en Italie. 
Le corps de Jafaar sera retrouvé à une courte distance de celui de Gannon, laissant à penser qu’ils étaient assis très près l’un de l’autre dans l’avion.
Une disparition d’autant plus troublante qu’un certain nombre de personnalités, sans doute informés des risques d’attentat, ont annulé leur réservation sur le vol au dernier moment ; c’est le cas d’une délégation sus-africaine de 22 personnes dirigée par Pik Botha alors ministre des affaires étrangères, de John McCarty, ambassadeur américain, d’Oliver Revell, fils de Buck Revell qui dirigera l’enquête sur l’attentat pour le compte du FBI, et surtout de Steve Green de la DEA !
Des écoutes entre l’Iran et le FPLP 
Concluons par ce passage d’un rapport inédit et strictement interdit de reproduction depuis 1997, obtenu par l’avocat de l’un des protagonistes de l’affaire et élaboré par le Foreign Broadcasting Information Service (FBIS) dont la mission consiste à écouter (avec l’aide de la NSA) les communications à l’étranger et à en effectuer une synthèse destinée aux différentes agences fédérales concernées, lequel relevait pour les 20 et 21 décembre 1988 :
«  20 december, 1988: Engineer Rashid Mehmet and two of his comrades received a special cargo from Hayro Karabtian in Frankfurt. On the same day, Rasid Mehmet received the green light for executing the operation from rasul Qassab Qara (3).
The morning on December 21 was chosen, after the Iranian embassy in Beirut confirmed that 5 american intelligence agents were setting out for America via Frankfurt via Pan Am. The unsuspecting courier had travelled from Sweden the previous week, and was to be used as the conduit to place the device aboard. The suitcase containing the device was attached to the courier’s baggage after he checked in.
In this way, the bag would not be traceable. The courier, a Lebanese, came from a family of heroin producers in Hermal who opposed Hizbolla. He was tricked in thinking he was only a mule for a normal drug shipment to be used by his American contacts. He had been instructed that his American guide would meet him aboard the flight.
21 december, 1988> : The American passenger plane fell over Lockerbie. While an unknown group in Beirut, under the name of Islamic Revolutionary Guards, announced responsibility. The Iranian minister of foreign affairs vehemently denied the reports that Iran was behind the operation. In Beirut.
Amhad Jibril (4) received the final portion of his ten million dollar payment. In Larnaka, Cyprus, the Iranian Charge d’affaires received Rashid Mehmet when he arrived with a German passport in Larnaka after having performed his mission  »
Non vraiment, Lockerbie ne rime pas avec Kadhafi ; moins encore avec Al-Megrahi qui est peut être mort aujourd’hui après avoir passé 8 ans et demi à se familiariser avec l’accent écossais de ses gardiens, avant d’être libéré pour se battre contre un méchant cancer de la prostate…
(1) technicien d'origine iranienne employé à l'aéroport de Francfort, point de départ du vol Pan Am 103 faisant escale à Londres Heathrow.
(2) Hayro Kababtian ou 'Karabetian" serait un membre de l'ASALA, Armée Secrète Arménienne qui a revendiqué de nombreux attentats en Europe dans les années 1980
(3) Qassab Qara était le Consul iranien à Francfort 
  

(4) fils du fondateur du Front de Libération de la Palestine - Commandement général (FPLP-CG) 

http://www.bakchich.info/international/2012/01/06/kadhafi-ne-rime-pas-avec-lockerbie-22-59910


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Les messages anonymes ne seront pas publier