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lundi 22 avril 2013

Des nervis à Boston ? mais que faisaient ils la bas?, ils attendaient que çà pète! comme pour le 11 septembre nous ne saurons rien de la vérité , Fourest dira de moi que je fais partie des partisans du complot! a quoi je répondrai que la soupe de l'empire est de plus en plus indigeste voir franchement dégueulasse ..


Que faisaient donc ces mercenaires au marathon de Boston ?

Oh, évidemment, à Boston, dès l'attentat produit, on a eu droit à tout (*) Aux accusations en ligne, en particulier comme celle d'un jeune étudiant (Salaheddin Barhoum) désigné par certainscomme poseur potentiel de bombes, ce qui dans un pays de gens à la gâchette sensible peut représenter un danger extrême, des accusations reprises bien trop aventureusement par le NW Post (**). De la délation en ligne, rien d'autre, pour laquelle l'état US via le FBI a dû intervenir en demandant de cesser de le faire (était visé notamment le site du manipulateur d'extrême droite texan Alex Jones, partisan des armes à feu). Mais aussi, et c'est beaucoup plus intriguant, d'une catégorie de personnes hautement repérables grâce à leurs logos portés sur leurs couvre-chefs, notamment, apparus avant les explosions, et dont le rôle reste à établir, vu qu'il s'agît d'un groupe façon mercenaires de Blackwaterbaptisé Craft, une société spécialisée... dans la protection événementielle et les communications, fondée par un ex-sniper à son retour d'Irak. Ce qui laisserait entendre qu'on se doutait de quelque chose à Boston, car sinon on ne voit pas l'intérêt de convoquer sur place ce genre d'escouade, au prix faramineux auquels ils facturent leur prestation. Le plus intriguant, peut-être, de toute l'histoire étant le slogan arboré fièrement par les membres de l'équipe de Craft...
Très vite, une fois les explosions passées, des internautes avides de jouer aux détectives ont donc posté en ligne des centaines de photos, voire des milliers, dont certaines mêmes en vision panoramique, fournie par leur téléphone portable. Une aubaine pour le FBI, qui disposait ainsi de scènes de crimes qu'elle n'aurait pas pu obtenir elle-même. Mais tès vite aussi, des personnages inattendus vont faire irruption. Si les deux tchetchènes sont signalés par le FBIau lendemain du crime seulement, le soir-même, les internautes ont trouvé d'autres personnages tout aussi intiguants. Ils s'habillent tous de la même façon, portant blouson foncé et pantalon clair, tous munis de chaussures de l'armée (des "Tactical Sport Desert Tan"). Certains communiquent entre eux par téléphone à oreillette, et plusieurs sont porteurs de lourds sacs à dos, ce qui fait que très vite les internautes les désignent comme des terroristes potentiels (N°1 même chez certains !). A étudier de plus près ces personnes, on découvre assez vite qu'ils affichent un logo... étange, celui d'une tête de mort sans mâchoire, déjà vu quelque part.... car fort ressemblant à celui des mercenaires chargés de surveiller il y a quelques années des plateformes pétrolières irlandaises.... et retrouvés après en... Bolivie en train de fomenter des coups d'état. L'un d'entre eux sera accusé d'avoit attenté à la vie du président Morales.

Etonamment, l'individu en cause venait en effet d'Europe centrale : "parmi eux, un Bolivien... au nom d’européen d’Europe Centrale : Mario Tadic, tué dans l’opération, ou Elod Toazo, un jeune hongrois, mais surtout Tibor Revsz, surnommé "Photosniper". Le chef avéré du groupe... et membre éminent de la Légion Szekler, un groupe paramilitaire très particulier En Roumanie, effectivement, Szekler est bien un groupe fasciste. Avec comme fer de lance" l’Iron Guard", la Garde de Fer. Difficile de faire pire. Très particulier comme mouvement : au début il s’appelait "La Légion de L’Archange" !  Le seul mouvement fasciste ouvertement religieux ! Nous revoici en tout cas chez les néo-nazis ! Tibor Revsz avait amené avec lui un irlandais, Michael Dwyer, tué lors de l’assaut de la Police bolivienne. Faisant partie du même groupe et responsable d’exactions sur la population bolivienne. Une amitié qui le relie encore davantage à l’extrême droite )  Eduardo Rozsa-Flores, surnommé en Croatie "Chico", ayant donc participé au nettoyage ethnique en ex-Yougoslavie, un autre beau cas d’espèce d’extrême droite. On est bien au milieu d’un creuset de néo-nazis voire de pro-nazis véritables, partisans chez eux de "l’élimination des Roms". De véritables dangers pour l’Union Européenne, tant ils jouent en ce moment les trouble-fêtes électoraux !" Des extrémistes, dont un sniper, qui avaient comme point commun leur lieu de recrutement : "Comment ces activistes d’horizons aussi divers s’était-ils rencontrés ?" avais-je alors écrit : "Au Kosovo, en Serbie ? Même pas. Tout simplement chez Shell, en Irlande, au sein d’une de ces fameuses "sociétés de sécurité" appelée par la firme de pétrole pour lutter contre les activistes écologistes qui ne voulaient pas de l’exploitation d’une nappe de gaz par 355 m de profondeur et d’un pipe-line à haute pression le reliant à la terre ferme. Integrated Risk Management Services (IRMS) installée à Nass, County Kildare, et fondée par Terry Downes et James Farrell." Avec pour ces deux-là une autre constante : " les deux patrons d’IRMS étaient eux d’anciens militaires appartenant au Irish Army Rangers. Des soldats d’élites irlandais ayant une particularité intéressante : il sont tous passés par... Fort Benning. " Bizarre comme on y revient à chaque fois !

Aujourd'hui, la tête de mort sans mâchoires utilisée par les Navy Seals, (le team 3 et le team 5) mais aussi par Blackwater, orne d'autres casquettes : celle des hommes vus à Boston, notamment, travaillant donc pour une société appeléeCraft, et son ancien responsable, Chris Kyle, qui a été lui membre de la Team 3 des Seals, et lui aussi passé par Fort Benning. Un couvre-chef porté il n'y a pas si longtemps encore par cet autre sniper, ou plutôt par le roi des snipers, revenu chez lui après avoit tué plus de 200 talibans (et plus) ou présumés talibans et s'en être passabement vanté ces derniers mois. Le spécialiste du fusil de calibre .338, de tir à très longue distance. Kyle s'était ainsi vanté d'avoir tué un irakien à 1800 m avec ce genre de fusil. Celui qui arborait en effet la casquette de Craft pour faire la promotion il n'y a pas si longtemps de son autobiographie de tueur en Irak. L'homme est depuis décédé, il a été abattu dans un éclair de folie par Eddie Routh, un soldat revenu traumatisé d'Irak, victime d'un "post-traumatic stress disorder" comme on dit là-bas. Kyle, qui ne s'embarrassait pas de formules pour expliquer pourquoi il tuait ainsi. : "« Là-bas, en Irak, je voulais que tout le monde sache que je suis chrétien, et un féroce guerrier de Dieu. »afftirmait-il ; jugeant aussi (il n'était pas le seul, hélas) que les irakiens étaient des "sauvages" et non des êtres humains à part entière. Kyle était en fait le créateur de la société Craft, ce qui laisse supposer chez la firme une idéologie cachée aussi réactionnaire que celle de son créateur. D'où le choix du logo, pour sûr, le maintien de la vie n'étant pas sa spécificité, bien au contraire. "J’aurais juste aimé pouvoir en tuer plus" avait-il aussi dit avant de disparaître lui-même. Un Kyle qui avait vu sa société fondée grâce à des investisseurs, des financiers américains tous aussi extrémistes que lui à coup sûr : 

"il concède : « Je sais qu’il y a aussi des gens qui me haïssent. Mais la plupart ne se mettent pas dans la situation où nous étions. Leur opinion ne m’importe pas. »Ses deux associés, autres anciens directeurs de hedge funds qui ont décelé dans le secteur de la sécurité un potentiel de « forte croissance », opinent : « Chacun des tirs de Chris a sauvé des vies américaines », assène l’un d’eux, tout en jouant avec un couteau". Que faisaient les employés d'une telle société de tueurs patentés sur le circuit du marathon de Boston, voilà qui questionne sérieusement !
Car au vu des photos prises, et leur nombre, les employés de Craft avaient bel et bien pris en charge la surveillance de l'événement à Boston. Leurs casquettes reconnaissables étant partout (celle des deux terroristes étant bien différente, la seconde étant blanche). Et étaient donc bien présents avant l'arrivée des deux poseurs de bombe. Et non pas seulement appelés après le déclenchement des deux bombes, ce que laisse entrevoir la course effrénée de quelques uns d'entre eux, visiblement affolés. Qui les avait recrutés et pourquoi exactement, voilà aussi qui pose question.

 Comme pose question le drôle de matériel amené sur place : des sacs à dos aussi volumineux que ceux des terroristes, mais aussi de bien plus étranges engins, tel ce 4X4 répertorié chez eux comme étant un 4x4 militaire transportable en C-130,appelé USC ou Advon (pour Advanced Liaison) un camion de commucation muni d'une antenne inclinable de type "satellite" et une autre à micro-ondes sous radôme capable d'envoyer elle aussi à un satellite "la voix en temps réel, les données et les communications vidéo (non classés par l'information secrète)" indique son dépliant. Un engin visiblement connu des policiers de Boston, qui lui ont ouvert le chemin à son arrivée sur les lieux de l'attentat.

Un appareil capable de partager ses données avec "diverses forces militaires fédérales, d'état et la police locale et des unités des services d'urgence qui soutiennent la réponse aux incidents" précise le même dépliant. Sachant que l'engin se déplace avec l'aide des C-130 militaires, sa présence avant les attentats (il est arrivé dans l'instant sur la scène du crime !) pose question, comme interpelle l'une des personnes qui en est aussitôt descendue. Il pose question, à lire le communiqué du FBI qui cherchait à isoler le possible déclenchement par téléphone des explosions, ce que justement le fameux USC aurait obligatoirement détecté... "Le FBI cherchait aussi à isoler des appels téléphoniques passés à l'instant précis des deux déflagrations, survenues à 12 secondes d'intervalle, et pouvant avoir servi d'activation à distance des bombes artisanales."


Aussitôt descendue et photographiée sur la ligne d'arrivée du marathon, tenant à la main non pas une arme mais un étrange petit boîtier que l'on décrira au bout de quelques recherches comme étant un détecteur... de radiations !!! Un "Inspector Radiation Alert" de SE International ; inc. Un engin décrit de cette manière par sa firme productrice : "l'inspecteur Xtreme offre une performance maximale avec une solution légère et robuste pour l'utilisation de votre appareil de contrôle dans le domaine. L'inspecteur Xtreme est conçu spécialement pour les personnes travaillant dans des environnements difficiles, tels que : les premiers intervenants, les mineurs, et les équipes « Hazmat » (pour « hazardous materials »), les matières dangereuses. L'unité est un petit ordinateur de poche instrument, basé sur un microprocesseur qui offre une excellente sensibilité aux faibles niveaux de radiations alpha, bêta, gamma et rayons X. 

L'affichage numérique est affiché avec une lumière rouge de comptage et un signal sonore est émis chaque chef détecté. Les autres caractéristiques comprennent une minuterie réglable, des contrôles externes de calibrage, et une alerte sélectionnable." La dernière phrase prenant tout son sens : les gens de chez Craft étaient donc porteurs d'appareils capables de détecter des engins... à condition de les activer au préalable.
Les bombes de ce type ayant plusieurs décennies d'existence, et ayant été trouvées à des centaines d'exemplaires en Irak comme en Afghanistan. Aux Etats-Unis même, CBS avait mis en garde les américains sur l'usage de ces engins de mort : "les autorités américaines avaient mis en garde aussi loin que cela, il y a neuf ans, comme quoi les terroristes pourraient utiliser des autocuiseurs métalliques pour causer des carnages meurtriers. L'autocuiseur commun mise en œuvre - trouvé dans d'innombrables foyers américains - a émergé comme un élément clé dans les attentats horribles qui ont tué trois personnes et en ont blessés plus de 170 au marathon de Boston hier (...) En 2004, un mémo intitulé "l'utilisation potentielle des autocuiseurs par les terroristes " une alerte destinée aux inspecteurs frontaliers, aux agents de la force publique et autres premiers intervenants expliquait que ces éléments apparemment anodins, pouvaient être utilisés pour créer des engins explosifs improvisés (EEI). Le mémo affirmait que la technique de fabrication de ces bombes était communément enseigné dans des camps d'entraînement terroristes en Afghanistan - et qu'elle avait déjà fait des victimes lors d'attaques de ce genre. L'article mentionnait notamment les terroristes opérant en Algérie qui utilisaient des appareils de cuisson sous pression truquées pour mener des attaques - des militants de longue associés non seulement directement à Al-Qaïda mais aussi aux organisations terroristes voisines libyennes, dont le Groupe islamique combattant libyen (GICL, pour Al-Jama’a al-Islamiyyah al-Muqatilah bi-Libya)." Les engins sont tellement répandus que la firme bien connue, Inert Products, de Scranton, qui fabrique des IEDs factices pour que les formateurs démineurs se familiarisent avec leur fonctionnement.

Tout le problème est donc là : on avait positionné toute une escouade de "privés" chargés de surveiller une menace annoncée (sinon on n'en aurait pas déployé autant) , des individus munis d'un matériel sophistiqué capable d'aider la police ou l'armée au cas où ; mais le déploiement n'aurait pas permis d'empêcher l'attentat de se produire : on aurait voulu tester en temps réel une prestation qu'on ne s'y serait pas pris autrement. En se trouvant deux jeunes écervelés dont on ignore toujours où ils ont bien pu trouver leurs cocottes-minutes ailleurs que sur les recettes du web, ou de la revue "Inspire", ce magazine d'Al Qaida sur papier glacé (dont le fondateur américain serait mort d'un coup de drone vengeur), qui aurait donné il y a quelques semaines la façon de fabriquer des bombes à la maison. Alors que l'on sait que le FBI, ou la CIA, ont le droit, aux USA, de pousser les apprentis-terroristes en leur fournissant les moyens de réaliser leurs projets, à savoir des bombes, dites "neutralisées" quand l'opération s'arrête avant que l'attentat ne se soit réellement produit. En tout cas, on savait donc qu'il allait se produire quelque chose à Boston, c'est une évidence, à avoir déployé avant le départ du marathon de la ville un tel contingent de sécurité ! Aurait-on testé les réactions de certains en laissant perpétrer l'attentat ? Aurait-on largué dans la nature deux poseurs de bombes munis de bombes désarmées ou inefficaces pour en positionner deux autres à des endroits sélectionnés (au quel cas ce seraient les sbires de Craft, aperçus avec des sacs bien chargés - voir ici à droite sur l'emplacement de l'arrivée de l'épreuve) qui en auraient été les véritables responsables ? La lourdeur apparente des sacs à dos des mercenaires ne cesse en effet de surprendre, et de ressembler en format à ceux apportés par les deux frères tchétchènes, en effet !!! 

Deux frères n'ayant jusqu'ici derrière eux aucun antécédents policiers et pourtant présentés d'emblée comme armés par le FBI : comment savait-il qu'ils étaient dangereux et armés, ce qu'ils prouveront ensuite dans leur fuite ? La présence sur les toits d'un immeuble près de l'attentat de quelqu'un ne serait-il pas non plus le reflet de cette connaissance préalable ? Comme l'a précisé le soir même un marathonien, Alastair Stevenson, inquiet de voir avant le départ de la course des chiens policiersdéployés présentés comme faisant partie d'un"exercice" : lui-même ayant décrit la présence d'un homme sur les toits comme un policier jetant un coup d'œil aux environs, et non un énième terroriste, comme ont pu le croire au départ des internautes.

Deux frères finalement capturés par la Police du Massachusets, à qui "bénéficie" l'opération question image de marque. Car il faut aussi le remarquer, en 2007, à Boston, justement, la police s'était déjà rendue passablement ridicule en courant après des publicités présentées comme étant des plaques électroniques à LEDs pouvant être (de loin) 

confondues avec des déclencheurs de bombes, alors qu'il s'agissait d'une campagne publicitaire pour le personnage d'Aqua Teen Hunger Force de Cartoon Network, imaginé par les artistes Peter Berdovsky et Sean Stevens. une campagne caractérisée à l'époque de "guérilla en marketing publicitaire"  !!! Certains policiers ayant affirmé que les panneaux disséminés dans la ville présentaient « certaines caractéristiques des dispositifs d'explosifs improvisés" !!! Aurait-on voulu laver l'affront cette fois avec une chasse à l'homme digne des meilleurs scénarios d'Hollywood ? Question ridicule, d'autres l'ont été aussi durant la chasse aux terroristes ; Ann Coulter, la fascisante, qui n'en rate décidément pas une, et qui a remis un couplet sur l'immigration, alors que les deux frères étaient devenus des résidents US depuis 2007.

Toutes les hypothèses sont à étudier dans ce genre d'événement : selon certains commentateurs, férus de complotisme, bien évidemment tout repose sur la personnalité (décédée) du créateur de la firme Craft. Selon eux, plutôt fort à droite, ce dernier aurait refusé, avant de mourir, de faire de son entreprise une société chargée de créer des événements destabilisants la démocratie. C'est pourquoi il aurait été supprimé, par la main d'un individu facilement manipulable. Pour pouvoir continuer à "en tuer plus" comme le souhaitait le fondateur de l'entreprise ? Cela semble davantage ressembler à un film hollywoodien qu'à une réalité. Non, ce qui intrigue surtout, c'est la présence de ces mercenaires, qui seront aperçus en train de se regrouper pour discuter (ou le faire par téléphone à oreillette) alors que tout le monde, police comprise, s'affairait à porter assistance aux personnes blessées : visiblement, ce jour-là, ce n'était pas leur "job"... lequel était-il donc, si leur métier est par définition la protection des personnes ? Et pourquoi donc déployer leur onéreux véhicule de transmissions reliée à un Immarsat après cet événement ? Pour faciliter les recherches de la police ? Ou se greffer sur les communications de cette dernière, l'appareil récupérant les conversations UHF et VHF en 800 Mhz des pompiers et des policiers ? 

Il ne s'agit en rien de remettre en cause les véritables auteurs de l'attentat, entendons nous bien, mais d'établir plutôt le degré de connaissance que certains en avaient avant le départ du marathon pouvant expliquer l'imposant dispositif mis en place et qui n'a donc servi à rien au final avec ce déchaînement de violence gratuite touchant des innocents. La présence de la société Craft au Marathon de Boston surprend et surtour indispose, en effet, quand on prend au final connaissance de son slogan : "Violence does solve problems." La violence tchetchène résoudrait donc un problème ? Lequel ? Celui de la prochaine absence des adversaires talibans qu'il conviendrait de remplacer par un ennemi intérieur ? Ou du renforcement de l'image de la police américaine démontrée prompte à cerner deux terroristes dont on ignore tout à ce jour du cheminement ou des contacts ? A voir les applaudissements nourris de la population après l'annonce de la capture du second jeune terroriste, on peut déjà répondre qu'aux Etats-Unis, société violente, oui, la violence résout -hélas- des problèmes, là-bas. Pour en fabriquer d'autres, plus tard, mais ça n'a pas l'air d'être le sujet de préoccupation actuel de l'américain moyen qui ne juge que dans l'instant. Pour le moment l'ennemi intérieur a été contenu, selon lui. Le premier abattu, le second, blessé et réfugié dans un bateau mis au sec dans un jardin, a été arrêté après un échange de tirs nourris. Jusqu'au prochain attentat ou la prochaine fusillade pour "résoudre le problème"...

(*) Le pire ayant été la création de faux comptes Twitter au nom des deux terroristes présumés . dans un tel pays de fous, on a droit on le sait à youtes les dérives médiatiques !
(**) ils ne se sont pas tous fourvoyés, l'un ayant découvert le plus jeune des terroristes quittant en marchant l'endroit de l'explosion - ici à gauche de l'image).
le document sur l'Advon :

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