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jeudi 4 mars 2010

Que nous réserve l'avenir


       Elections obligent , le pouvoir fait bonne figure, il semble que tout va bien !
Pourtant tous les secteurs sont touchés , à plus 20 000 chômeurs de plus par mois , avec des tombereaux d'entreprises qui déposent le bilans , qui licencient au nom de  la crise  . E D F qui octroie plus de 1,5 millions de salaire à son patron et qui coupe le courant aux plus humbles pour quelques centaines d'€  ! Ou Total qui fait la fine bouche et ferme des sites alors qu'elle réalise des milliards de bénéfices et traite ses salariés comme de simples numéros -pire que des vaches-! 
         Tout va bien madame la marquise!
 Les paysans sont nombreux a être en rupture de paiement , on ne connait pas le nombre exact , pour l'Allier 600  peut être 1000 ,nous ne le sauront jamais par contre de jour en jour nous constaterons l'arrêt de telle ou telle exploitation , le paysan s'en ira sur la pointe des pieds, honteux de ne pas avoir tenu le coup , si il ne se suicide pas , mais de çà : silence ; le régime en devient inhumain , bestial, les banques ne soutiennent plus les paysans même celle qui est née de la volonté des paysans , pour combattre les agioteurs, oublie ses racines et se comporte  pire que les autres , du mutualisme elle ne garde que des slogans pour sa pub , d'ailleurs tous les organismes dit "mutualistes" se comportent de la même manière , le capitalisme a tout bouffé , seul compte le fric , une poignée de familles tirent les marrons du feu , et comme le disait un de mes amis " le fric est la chose qui manque le moins en France il est seulement là ou il ne faut pas", la monnaie ne sert plus de moyen d' échange mais de méthode de spéculation , faire du fric avec du fric, les Hommes ne comptent plus   , plus du tout .
Mais les gens comprendront t-ils qu'il faut aller voter ? ou sont ils dégoutés de tous ces élus qui, aussitôt élus oublient ceux qui les ont élu...............Ha! le pouvoir  . 
 On feint toujours de ne pas comprendre pourquoi on ne nous parle plus de la dictature du prolétariat mais sous cette appellation se cache le slogan de Nelson Mandela  : le pouvoir: au peuple! 
 La droite d'ailleurs rigole sous cape , elle peut , car tant que les progressistes ne se donneront pas les moyens d'associer réellement  le peuple aux prises de décision , le capital vivra et vivra bien et les gens vont continuer à souffrir, souffrir. 



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