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dimanche 2 janvier 2011

il parait que ces deux zouaves font partis du PS si l'un d'eux est opposé à l'autre Nabo au deuxieme tours des présidentielles ( si il yen a!)j'en connait qui vont astiquer leur canne à pèche!






La crise actuelle de l’euro sera l’occasion pour le responsable du FMI, Dominique Strauss-Kahn (à g.)– placé en première ligne – et celui de l’OMC, Pascal Lamy, de livrer leurs solutions. AFP


 QUELQUES FAITS D’ARMES DE PASCAL LAMY

  • 1982-1983 : directeur adjoint du cabinet de Jacques Delors (ministre de l’Économie et des Finances), il pilote en France le « tournant de la rigueur », quand le Parti socialiste s’aligne sur le néolibéralisme.
  • 1985 : directeur de cabinet de Jacques Delors (Président de la Commission européenne), il applique avec soin les propositions des grandes multinationales et impulse l’ « Acte unique » qui est l’alignement néolibéral de la « construction » européenne.
  • 1994 : entrée au comité de direction du Crédit lyonnais. Il en devient cinq ans plus tard le directeur général et prépare la privatisation de la banque et les licenciements massifs qui l’accompagnent. Il deviendra président de la commission « prospective » du CNPF, le futur MEDEF, principal syndicat patronal en France.
  • 1999 : il devient commissaire européen et débute son mandat en réclamant de lever l’interdiction de cultiver des Organismes génétiquement modifiés (OGM) en Europe.
  • 2000 : il participe à la Conférence annuelle du Groupe de Bilderberg, un rassemblement des plus puissants hommes d’affaires, dirigeants et hommes de médias dans le monde. Il sera également présent lors des réunions de 2001, 2003 et 2005.
  • 2007 : il devient directeur général de l’OMC grâce à l’appui du gouvernement de Jean-Pierre Raffarin et du Président de la République Jacques Chirac, avec l’accord du président des États-Unis George W. Bush.

 Ses meilleures citations :

"Je crois que le monde des affaires doit aussi parler franchement et convaincre que la libéralisation du commerce et en général la globalisation sont de bonnes choses pour nos peuples"
Discours devant le TransAtlantic Business Dialogue, Berlin, 29 octobre 1999.
En réponse aux pays touchés par la crise alimentaire de 2008 qui voulaient réduire les exportations pour nourrir leurs peuples :
"Il est évident que de telles mesures entraînent une hausse supplémentaire des prix. A court terme, ce n’est pas une bonne solution économique."
Réunion des Nations-Unies à Berne, avril 2004.








 QUELQUES FAITS D’ARMES DE DOMINIQUE STRAUSS-KAHN

  • 1994 : il participe à la création du « Cercle de l’industrie », lobby des industriels français au sein de l’Union européenne. Y sont représentés : Rhône-Poulenc, Lafarge, Pechiney, Elf, L’Oréal, Bull, Schneider, Renault, Total…
  • 1997 : ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie de Lionel Jospin, il supervise les ouvertures de capital (France Télécom, Air France, Thomson, EADS...) et les privatisations (Crédit lyonnais, GAN, CNP, CIC, Autoroutes du Sud de la France...) qui s’enchaînent à un rythme inégalé (42 milliards par an en moyenne contre 38 pour le gouvernement Balladur et 27 pour le gouvernement Juppé). En décembre, il annonce vouloir relancer la réflexion sur les fonds de pension.
  • 1999 : il baisse le taux d’imposition des stock-options de 40% à 26%, ce qui représente un bénéfice de 4 milliards de francs pour 12 000 privilégiés.
  • 2000 : il participe à la Conférence annuelle du Groupe de Bilderberg, un rassemblement des plus puissants hommes d’affaires, dirigeants et hommes de médias dans le monde.
  • 2003 : il co-fonde avec Michel Rocard le club de réflexion À gauche, en Europe qui soutient très tôt et de façon inconditionnelle le Traité constitutionnel européen. En mai 2005, il sort un DVD en faveur du « oui ».
  • 2007 : il devient directeur général du FMI sur proposition de Jean-Claude Juncker (cet homme politique luxembourgeois est l’un des architectes du traité de Maastricht) et Romano Prodi (ancien président de la Commission européenne), avec le soutien actif de Nicolas Sarkozy et avec l’accord du président des États-Unis George W. Bush.

 Ses meilleures citations :

« Le FMI qui a traité 122 crises bancaires dans son histoire, depuis l’après guerre, a noté une constante : le retour à la croissance ne se fait pas tant que l’assainissement du système bancaire n’a pas été opéré. » Interview au Figaro, 6 avril 2009
"Dix ans après sa création, la zone euro reste un club auquel on souhaite adhérer. C’est peut-être la meilleure preuve de son succès persistant et de ses perspectives favorables."
Entretiens économiques de Bruxelles, 15 Mai 2008

2 commentaires:

  1. Tu pourras rajouter Walls dans ta liste de zouaves, après ses propos sur les 35 heures.
    Bien fraternellement à toi.
    GR

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  2. T'as parfaitement raison , ils deviennent complètement timbré , et ils osent se revendiquer de Jaurès , mais ses os doivent s'entrechoquer!

    amitié à toi Georges

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