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dimanche 23 février 2014

Cet homme risque la prison pour avoir refusé d'épandre un pesticide sur ses vignes ; cela me rappelle le combat que nous avons mené dans le secteur de l'élevage notamment quand les instance sanitaires rendaient obligatoire l'injection d'ivomectine aux bovins afin de détruire le varron, un insecte qui pondait sous la peau des vaches , cet animal était l’hôte des bovidés depuis toujours , nombres d'entre nous se sont retrouvés au tribunal pour avoir refusé d'appliquer ce traitement au nom de la santé et qui plus est au nom de la biodiversité nous ne savons pas encore toutes les répercutions qui ont été provoquées par l"éradication du varron ; dans la vigne c'est la même chose partout sur le vivant c'est la même chose , l'homme n'est pas le gendarme de la biodiversité , il est pour le moment le "fouteur de bordel " et nous allons laisser un triste héritage à nos petits enfants ou nos enfants / En attendant soutenons ce viticulteur


Institut pour la Protection de la Santé Naturelle

Vous avez signé ? Bravo et Merci !

Mais avez-vous tranféré ce message à vos proches,
vos familles, vos amis ?


Si ce n'est pas vous, qui leur dira ?

Personne ne doit ignorer que des personnes en France risquent :

La prison pour avoir refusé de polluer !

Le viticulteur convoque au tribunal parle

Écoutez le témoignage d'Emmanuel Giboulot, viticulteur bio dans le département de la Côte-d'Or, qui exploite depuis plus de quarante ans 10 hectares de vignes en agriculture biologique.

Le lundi 24 février 2014, il passera devant le tribunal correctionnel pour avoir refusé de déverser un dangereux pesticide sur sa vigne. Il encourt jusqu'à 6 mois d'emprisonnement et 30 000 euros d'amende.

Avec tout mon dévouement,

Augustin de Livois

Président de l'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle

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