Le blog d'un syndicaliste Paysan : Jean Claude Depoil/ RÉSISTER EST UN DEVOIR. SE SOUMETTRE UNE ERREUR ? NON ,UNE FAUTE IMPARDONNABLE/ Lutter contre l'argent roi qui détruit tout/ De Louise Michel: "Puisqu'il semble que tout coeur qui bat pour la liberté n'a droit qu'a un peu de plomb,j'en réclame ma part, moi!Si vous me laissez vivre ,je ne cesserai de réclamer vengeance...si vous n’êtes pas des lâches tuez moi!". Photo d'une "manif" paysanne FDSEA au Donjon dans les années 50
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dimanche 29 novembre 2009
Terre ,Pays et Paysans
Un paysan meurt ; un paysan disparaît
Une place de plus pour un agri manager
Un paysan meurt, un paysan disparaît
Le soleil se lève, le Pays peut toujours
manger
Un paysan meurt, un paysan disparait
Une école en danger , l'élu s'inquiète
Un paysan meurt, un paysan disparaît
Les commerces ferment ,ne rien laisser
paraître
Un paysan meurt , un paysan disparaît
Le village s'endort , priorité :se taire!
Un paysan meurt, un paysan disparaît
Le canton ralentit,comprendre :on essaient,
Un paysan meurt, un paysan disparaît
La campagne change : espace vert!
Un paysan meurt, un paysan disparaît
De Nouvelle Zélande ,le gigot apparaît
Un paysan meurt, un paysan disparaît
L'engrais augmenté, rien n'y parait
Un paysan meurt, un paysan disparaît
D'Amérique la viande arrive en "minerai"
Un paysan meurt, un paysan disparaît
Des friches , des landes on se met au vert
Un paysan meurt, un paysan disparaît
La laiterie ferme , qu'importe le lait est frais
Un paysan meurt, un paysan disparaît
Plus une haie ne barre l'horizon , plus un arbre n'apparaît
Un paysan meurt , un paysan disparaît
Le vent souffle , le froid envahit la plaine
Un paysan meurt, un paysan disparaît
Le paysage est monotone ,souffre la terre
Un paysan Meurt, un paysan disparaît
La campagne vide, offre son ventre à la herse
Les paysans ne sont plus là, qu'est devenu le pays
« Morne plaine » ,écrivait Hugo après Waterloo
Revenir en arrière ,trop tard , vive le Carbone
Construisons autoroutes , voies express
Traversons ,quittons ce désert ,allons ailleurs
Ailleurs , ailleurs .......
Mais où, AILLEURS
Jean Claude Depoil
Contre ma volonté
Contre ma volonté , je n'ai rien écrit de puis près de 15 jours , le fournisseur internet en est le responsable , Alors nous allons rattraper le temps perdu!
Reportage sur Salah à France 2
L'ambassadeur d'Israël en France patauge ; notamment sur la condamnation, mais surtout c'est la première fois que les Autorités Israéliennes admettent que Jérusalem Est est un territoire occupé!
dimanche 15 novembre 2009
samedi 14 novembre 2009
Sur mon canton , L'installation remise en cause
Dominique dont personne ne veut dans l'Allier, ainsi ils ont été deux à payer l'addition du sectarisme
Sur une commune voisine, une exploitation libérée se vendait, tout de suite nous avons penser réaliser deux installation :finaliser celle de fils et permettre à un autre jeune de s'installer ,l'exploitation nous paraissait trop grande pour un seul, les choses semblaient pas mal se passer , il faut dire que celui qui voulait acheter cette exploitation en possédait déjà 250 ha en Suisse , un apporteur de capitaux avait selon la SAFER été trouvé , nous avions près d'un mois pour faire les études , et le jeune qui était aussi candidat , fils de l'un de nos adhérents avait invité le crédit à se déplacer , après une demi journée de travail , l'homme de la banque est reparti , l'affaire était viable tout le monde semblait contant............
Mais au dernier moment , nous apprenons que l'apporteur de capitaux se déballonne , et la veille du comité technique(instance de la SAFER qui devait finaliser le projet) la banque faisait marche arrière !
Depuis plusieurs jours nous avions vu arriver sur cette exploitation de nombreux gros matériels au mépris des deux mois de délais obligatoires entre la promesse de vente et la vente effective (avait il reçu des assurances qu'en aucun cas son projet financier ne serait entravé?), en tout cas ce qui devait arrivé arriva , point d'installation et une usine de plus , deux jeunes du canton renvoyé à leur chères études et un agri manager de plus . Où comment se faire emmener en bateau!
La FDSEA et les JA se sont battus comme de beaux diables mais rien n'y a fait ,l'argent, la comme ailleurs a fait son œuvre , le président de la FDSEA 03 a dépensé beaucoup d'énergie , pour faire aboutir le bon sens , Bruno Vif ne décolère pas, le conseil d'administration de la FDSEA se réunira quand la décision officiel nous parviendra , il faudra aviser , en tout cas FDSEA et son Président ont été bien seuls pour défendre ce dossier devenu le symbole de l'ultra-libéralisme .
Ce qui est clair maintenant , c'est que l'on ne veut plus d'installation, à plus forte raison si ce sont des enfants de responsables FDSEA , c'est aussi une façon d'éliminer ceux qui dérangent ;certains ne se privent même pas de le dire .
C'est beau le sectarisme , mais cela fait des ravages ,et un jour il faudra bien faire les comptes et cela tôt ou tard car l'histoire ,elle , s'écrit sans état d'âme .
jeudi 12 novembre 2009
Toujours dans le cadre du souvenir du 11 novembre et la chute du mur de Berlin voici une vidéo très dure attention!
Cette vidéo très dure rappelle , au moment ou le conseil des ministres d' Israël se réuni à Berlin ,qu'un peuple souffre TERRIBLEMENT et sous nos yeux.
Ô Peuples Du Monde ou Etiez-vous !
envoyé par Boycotte. - Plus de vidéos de blogueurs.
mercredi 11 novembre 2009
Ce soir 11 novembre
Emile Guillaumin le paysan écrivain où le sage d'Ygrande d''ailleurs dans son village est ouvert un musé(juste à l'entrée d'Ygrande)
Un nouveau 11 novembre de passé , Pour moi comme pour de nombreux paysans cette date est synonyme de pas mal de choses ,c'est la date d' exigibilité des fermages , beaucoup d'entre nous ne seront pas à même d'honorer cette échéance , la crise est passée par là, les comptes sont vides ,mais ce n'est pas une nouvelle.
Cette date est toujours la date des changements d'exploitation ,si ,il y a quelques décennies le déménagement devait s'effectuer dans la journée c'était une corvée commune , tel n'est plus le cas aujourd'hui , les paysans prennent possession progressivement de leur nouvelle terre tout au long de la fin d'année.
Le 11 novembre ,c'est aussi souvent la rentrée dans la période hivernale , la période sombre et cela est inscrit dans nos "gènes" depuis des générations et le travail -même avec des méthodes plus modernes-s'organise autrement et souvent autour des animaux .
Mais en ces périodes troublées, c'est aussi une période difficile psychologiquement car les paysans s'isolent sur leur exploitation et pensent , réfléchissent à leur condition , le temps gris ,les jours cours ,le travail commence la nuit et finit la nuit tombée , c'est hélas la période la plus délicate en terme de dépressions qui ,non soignées se terminent très mal, car la culture de l'individualisme a supprimé les rencontres entre voisin et le mal en est d'autant plus grave car à cette saison pour certain la seule visite est celle du facteur qui n'amène pas -à son corps défendant- de bonne nouvelles .
C'est enfin et surtout le jour de mémoire , Ho! pas celle officielle avec tous ces cravatés pour qui c'est une occasion de se montrer, non ,mon grand père est passé à Verdun , le chemin des Dames, et tous les champs de bataille , de charniers dont mon grand père ne parlait qu'avec un sanglot dans la voix et ce jusqu'à la fin de sa vie , oui il y a plusieurs mémoires ceux qui y sont passés et les nantis ceux qui les honorent mais dont les ancêtres comme eux étaient à l'abri. Les planqués comme disait mon grand père !
Voila la vie continue mais reste dans nos cœurs ce ressentiment de gens qui ont beaucoup donné , et dont on oublie si vite et leur rôle et ou sont passés leurs parents, grand parents ,de la chair à canon , même aujourd'hui a part les "agri-manager "comme les appellent le crédit agricole les paysans ont l'impression d'être des oubliés de la société .
E t quelque part, pire que cela ,c'est en fin d'année qu'arrivent les aides publiques et si elles permettent de payer quelques factures , elles donnent surtout aux paysans l'impression d'être assistés et les dévalorisent un peu plus ,eux qui sont tellement fier de leur métier , de leur production bradée sur l' hôtel du libéralisme.
Cette date est toujours la date des changements d'exploitation ,si ,il y a quelques décennies le déménagement devait s'effectuer dans la journée c'était une corvée commune , tel n'est plus le cas aujourd'hui , les paysans prennent possession progressivement de leur nouvelle terre tout au long de la fin d'année.
Le 11 novembre ,c'est aussi souvent la rentrée dans la période hivernale , la période sombre et cela est inscrit dans nos "gènes" depuis des générations et le travail -même avec des méthodes plus modernes-s'organise autrement et souvent autour des animaux .
Mais en ces périodes troublées, c'est aussi une période difficile psychologiquement car les paysans s'isolent sur leur exploitation et pensent , réfléchissent à leur condition , le temps gris ,les jours cours ,le travail commence la nuit et finit la nuit tombée , c'est hélas la période la plus délicate en terme de dépressions qui ,non soignées se terminent très mal, car la culture de l'individualisme a supprimé les rencontres entre voisin et le mal en est d'autant plus grave car à cette saison pour certain la seule visite est celle du facteur qui n'amène pas -à son corps défendant- de bonne nouvelles .
C'est enfin et surtout le jour de mémoire , Ho! pas celle officielle avec tous ces cravatés pour qui c'est une occasion de se montrer, non ,mon grand père est passé à Verdun , le chemin des Dames, et tous les champs de bataille , de charniers dont mon grand père ne parlait qu'avec un sanglot dans la voix et ce jusqu'à la fin de sa vie , oui il y a plusieurs mémoires ceux qui y sont passés et les nantis ceux qui les honorent mais dont les ancêtres comme eux étaient à l'abri. Les planqués comme disait mon grand père !
Voila la vie continue mais reste dans nos cœurs ce ressentiment de gens qui ont beaucoup donné , et dont on oublie si vite et leur rôle et ou sont passés leurs parents, grand parents ,de la chair à canon , même aujourd'hui a part les "agri-manager "comme les appellent le crédit agricole les paysans ont l'impression d'être des oubliés de la société .
E t quelque part, pire que cela ,c'est en fin d'année qu'arrivent les aides publiques et si elles permettent de payer quelques factures , elles donnent surtout aux paysans l'impression d'être assistés et les dévalorisent un peu plus ,eux qui sont tellement fier de leur métier , de leur production bradée sur l' hôtel du libéralisme.
mardi 10 novembre 2009
A la veille de la comémoration de la fin de la grande guerre
Renaud reprend ce chant antimilitariste, mon fils ainé a raison elle donne des frissons dans le dos et pourtant cette guerre est l'œuvre de ces puissants : "ces gens respectables" et les paysans ,les ouvriers ont payé. Chienne de guerre
lundi 9 novembre 2009
dimanche 8 novembre 2009
Quand un homme d'église courageux et claivoyant prend position où.....
"Celui qui croyait au ciel , celui qui n'y croyait pas ":Aragon
J'ai recueilli le sermon de l'évêque de Montauban , j'ai vu que Bellacio l'a publié aussi, comme quoi il ne faut jamais élever de barrière là ou elles sont inutiles, le sectarisme reste l'arme des puissants, c'est ce que nous démontre tous les jours le pouvoir en place.
Mais ne pas se soumettre: Résister
Voici donc ce sermon prononcé à la Toussaint,ils sont peu nombreux ces hommes d'églises mais ceux qui sont objectifs méritent d'être reconnu . le grand Aragon l'a tellement bien écrit : n'est ce pas Georges Raynaud ,mon camarade de la Drôme
Laissons parler cet Homme
Défunts, victimes d’une nouvelle pandémie
Parmi les défunts auxquels je pense particulièrement ces jours-ci et que je porte dans ma prière il y a les victimes d’une nouvelle « pandémie » : ceux que les conditions de travail conduisent à la mort, ceux qui poussés par des contraintes inhumaines, désespérés, se tuent : à France Télécom, à l’entreprise Thalès et dans d’autres entreprises…
Qui plaidera pour eux ?
Qui reconnaîtra qu’ils sont sacrifiés à des idoles mortifères : la rentabilité, la concurrence, le réduction des coûts, les techniques de gestion ?
La barbarie du quotidien fait naître leur culpabilité au point qu’ils se donnent eux-mêmes la mort devant l’idole implacable qui demande toujours plus. Chez France Télécom Orange il faut être « Orange à l’intérieur » (lire Ivan du Roy : Orange stressé, Edition La Découverte , Paris 2009)… « Orange à l’intérieur » mais qu’est-ce donc que ce mot d’ordre sinon la volonté des managers de s’approprier le salarié pour l’évaluer dans son « adhésion à l’entreprise » c’est-à-dire dans sa capacité à n’être plus qu’un avec elle ? Au bout il y a la prime ou…. la mutation ou l’orientation vers la sortie…
Ces réalités touchent des millions de personnes vouées au profit de grandes entreprises qui se font la guerre avec un armement humain et qui ne craignent pas les pertes « en matériel ». Ce « matériel » nous le connaissons bien : ce sont nos proches, nos voisins, ils travaillent depuis quinze ou vingt ans dans telle ou telle entreprise, ils ont acquis une maison qu’ils paient sur vingt ou vingt-cinq ans grâce à leur travail.
Un jour tout s’arrête parce que l’entreprise est délocalisée, parce que l’acheteur étranger n’a rien à faire de cette usine (comme Molex), parce que la gestion rigoureuse des managers sera récompensée s’ils font partir 10% du personnel de leur service…
La guerre internationale se gagne à ce prix..
Le 11 novembre nous allons faire mémoire de la terrible guerre de 14-18. Si nous sommes convaincus que les guerres sont insensées comment pouvons-nous accepter d’en être les complices en laissant se répandre des conditions de travail qui abîment l’homme et finissent par le détruire ?
Quand un système économique, sous prétexte de performance, impose un type de management où l’être humain est écrasé par des exigences intenables, soumis à des pressions qui le survalorisent ou le rabaissent par un jeu cruel de mise à l’épreuve, le travail –noble activité humaine- devient la forme moderne de l’esclavage. Il devient logique que dans un tel système ceux qui ne suivent pas soient condamnés…
En ce mois de commémorations, nous allons nous souvenir de ces morts « pour la production »,victimes du « turn over », des délocalisations, des plans de licenciements, du chômage partiel, du «toujours plus » …
Msr Ginoux, évêque de Montauban
J'ai recueilli le sermon de l'évêque de Montauban , j'ai vu que Bellacio l'a publié aussi, comme quoi il ne faut jamais élever de barrière là ou elles sont inutiles, le sectarisme reste l'arme des puissants, c'est ce que nous démontre tous les jours le pouvoir en place.
Mais ne pas se soumettre: Résister
Voici donc ce sermon prononcé à la Toussaint,ils sont peu nombreux ces hommes d'églises mais ceux qui sont objectifs méritent d'être reconnu . le grand Aragon l'a tellement bien écrit : n'est ce pas Georges Raynaud ,mon camarade de la Drôme
Laissons parler cet Homme
Défunts, victimes d’une nouvelle pandémie
Parmi les défunts auxquels je pense particulièrement ces jours-ci et que je porte dans ma prière il y a les victimes d’une nouvelle « pandémie » : ceux que les conditions de travail conduisent à la mort, ceux qui poussés par des contraintes inhumaines, désespérés, se tuent : à France Télécom, à l’entreprise Thalès et dans d’autres entreprises…
Qui plaidera pour eux ?
Qui reconnaîtra qu’ils sont sacrifiés à des idoles mortifères : la rentabilité, la concurrence, le réduction des coûts, les techniques de gestion ?
La barbarie du quotidien fait naître leur culpabilité au point qu’ils se donnent eux-mêmes la mort devant l’idole implacable qui demande toujours plus. Chez France Télécom Orange il faut être « Orange à l’intérieur » (lire Ivan du Roy : Orange stressé, Edition La Découverte , Paris 2009)… « Orange à l’intérieur » mais qu’est-ce donc que ce mot d’ordre sinon la volonté des managers de s’approprier le salarié pour l’évaluer dans son « adhésion à l’entreprise » c’est-à-dire dans sa capacité à n’être plus qu’un avec elle ? Au bout il y a la prime ou…. la mutation ou l’orientation vers la sortie…
Ces réalités touchent des millions de personnes vouées au profit de grandes entreprises qui se font la guerre avec un armement humain et qui ne craignent pas les pertes « en matériel ». Ce « matériel » nous le connaissons bien : ce sont nos proches, nos voisins, ils travaillent depuis quinze ou vingt ans dans telle ou telle entreprise, ils ont acquis une maison qu’ils paient sur vingt ou vingt-cinq ans grâce à leur travail.
Un jour tout s’arrête parce que l’entreprise est délocalisée, parce que l’acheteur étranger n’a rien à faire de cette usine (comme Molex), parce que la gestion rigoureuse des managers sera récompensée s’ils font partir 10% du personnel de leur service…
La guerre internationale se gagne à ce prix..
Le 11 novembre nous allons faire mémoire de la terrible guerre de 14-18. Si nous sommes convaincus que les guerres sont insensées comment pouvons-nous accepter d’en être les complices en laissant se répandre des conditions de travail qui abîment l’homme et finissent par le détruire ?
Quand un système économique, sous prétexte de performance, impose un type de management où l’être humain est écrasé par des exigences intenables, soumis à des pressions qui le survalorisent ou le rabaissent par un jeu cruel de mise à l’épreuve, le travail –noble activité humaine- devient la forme moderne de l’esclavage. Il devient logique que dans un tel système ceux qui ne suivent pas soient condamnés…
En ce mois de commémorations, nous allons nous souvenir de ces morts « pour la production »,victimes du « turn over », des délocalisations, des plans de licenciements, du chômage partiel, du «toujours plus » …
Msr Ginoux, évêque de Montauban
samedi 7 novembre 2009
La toute puissance de la finance
En agriculture , comme ailleurs c'est les banques qui décident , même si l'agriculture est bardée de commissions de toutes sortes, de la DDAF* à la SAFER* ou les syndicats se battent pour installer des jeunes paysans le dernier mot revient toujours à la banque , des installations sont bloquées au final par le seul banquier,il en est de même pour tous les agriculteurs en but avec la crise .
Nous assistons à des scènes impensables , il n'y a pas une semaine par exemple ,ou je ne reçois des coup de fil d'adhérents qui me disent par exemple que la banque leur conseille de ne pas payer leurs factures transformant ainsi les fournisseurs en banque de secours au mépris de la santé des entreprises , c'est pourquoi à mon avis nous sommes à la vielle d'un nouveau crack mais ce coup ci dans l'économie réelle , on comprendra trop tard que la poule aux œufs d'or est morte .
Les banques préfèrent spéculer , ou investir dans des milieux plus sûr et plus porteurs pour eux au antipodes du besoin du plus grand nombre , ainsi l'argent décide de tout , la finance devient la seule et unique nécessité objective , le politique ayant abandonné , ou plié devant le "rentable"à court terme.
Nous assistons à une débauche d'annonces de bénéfices de banques ,qui ,il y a quatre matins tendaient la main à l'état ,donc à nous , et aujourd'hui font connaitre des résultats profondément insultant ,pour le commun des mortels qui en travaillant toujours plus gagnent de moins en moins, voir ne gagnent plus rien du tout.
Nous allons très vite nous rendre compte qu'en abandonnant l'être humain , les sociétés dites développées vont se retrouver devant un mur, des difficultés insurmontables et au final , les citoyens- y compris ceux qui ont cru en ce système fou- vivront des jours noirs , des époques que l'on auraient cru dépassées et au lieu de voir le progrès profiter à l'homme , le précipitera dans un gouffre sans fond.
Je ne parle pas bien sûr des dégâts environnementaux car contrairement à ce que laissent penser les écolos bcbg du type Hulo ,la rentabilité et le libéralisme ne se conjugue pas avec protection de l'environnement.
*DDAF :direction départementale de l'agriculture et de la forêt
* SAFER:Société aménagement foncier
Nous assistons à des scènes impensables , il n'y a pas une semaine par exemple ,ou je ne reçois des coup de fil d'adhérents qui me disent par exemple que la banque leur conseille de ne pas payer leurs factures transformant ainsi les fournisseurs en banque de secours au mépris de la santé des entreprises , c'est pourquoi à mon avis nous sommes à la vielle d'un nouveau crack mais ce coup ci dans l'économie réelle , on comprendra trop tard que la poule aux œufs d'or est morte .
Les banques préfèrent spéculer , ou investir dans des milieux plus sûr et plus porteurs pour eux au antipodes du besoin du plus grand nombre , ainsi l'argent décide de tout , la finance devient la seule et unique nécessité objective , le politique ayant abandonné , ou plié devant le "rentable"à court terme.
Nous assistons à une débauche d'annonces de bénéfices de banques ,qui ,il y a quatre matins tendaient la main à l'état ,donc à nous , et aujourd'hui font connaitre des résultats profondément insultant ,pour le commun des mortels qui en travaillant toujours plus gagnent de moins en moins, voir ne gagnent plus rien du tout.
Nous allons très vite nous rendre compte qu'en abandonnant l'être humain , les sociétés dites développées vont se retrouver devant un mur, des difficultés insurmontables et au final , les citoyens- y compris ceux qui ont cru en ce système fou- vivront des jours noirs , des époques que l'on auraient cru dépassées et au lieu de voir le progrès profiter à l'homme , le précipitera dans un gouffre sans fond.
Je ne parle pas bien sûr des dégâts environnementaux car contrairement à ce que laissent penser les écolos bcbg du type Hulo ,la rentabilité et le libéralisme ne se conjugue pas avec protection de l'environnement.
*DDAF :direction départementale de l'agriculture et de la forêt
* SAFER:Société aménagement foncier
vendredi 6 novembre 2009
mardi 3 novembre 2009
Cela se passe au Chili mais .......................
Trente six ans après le coup d'état d'Augusto Pinochet, la droite
ultralibérale est en mesure de revenir au pouvoir au Chili, par les
urnes cette fois-ci. Alexis Corbière nous explique comment les
politiques menées par la social-démocratie depuis le retour à la
démocratie ont rendu possible une telle situation.
Dans moins de deux mois, le 13 décembre 2009, le premier tour de l’élection
présidentielle aura lieu au Chili. Pour l’heure, la presse française n’en parle
quasiment pas. C’est surprenant car il y a quatre ans, la même échéance avait
suscité beaucoup d’intérêt, dont le point d’orgue fut le voyage très médiatisé de
Ségolène Royal en soutien à la socialiste Michelle Bachelet qui sera élue Présidente.
S’il existe une « passion française » pour le Chili, elle n’est pas née cette fois
là. Depuis près de 40 ans, ce pays occupe une place à part dans le coeur de tous les
militants de gauche. Et, la fin de la dictature en 1989, puis la victoire d’une socialiste
en 2006, sont apparues pour beaucoup de nos compatriotes comme la revanche
posthume de ceux qui soutenaient Salvador Allende. La boucle semblait bouclée…
mais la réalité est plus complexe.
Pourquoi aucun responsable national du PS ne se rend sur place cette fois-ci ?
C’est que la situation locale est révélatrice de l’état de la social-démocratie mondiale.
Ce qui s’y déroule actuellement mérite d’être connu. Avec Pinochet, ce ne fut pas
seulement un régime militaire qui dirigea le pays pendant près de 17 ans. Ce fut
aussi le laboratoire d’expérimentation pour des économistes ultra libéraux formés à «
l’école de Chicago » sous la houlette du prix Nobel Milton Friedman.
Une véritable « contre révolution » s’est alors engagée, appliquant avec brutalité
les dogmes de M. Friedman que l’on peut résumer ainsi : privatisation,
dérèglementation, politiques monétaristes et réduction des dépenses sociales. Avec
l’accord des militaires, les « Chicago boys » prirent les rênes de l’économie.
En 1989, lors du retour de la « démocratie », leur bilan était sans appel : 45 %
des Chiliens vivaient sous le seuil de pauvreté et les 10 % les plus riches avaient vu
leur fortune augmenter de 83 %.
Le paradoxe terrible est que même 20 ans après le rétablissement des libertés
publiques et l’élection discontinue de quatre Présidents issue de la Concertacion -
alliance des Démocrates Chrétiens et des socialistes - la situation économique du
pays n’a guère changé.
Pire, à présent, les 20 % des Chiliens les plus aisés possèdent près de 70 % de la
richesse nationale, et les 20 % les plus pauvres n’en partagent que 3 %. L’ONU
estime ce pays à la 12e place des plus inégalitaires de la planète. Triste record.
D’autant qu’il a connu, durant les années 90, une croissance phénoménale de
plus de 8 % chaque année. Ainsi, des fortunes privées colossales se sont bâties.
C’est dans ce contexte que se déroule la prochaine élection présidentielle. Au
sein du PS chilien, beaucoup de voix ont réclamé une rupture avec ces politiques
libérales. Elles pensaient qu’il était temps de rompre avec la Concertacion et
d’engager une réelle politique de répartition des richesses accompagnée de la mise
en place d’une nouvelle Constitution. Cette dernière, totalement anti démocratique, a
été rédigée par Pinochet et bloque la possibilité de toute politique sociale d’Etat.
La démission de la sociale-démocratie
Ces voix n’ont pas été entendues. Le PS chilien a même décidé de ne pas
présenter un candidat socialiste à l’élection présidentielle et de soutenir dès le
premier tour le responsable de la Démocratie Chrétienne (DC) - le parti du
néolibéralisme -, Eduardo Frei, déjà Président de 1990 à 1994. Le secrétaire
général du PS a même déclaré récemment que la DC et le PS pourrait
prochainement devenir un « Parti unique »
.
Refusant cette dérive du PS vers le centre droit qui nous rappelle celle actuellement
à l’oeuvre en Europe et ce sabordage, de nombreux dirigeants historiques du PS
ont claqué la porte. C’est le cas de Jorge Arrate, ancien Président du PS, qui est
devenu le candidat d’un large « Front de gauche », Juntos Podemos. Celui-ci
regroupe une dizaine de formations dont le Parti communiste. Parmi ses
propositions, on trouvera une augmentation des salaires de 10 % par année, la mise
en place d’un authentique salaire minimum, un réel investissement pour l’école
publique, une réforme fiscale… et aussi, détail important, l’élection d’une
Assemblée constituante.
Dans le même temps, un jeune député socialiste, Marco Enriquez-Ominami
(MEO), se présentera également en dehors de l’accord PS/DC. Il est le fils de
Miguel Enriquez, dirigeant du MIR assassiné en 1974. A gauche sur des questions
sociétales, M. Enriquez-Ominami ne met pas au coeur de sa campagne les
profondes réformes nécessaires pour lutter contre les injustices et les inégalités
sociales qui minent le pays. Très soutenu par la grande majorité de la presse
pourtant très réactionnaire, il tranche avec les autres candidats par sa jeunesse
et sa campagne « marketing », inspiré de Jacques Séguéla dont il fut l’élève.
Mais, il regroupe autour de lui des gens de gauche et de droite. Exemple significatif,
le responsable de son projet économique est Paul Fontaine, un patron formé à
« l’école de Chicago » qui, à propos de la dictature, « reconnait l’oeuvre
économique des militaires mais condamne les violations des droits de l’homme ». Au
second tour, si MEO n’était pas présent, Fontaine votera pour le candidat de droite.
Ce personnage incarne assez clairement toutes les ambiguïtés des nombreux
soutiens de cette candidature « attrape-tout ».
Enfin, on trouve, comme quatrième candidat, Sebastian Pinera. Il est le candidat de
toute la droite, cette fois ci rassemblée. M. Pinera est un milliardaire qui s’est
enrichi sous la dictature, et dont le frère, José Pinera, était ministre de l’économie
d’Augusto Pinochet.
Les politiques menées par la Concertacion depuis 20 ans et la confusion idéologique
dans laquelle le PS a maintenu le pays ont créé les conditions propices à la
possibilité d’une victoire de la droite. Pour l’heure, tous les instituts de sondages
mettent M.Pinera nettement en tête au premier tour, et gagnant dans tous les
cas de figure au second.
Qui aurait pu croire qu’au pays de Salvador Allende, 36 ans après sa mort, un
héritier politique de Pinochet soit en situation d’être élu «démocratiquement» à
la présidence ? C’est pourtant une possibilité dont la responsabilité repose en
grande partie sur le PS chilien qui s’est totalement converti au néolibéralisme et a
favorisé en cela le développement d’une grande abstention populaire.
Dans ce désastre général, seule la candidature de Jorge Arrate fait entendre
des propositions pour une authentique politique de gauche. Elle remobilise un
électorat qui n’en pouvait plus. C’est pourquoi en France, plusieurs partis politiques
dont le Parti communiste et le Parti de Gauche la soutienne.
Ne laissons pas Allende
se faire assassiner une nouvelle foi
Au fait en 2002 Chirac n'est pas arrivé avec son petit Sarko dans le Lando?
Pourtant il me semblait que la gauche était au pouvoir Jean Ferrat chantait très bien cela :La porte du bonheur est une porte étroite et tout le monde me dit que c'est la porte à droite!
A oui on ne joue pas à tromper les gens éternellement mais après il nous faut subir des pantins comme Sarko
ultralibérale est en mesure de revenir au pouvoir au Chili, par les
urnes cette fois-ci. Alexis Corbière nous explique comment les
politiques menées par la social-démocratie depuis le retour à la
démocratie ont rendu possible une telle situation.
Dans moins de deux mois, le 13 décembre 2009, le premier tour de l’élection
présidentielle aura lieu au Chili. Pour l’heure, la presse française n’en parle
quasiment pas. C’est surprenant car il y a quatre ans, la même échéance avait
suscité beaucoup d’intérêt, dont le point d’orgue fut le voyage très médiatisé de
Ségolène Royal en soutien à la socialiste Michelle Bachelet qui sera élue Présidente.
S’il existe une « passion française » pour le Chili, elle n’est pas née cette fois
là. Depuis près de 40 ans, ce pays occupe une place à part dans le coeur de tous les
militants de gauche. Et, la fin de la dictature en 1989, puis la victoire d’une socialiste
en 2006, sont apparues pour beaucoup de nos compatriotes comme la revanche
posthume de ceux qui soutenaient Salvador Allende. La boucle semblait bouclée…
mais la réalité est plus complexe.
Pourquoi aucun responsable national du PS ne se rend sur place cette fois-ci ?
C’est que la situation locale est révélatrice de l’état de la social-démocratie mondiale.
Ce qui s’y déroule actuellement mérite d’être connu. Avec Pinochet, ce ne fut pas
seulement un régime militaire qui dirigea le pays pendant près de 17 ans. Ce fut
aussi le laboratoire d’expérimentation pour des économistes ultra libéraux formés à «
l’école de Chicago » sous la houlette du prix Nobel Milton Friedman.
Une véritable « contre révolution » s’est alors engagée, appliquant avec brutalité
les dogmes de M. Friedman que l’on peut résumer ainsi : privatisation,
dérèglementation, politiques monétaristes et réduction des dépenses sociales. Avec
l’accord des militaires, les « Chicago boys » prirent les rênes de l’économie.
En 1989, lors du retour de la « démocratie », leur bilan était sans appel : 45 %
des Chiliens vivaient sous le seuil de pauvreté et les 10 % les plus riches avaient vu
leur fortune augmenter de 83 %.
Le paradoxe terrible est que même 20 ans après le rétablissement des libertés
publiques et l’élection discontinue de quatre Présidents issue de la Concertacion -
alliance des Démocrates Chrétiens et des socialistes - la situation économique du
pays n’a guère changé.
Pire, à présent, les 20 % des Chiliens les plus aisés possèdent près de 70 % de la
richesse nationale, et les 20 % les plus pauvres n’en partagent que 3 %. L’ONU
estime ce pays à la 12e place des plus inégalitaires de la planète. Triste record.
D’autant qu’il a connu, durant les années 90, une croissance phénoménale de
plus de 8 % chaque année. Ainsi, des fortunes privées colossales se sont bâties.
C’est dans ce contexte que se déroule la prochaine élection présidentielle. Au
sein du PS chilien, beaucoup de voix ont réclamé une rupture avec ces politiques
libérales. Elles pensaient qu’il était temps de rompre avec la Concertacion et
d’engager une réelle politique de répartition des richesses accompagnée de la mise
en place d’une nouvelle Constitution. Cette dernière, totalement anti démocratique, a
été rédigée par Pinochet et bloque la possibilité de toute politique sociale d’Etat.
La démission de la sociale-démocratie
Ces voix n’ont pas été entendues. Le PS chilien a même décidé de ne pas
présenter un candidat socialiste à l’élection présidentielle et de soutenir dès le
premier tour le responsable de la Démocratie Chrétienne (DC) - le parti du
néolibéralisme -, Eduardo Frei, déjà Président de 1990 à 1994. Le secrétaire
général du PS a même déclaré récemment que la DC et le PS pourrait
prochainement devenir un « Parti unique »
.
Refusant cette dérive du PS vers le centre droit qui nous rappelle celle actuellement
à l’oeuvre en Europe et ce sabordage, de nombreux dirigeants historiques du PS
ont claqué la porte. C’est le cas de Jorge Arrate, ancien Président du PS, qui est
devenu le candidat d’un large « Front de gauche », Juntos Podemos. Celui-ci
regroupe une dizaine de formations dont le Parti communiste. Parmi ses
propositions, on trouvera une augmentation des salaires de 10 % par année, la mise
en place d’un authentique salaire minimum, un réel investissement pour l’école
publique, une réforme fiscale… et aussi, détail important, l’élection d’une
Assemblée constituante.
Dans le même temps, un jeune député socialiste, Marco Enriquez-Ominami
(MEO), se présentera également en dehors de l’accord PS/DC. Il est le fils de
Miguel Enriquez, dirigeant du MIR assassiné en 1974. A gauche sur des questions
sociétales, M. Enriquez-Ominami ne met pas au coeur de sa campagne les
profondes réformes nécessaires pour lutter contre les injustices et les inégalités
sociales qui minent le pays. Très soutenu par la grande majorité de la presse
pourtant très réactionnaire, il tranche avec les autres candidats par sa jeunesse
et sa campagne « marketing », inspiré de Jacques Séguéla dont il fut l’élève.
Mais, il regroupe autour de lui des gens de gauche et de droite. Exemple significatif,
le responsable de son projet économique est Paul Fontaine, un patron formé à
« l’école de Chicago » qui, à propos de la dictature, « reconnait l’oeuvre
économique des militaires mais condamne les violations des droits de l’homme ». Au
second tour, si MEO n’était pas présent, Fontaine votera pour le candidat de droite.
Ce personnage incarne assez clairement toutes les ambiguïtés des nombreux
soutiens de cette candidature « attrape-tout ».
Enfin, on trouve, comme quatrième candidat, Sebastian Pinera. Il est le candidat de
toute la droite, cette fois ci rassemblée. M. Pinera est un milliardaire qui s’est
enrichi sous la dictature, et dont le frère, José Pinera, était ministre de l’économie
d’Augusto Pinochet.
Les politiques menées par la Concertacion depuis 20 ans et la confusion idéologique
dans laquelle le PS a maintenu le pays ont créé les conditions propices à la
possibilité d’une victoire de la droite. Pour l’heure, tous les instituts de sondages
mettent M.Pinera nettement en tête au premier tour, et gagnant dans tous les
cas de figure au second.
Qui aurait pu croire qu’au pays de Salvador Allende, 36 ans après sa mort, un
héritier politique de Pinochet soit en situation d’être élu «démocratiquement» à
la présidence ? C’est pourtant une possibilité dont la responsabilité repose en
grande partie sur le PS chilien qui s’est totalement converti au néolibéralisme et a
favorisé en cela le développement d’une grande abstention populaire.
Dans ce désastre général, seule la candidature de Jorge Arrate fait entendre
des propositions pour une authentique politique de gauche. Elle remobilise un
électorat qui n’en pouvait plus. C’est pourquoi en France, plusieurs partis politiques
dont le Parti communiste et le Parti de Gauche la soutienne.
Ne laissons pas Allende
se faire assassiner une nouvelle foi
Au fait en 2002 Chirac n'est pas arrivé avec son petit Sarko dans le Lando?
Pourtant il me semblait que la gauche était au pouvoir Jean Ferrat chantait très bien cela :La porte du bonheur est une porte étroite et tout le monde me dit que c'est la porte à droite!
A oui on ne joue pas à tromper les gens éternellement mais après il nous faut subir des pantins comme Sarko
Le beurre et l'argent du beurre
La dernière invention du pouvoir pour sauver les producteurs de lait , c'est la cotation en bourse du beurre et de la poudre de lait!
Il faut croire qu'ils sont devenu fous , voilà maintenant que les produits de base seront au bon vouloir des spéculateurs , bientôt ce seront les hommes eux même qui seront côtés ! puisque l'argent doit décider de tout.
Les accidentés du travail devront déclarer leur indemnités, et les plus riches ne paieront même pas la CSG !
A quand Travail, Famille , Patrie!
Ce ne sont plus les chemise brunes mais les montres Rolex!
Au Secours réveillez vous et vite
dimanche 1 novembre 2009
Quelques photos d'automne pour changer!
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une très belle région ou résiste la marque du travail des hommes.L'automne y est flamboyant.
Pourtant ,que la montagne est belle ;comme le chante si bien Jean Ferrat