vendredi 5 août 2016
Les crapules de la haute finance veulent la peau de la révolution Bolivarienne, tous les moyens sont bons y compris affamer le peuple
La strangulation du Venezuela par tous les moyens est la prémisse de l'opposition et celle-ci a des partenaires financiers extérieurs.
Partout battre le Venezuela et faire tomber la Révolution Bolivarienne et pourtant elle persiste et maintient des programmes sociaux en dépit des difficultés économiques dues à la faiblesse des prix du pétrole.
La finance internationale n'a jamais cessé de pointer vers le Venezuela comme un pays à haut risque. Les banques allemandes et américaines, Commerzbank et Citibank, respectivement, ont décidé de mettre fin unilatéralement aux opérations avec les banques correspondantes du Venezuela. Ce n'est pas un hasard si les fonds vautours deviennent alors la deuxième partie de l'assaut international pour un encerclement financier du Venezuela.
Le siège financier est de nier la possibilité que le Venezuela puisse faire du commerce international et ne soit plus capable de payer pour les importations de nourriture et de médicaments aux fournisseurs.
C'est ce qu'attend la droite pour monter une véritable crise humanitaire qui étrangle le pays. Pour ces opérations, les banques publiques nationales avaient essentiellement Commerzbank et Citibank comme partenaires à honorer pour leurs engagements à l'étranger. Ces banques capitalistes au service de l'impérialisme ont annulé les comptes du Venezuela à la fois avec la banque publique et privée.
Le Venezuela dépend essentiellement de l'importation de marchandises et de matières premières pour l'industrie nationale grâce à l'extraction du modèle et de la commercialisation internationale du pétrole imposé jadis par le capitalisme du vingtième siècle. Par conséquent, ce qui est consommé dans le pays est dû à l'industrie pétrolière. En 2014, la situation du pétrole a changé et le prix du pétrole a commencé à tomber, sapant les recettes du pays de 70%, et affectant de manière significative l'appareil productif et la capacité d'importer des marchandises et des matières premières entraînant des pénuries et l'inflation.
Dans ces conditions, la possibilité de renverser le gouvernement grimpe en flèche. La main invisible du marché qui cible le grand capital national et transnational finit par affecter le pouvoir d'achat de la population.
Pendant ce temps, l'opposition politique vénézuélienne cherche à empêcher depuis l'Assemblée nationale de toute autre formule pour atténuer la crise que connaît le pays. D'abord, elle a refusé d'approuver le décret d'urgence économique. Maintenant, elle s'insurge pour désapprouver le Fonds de réserve latino-américain (FLAR) qui a accordé un crédit à la Banque centrale du Venezuela (BCV) d'un montant de 482,5 milliards de dollars.
Les députés de l'opposition se présentent devant la presse internationale pour dire aux journalistes que tout prêt à la nation est inconnu et ne sera pas honoré dans le cas d'un changement de gouvernement à la Présidence du pays.
La strangulation du Venezuela par tous les moyens est la prémisse de l'opposition et des partenaires financiers extérieurs, et a le soutien politique du droit international, y compris du gouvernement des États-Unis. Et pourtant, l’opposition n'a pas été en mesure encore de renverser la Révolution Bolivarienne et, celle-ci continue sa politique sociale en faveur du peuple.
Raul Cazal
Le 31 juillet 2016
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