mercredi 31 août 2011
Faire payer les pauvres c'est normal , mais les grosses entreprises , vous n'y pensez pas !
17,07% 24,05%
Les entreprises croulent sous les charges, les gens sont bombardés d’impôts et de prélèvements, l’État leur pompe tout ce qu’ils gagnent. Le pouvoir d’achat baisse ainsi que se freine la croissance économique, la dette publique devient insoutenable et donc l’État ne peut plus s’occuper du secteur public. Il doit faire face à une crise de la dette, et doit geler ses dépenses publiques. Il faut que cela change, et il revient à chaque citoyen de se serrer la ceinture pour sortir de la crise. La solution est de rembourser la dette et de réduire le volume des dépenses publiques. Dans les discours politiques, c’est la « règle d’or » gouvernementale que l’on esgourde quand les citoyens commencent à comprendre le pot-aux-roses (1).
Outre le discours simpliste qui vise à adapter les orientations idéologiques de la politique économique en la réduisant à l’adage ’politiques, gaute et droiche tous pourris’, ou ’l’impôt sert à déshabiller Pierre pour habiller Paul’, cet article voudrait montrer à quel point le système fiscal actuellement en vigueur est injustement en train de poindre vers la privatisation de l’État au profit des riches. La situation est internationale et décomplexée : les riches, censés payer plus d’impôts que les moins riches, parviennent à contribuer moins que les autres. L’impôt est alors délégitimé, car il n’est plus redistributif, progressif (notamment l’impôt sur le revenu), il charge les ménages modestes. Les agents économiques favorisés bénéficient des mesures dérogatoires d’allègement d’impôts pendant que les « petits » n’ont pas les moyens de souscrire un contrat auprès d’un cabinet de conseil financier pour diminuer leur taux d’imposition. Les « niches fiscales » (que N. Sarkozy et F. Fillon prétendent vouloir combattre) ne bénéficient alors qu’à ceux qui ont des hauts revenus.
Il est récurrent d’entendre que la France est une bureaucratie lourde gangrénée par des prélèvements obligatoires qui coulent le portefeuille des contribuables comme une encre tombe en chute libre au fond de l’océan. Pire, nous serions dans une fonction dérivée d’un soviétisme adapté au marché, comme si les gouvernements se succédant étaient victimes de ceux du passé. Victimes d’un pseudo gaullisme social qui aurait marqué la France au fer rouge d’un simulacre de politiques sociales écrasantes, inopérantes, inflationnistes et économiquement peu attractives.
L’impôt est pourtant à la base du fonctionnement d’un État démocratique, car il permet de financer l’économie nationale, les services publics et d’opérer une redistribution des richesses pour freiner les inégalités. Le prélèvement est dit « obligatoire », puisque s’il était facultatif, nombre de contribuables ne paieraient pas et cela aggraverait les comportements individualistes. Parallèlement, impôts et prélèvements obligatoires sont ceux qui permettent de financer l’action publique. Or depuis les années 1990, le vent est à la baisse des impôts : chacun veut bénéficier de services publics de qualité mais chacun reproduit électoralement la légitimité du discours néolibéral qui individualise les comportements, favorise les exonérations fiscales, et donc réduit l’action publique.
Pour un gouvernement, l’impôt progressif ou proportionnel, direct ou indirect, est la résultante idéologique des choix de société. En effet, depuis environ une quinzaine d’années, le système fiscal est devenu un enjeu politique majeur aux abords des joutes électorales, en même temps qu’il se transformait structurellement en passoire géante faisant glisser dans les profits du secteur privé des milliards de deniers publics nécessaires à l’État pour financer l’économie nationale et les services publics.
Or le meilleur instrument pour redynamiser la croissance économique, (afin de permettre une juste répartition des richesses), est d’augmenter les dépenses publiques, avec un système fiscal équitable pour éviter la concentration du capital. En période de crise, l’économie dite déprimée ralentit l’emploi et l’investissement. L’État-Providence se doit alors de venir en aide aux plus démunis (allocations chômage, RSA, allocations familiales, etc.). Certes il le fait, mais l’aide allouée aux « pauvres » n’est qu’une miette de pain au regard du manque à gagner crée par les hauts revenus. Lorsque l’État prend en charge la gestion des besoins sociaux, des entreprises de service public et des banques, il peut se permettre de vendre un service moins onéreux qu’une entreprise privée, puisque la logique de l’État n’est pas le profit. En résultante, l’usager finance par l’impôt les services publics que l’État lui met à disposition.
Au lieu de cela, l’assiette fiscale de l’État se réduit et repose de plus en plus sur les ménages les plus modestes. Le gouvernement fait porter sur la population le prix d’une crise que les banques ont générées, et il se félicite de laisser des milliers de jeunes diplômés au chômage sans renouveler un fonctionnaire sur deux. Il précarise l’emploi public, et incite les plus riches à défiscaliser, de sorte que nombre de contribuables reçoivent un chèque du Trésor Public à parfois six chiffres chaque année : « En 2009, 979 contribuables au patrimoine supérieur à 16 millions d’euros ont ainsi reçu en moyenne 376 134 euros, soit 30 ans de SMIC… » (2). Certes, le bouclier fiscal (la loi Travail, Emploi, Pouvoir d’Achat) a été supprimé, le gouvernement met des pansements sur les jambes de bois en annonçant une taxation des transactions financières (européennes et non mondiales) et une lutte contre les niches fiscales. Mais dans le même temps, l’impôt sur la fortune est supprimé, et les mesures dérogatoires qui permettent de réduire l’impôt sur le revenu et sur les sociétés persistent. De plus, les gouvernements préconisent souvent une hausse de la TVA et des prélèvements indirects à la consommation (taxe sur le pétrole, sur l’alcool, le tabac).
Les impôts, quels sont-ils ?
Il existe plusieurs formes d’impôts. Je ne les citerai pas tous, mais je parlerai de ceux qui pèsent le plus dans l’économie nationale. Les impôts directs se distinguent des indirects. L’impôt indirect, comme par exemple la TVA, ne tient pas compte des différences de revenus : pour un même produit, il prélève le même montant à tous les consommateurs. A l’inverse, une taxe comme l’impôt sur le revenu est directe, elle « s’adresse » directement à celui qui paye, varie selon les revenus, et est, en théorie, progressive : plus on gagne d’argent, plus on est censé payer de l’impôt sur le revenu.
Voyons les impôts indirects. Ce type d’impôt est indirect car la personne qui le paye à l’État répercute le montant de l’impôt sur le prix de vente au consommateur ou à l’usager. De ce fait, un môme de dix ans qui dépense son argent de poche en bonbons, est un contribuable, et paye la TVA que le Trésor Public collecte auprès de l’artisan boulanger. Cet impôt indirect à la consommation constitue 50% des recettes fiscales de l’État. Prélevée sans distinction, la TVA ne connaît pas les différences de revenus : elle ne connaît pas les classes sociales, et prélève le même montant à un pauvre ou à un riche qui achètent le même produit. Elle pèse donc plus lourdement sur le budget des ménages précaires (les revenus aisés, eux, ont la possibilité d’épargner après collecte de la TVA par l’État). En 2005, « les 10% des ménages disposant des revenus les plus faibles consacrent 8.1% de leur revenu au paiement de la TVA pendant que les 10% des ménages disposant des revenus les plus élevés ne consacrent que 3.4% de leur revenu à la TVA » (3).En clair, plus le revenu augmente, plus la part dépensée à la consommation diminue.
Les droits d’accise sont des impôts indirects, perçus sur la consommation par les services de douanes. On distingue la taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP) ou les taxes sur le tabac et les alcools. La TIPP est un impôt indirect qui représente 7% des recettes fiscales de l’État (4).
Pour ce qui concerne les impôts directs, le plus connu est l’impôt sur le revenu : c’est un impôt direct prélevé en fonction de la tranche du salaire des contribuables. Il est souvent présenté comme le plus contraignant, or il ne représente même pas 20% des recettes de l’État (5). En principe, plus on gagne d’argent, plus on paye d’impôt sur le revenu. Son principe est la progressivité, et permet la redistribution des richesses. Sauf que depuis les années 2000, cet impôt a vu le passage de sept à cinq tranches de revenus, F. Fillon proposait même de limiter cette taxe du revenu à trois tranches seulement ! Vu que tous les contribuables n’ont évidemment pas le même salaire, ce sont donc les hauts revenus qui bénéficient le plus des baisses de l’impôt sur le revenu, d’autant qu’ils peuvent ensuite thésauriser une partie de leurs déductions fiscales. En tout état de cause, selon Attac, si l’impôt sur le revenu était calculé selon le barème de 1999, le manque à gagner de l’État serait de quinze milliards d’euros rien que pour l’année 2006, et les sommes exonérées s’accumulent d’année en année. En définitive sur tous les impôts confondus, les niches fiscales (déductions, réductions, exonérations, crédits d’impôt) représentaient une « perte » de 75 milliards d’euros en 2010 (6).
Le second impôt majoritairement connu en France est l’impôt sur le bénéfice des sociétés (IS), et représente 16% des recettes fiscales nettes de l’État. Il est direct, mais non progressif, en ce qu’il comporte des taux fixes : un taux est fixé à 15% pour les PME et les SARL. La majorité des autres sociétés payent un taux de 33.3% sur l’excédent brut d’exploitation des sociétés. Mais il est amené à être réduit dans le cadre de la politique d’harmonisation fiscale des institutions communautaires, qui sous l’effet de la concurrence fiscale et sociale, entraîne des stratégies de prédation pour faire payer aux modestes contribuables les effets des allégements fiscaux des « bases immobiles » (gros épargnants, multinationales…). Les mesures dérogatoires de l’impôt sur les sociétés s’élevaient, en 2007, à un coût budgétaire de 27 milliards d’euros. Partout en Europe, cet impôt baisse structurellement depuis vingt ans. Celles-ci concernent les grandes entreprises qui, au courant du fait, ayant les capacités de financement, délocalisent vers des pays à fiscalité plus attractive (profitable). En dépit/vertu de ces mesures, plus la taille de l’entreprise croît, plus le taux implicite d’imposition se réduit de 28% (entreprises individuelles) à 13% (entreprises de plus de 2000 salariés), à 8% (pour les entreprises du CAC40).
En clair, l’impôt devient proportionnel, moins redistributif, indirect et injustement constitué. Qui plus est, avec la suppression de la première tranche de l’impôt de solidarité sur la fortune en 2011, 300 000 personnes vont ainsi être exemptées de l’ISF (7). Mais un manque à gagner plus lourd a concerné les collectivités territoriales, lorsque le gouvernement a supprimé la taxe professionnelle : au profit des collectivités, cet impôt était payé par les entreprises, et rapportait aux premières 50% de leurs recettes fiscales. Cette mesure a donc entraîné pour les entreprises un allègement de 12.3 milliards d’euros l’an passé (toujours selon Attac). La contrepartie ? Une hausse des impôts locaux des ménages (taxe d’habitation, taxe foncière) du chômage et de la précarité.
Si l’on considère, tableau du budget de l’État en 2008 à l’appui (8), la somme des recettes fiscales indirectes, nous avons : TVA : 135 milliards d’euros, TIPP : 16.5 milliards d’euros. Cela représente 151.5 milliards d’euros perçus à titre d’impôt indirect. En revanche, l’impôt sur le revenu a rapporté 60.5 milliards, et l’impôt sur les sociétés, 54 milliards d’euros. L’impôt sur la fortune, quant à lui, représentait 5.5 milliards d’euros. Soit, une somme de 120 milliards d’impôts directs, correspondant à une part de 44.1% des recettes fiscales de l’État en 2008. Comment le déficit public, si cher à nos gouvernants et journalistes, peut-il être réduit si l’État se finance par l’emprunt sur les marchés financiers et sur l’impôt indirect à la consommation des ménages durement frappés par la précarité et la crise économique ? La stratégie est-elle de décrédibiliser le système fiscal progressif en faisant passer l’idée collective que l’État coûte trop cher et qu’il faut privatiser en masse, ou plutôt est-elle de combattre les requins de la finance qui ne payent plus leurs impôts correctement ? La réponse est en première partie de la question…
En fait, si l’on tient compte de l’évolution des impôts directs ci-dessous, il est clair que la stratégie qui prédominait jusqu’alors consistait à réduire les impôts directs (Impôt sur le revenu des personnes physiques, sur les bénéfices des sociétés, sur la fortune et le patrimoine) et le coût du travail, pour parallèlement se financer par une hausse des impôts indirects (TVA, TIPP, etc.). Selon les tenants de la politique fiscale néolibérale actuellement à l’ouvrage, ce sont les impôts indirects qui permettraient de mieux financer la Sécurité Sociale. Forcément, une hausse de l’impôt indirect met le peuple à l’amende sur sa consommation, et une baisse structurelle de l’impôt direct augmente la capacité financière des franges très aisées (épargnants, gros actionnaires, grosses entreprises qui défiscalisent).
Depuis 2002, l’orientation de la politique économique néolibérale des gouvernements successifs (ne pas taxer les profits et permettre des niches fiscales pour conserver l’électorat) pousse l’État à emprunter des milliards d’euros par an pour financer l’économie nationale. Cela signifie que l’État ne se finance plus directement en imposant les plus riches contribuables, mais via l’emprunt sur les marchés financiers, et sur la consommation des contribuables moyens, nommés « bases immobiles » (ménages modestes, qui subissent une fiscalité indirecte contraignante et les privatisations). Ainsi, l’État gonfle son déficit et sa dette publique, et ne peut plus faire jouer le fameux effet multiplicateur keynésien (la hausse des dépenses publiques servirait à réinjecter massivement les fonds dans l’économie réelle, si ceux-ci ne sont pas épargnés. La hausse des dépenses implique donc une hausse significative de la demande). Il ne fait plus d’effet de relance de la consommation par la demande globale, ce qui incite les entreprises à substituer du capital au travail, surtout si les taux d’intérêts sont élevés. La souveraineté de l’État devient donc la propriété des créanciers financiers. Autrement dit, ce sont les marchés financiers étrangers de la zone euro qui détiennent les dettes publiques. Ces dettes souffrent aussi de manques à gagner colossaux en raison du placement par les multinationales de bénéfices bruts vers les paradis fiscaux au lieu d’être soumis à l’impôt sur les sociétés.
Finalement, la solution n’est pas du côté de la réduction des dépenses publiques, ni du côté de la règle d’or proposée par les grands coqs de l’Europe mortifère (France-Allemagne), si tant est que cette règle puisse tenir compte des différentes spécificités nationales et des diverses assiettes fiscales… Car grossièrement, ce sont encore les pauvres qui vont payer pour rééquilibrer les finances déstabilisées par les riches. On avait déjà vu cela lorsque le peuple devait porter le poids du refinancement gratuit des banques par les États… On entend que les impôts sont liberticides, pompent les travailleurs comme une sangsue suce le sang d’une proie, mais, à moins que les peuples indignés ne s’organisent mondialement en autogestion socialiste, l’impôt direct et progressif, est le prix du tandem égalité-liberté d’accès aux services publics.
En conclusion, si la politique fiscale de l’État continue à favoriser les classes sociales les plus riches par l’entremise des niches fiscales et des défiscalisations outrancières, c’est que cela constitue un argument de taille : dire que la dette publique augmente, que les recettes fiscales diminuent sans en expliquer la cause, permet de délégitimer la gestion des entreprises de première nécessité (éducation, santé, transports, etc.) par l’État, de privatiser, en somme. Cela permet aussi de conserver un électorat de riches qui œuvreront au service des riches. Le gouvernement des riches, pour les riches et par les riches : chic, les néolibéraux ont réinventé la démocratie.
Samuel Moleaud
48 heures pour reconnaître la Palestine: a vos téléphones
Chers amis en France,
Des responsables au Ministère des Affaires étrangères ont indiqué que le ministre pourrait être amené à faire le bon choix, et son soutien à la Palestine pourrait apporter à l'UE le leadership nécessaire pour que la demande soit votée à l'ONU. Mais pour contrer le lobbying intense des Etats-Unis et d'Israël, il doit entendre nos voix dès maintenant.
Submergeons aujourd'hui le bureau du ministre d'appels téléphoniques et donnons-lui l'aval des citoyens pour appeler à un Etat palestinien indépendant, ce qui pourrait sortir les négociations de l'impasse et les faire progresser un peu plus vers la paix. Les prochaines heures sont décisives -- cliquez ici pour faire cet appel urgent et obtenir des conseils pour savoir quoi dire:
https://secure.avaaz.org/fr/ palestine_eu_callin_fr/?vl
Les dirigeants palestiniens ont reçu le soutien de 120 nations, mais ils ont besoin de l'appui des principaux dirigeants européens pour faire adopter une résolution favorable à l'ONU. Suite à notre campagne massive, le ministre espagnol des Affaires étrangères a annoncé que l'Espagne soutiendrait la demande d'adhésion de la Palestine! A présent, nous avons besoin que la France suive la même voie cette semaine.
Voici le numéro à appeler:
Standard du ministère des Affaires étrangères et européennes: 01 43 17 53 53 -- demandez le cabinet d'Alain Juppé.
Les différents éléments ci-dessous vous guideront pour savoir quoi dire pendant l'appel:
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Nous sommes à la veille d'une ère nouvelle au Moyen-Orient -- une ère de démocratie et de pouvoir citoyen. Les Palestiniens réclament la liberté et cette résolution pourrait mettre un terme à des décennies d'impasse et ouvrir la voie vers la paix. Nous savons que l'opinion publique peut changer la position de nos gouvernements. Aujourd'hui, si nous agissons vite, nos voix réunies pourraient persuader Alain Juppé d'annoncer la reconnaissance de la Palestine par la France.
Avec espoir et détermination,
Alice, Benjamin, Mia, Emma, Ricken, Laura, Rewan et toute l'équipe d'Avaaz
PLUS D'INFORMATIONS
Etat palestinien/ONU : Abbas demande à Ashton un soutien de l'UE (Romandie/AFP)
http://www.romandie.com/news/ n/_Etat_palestinienONU__Abbas_ demande_a_Ashton_un_soutien_ de_l_UE280820110008.asp
L'Espagne soutient l'initiative palestinienne à l'Onu (20 minutes/Reuters)
http://www.20minutes.fr/ ledirect/773104/espagne- soutient-initiative- palestinienne-onu
Palestine changera après le vote de l'ONU (Le Figaro)
http://www.lefigaro.fr/flash- actu/2011/08/28/97001- 20110828FILWWW00204-palestine- changera-apres-le-vote-de-l- onu.php
Des responsables au Ministère des Affaires étrangères ont indiqué que le ministre pourrait être amené à faire le bon choix, et son soutien à la Palestine pourrait apporter à l'UE le leadership nécessaire pour que la demande soit votée à l'ONU. Mais pour contrer le lobbying intense des Etats-Unis et d'Israël, il doit entendre nos voix dès maintenant.
Submergeons aujourd'hui le bureau du ministre d'appels téléphoniques et donnons-lui l'aval des citoyens pour appeler à un Etat palestinien indépendant, ce qui pourrait sortir les négociations de l'impasse et les faire progresser un peu plus vers la paix. Les prochaines heures sont décisives -- cliquez ici pour faire cet appel urgent et obtenir des conseils pour savoir quoi dire:
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Les dirigeants palestiniens ont reçu le soutien de 120 nations, mais ils ont besoin de l'appui des principaux dirigeants européens pour faire adopter une résolution favorable à l'ONU. Suite à notre campagne massive, le ministre espagnol des Affaires étrangères a annoncé que l'Espagne soutiendrait la demande d'adhésion de la Palestine! A présent, nous avons besoin que la France suive la même voie cette semaine.
Voici le numéro à appeler:
Standard du ministère des Affaires étrangères et européennes: 01 43 17 53 53 -- demandez le cabinet d'Alain Juppé.
Les différents éléments ci-dessous vous guideront pour savoir quoi dire pendant l'appel:
- 115 000 citoyens français et près de 900 000 personnes du monde entier ont signé la pétition appelant les Nations Unies à reconnaître la Palestine.
- Le moment est venu pour la France de se trouver du bon côté de l'Histoire -- il s'agit d'une proposition diplomatique légitime et non violente qui ouvre une voie nouvelle vers la paix.
- Nous sommes en période d'équilibre précaire. Si nous soutenons cette proposition, nous pourrions redonner l'espoir à la plupart des Palestiniens qui veulent une résolution pacifique du conflit. Si nous ne la soutenons pas, cela pourrait déclencher une spirale de violence et faire le jeu des extrémistes.
- Le gouvernement d'extrême-droite de Netanyahou entrave la reprise des pourparlers de paix en autorisant la construction de nouvelles colonies en Cisjordanie, mais la plupart des citoyens israéliens veulent une solution fondée sur deux Etats. C'est l'occasion de montrer que le monde recherche sérieusement une solution pour que deux peuples puissent vivre en paix côte à côte.
- Le printemps arabe a ouvert la porte à une nouvelle ère passionnante des relations entre la France et le Moyen-Orient. Nous soutenons les personnes dans la région qui luttent pour l'autodétermination et la liberté. Il s'agit ici d'un appel des Palestiniens, et notre réponse se doit d'être cohérente. Si la France ne soutient pas la demande d'adhésion de la Palestine à l'ONU, nous pourrions perdre cette dynamique et retrouver les clivages dangereux de la dernière décennie.
- Cette demande d'adhésion est cohérente avec la politique de l'Union Européenne qui a investi massivement dans le renforcement des capacités de l'Etat palestinien. Il serait contradictoire aujourd'hui de s'opposer à la fondation de cet Etat à l'ONU.
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Nous sommes à la veille d'une ère nouvelle au Moyen-Orient -- une ère de démocratie et de pouvoir citoyen. Les Palestiniens réclament la liberté et cette résolution pourrait mettre un terme à des décennies d'impasse et ouvrir la voie vers la paix. Nous savons que l'opinion publique peut changer la position de nos gouvernements. Aujourd'hui, si nous agissons vite, nos voix réunies pourraient persuader Alain Juppé d'annoncer la reconnaissance de la Palestine par la France.
Avec espoir et détermination,
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Etat palestinien/ONU : Abbas demande à Ashton un soutien de l'UE (Romandie/AFP)
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L'Espagne soutient l'initiative palestinienne à l'Onu (20 minutes/Reuters)
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Palestine changera après le vote de l'ONU (Le Figaro)
http://www.lefigaro.fr/flash-
une juge du siège, révèle que Sarko a bien touché du fric par la miss Béttancour ,: résultat désaisie de l'affaire!
Les internautes ont posé leurs questions à Gérard Davet et Fabrice Lhomme, les auteurs du livre "Sarko m’a tuer".
Leurs questions portent sur la révélation du juge Prévost-Desprez : des témoins ont vu Nicolas Sarkozy recevoir des enveloppes d’argent liquide au domicile de Liliane Bettencourt.
Kiki : Pourquoi la juge Prévost-Desprez n’a-t-elle pas enquêté sur cette information ?
Gérard Davet et Fabrice Lhomme : Dans le livre que nous publions, la juge relate avoir recueilli hors procès-verbal des confidences de témoins dans l’affaire Bettencourt sur d’éventuels versements d’argent liquide à Nicolas Sarkozy. Elle n’a pas enquêté plus avant sur ces faits pour deux raisons principales : la première tient au fait que les témoins ne voulaient pas s’exprimer sur procès-verbal par peur de mesures de rétorsion. La seconde est que la magistrate n’était pas saisie d’un éventuel cas de financement politique, puisqu’elle n’enquêtait que sur un abus de faiblesse.
Simone : Comment expliquez-vous le comportement de Mme Prévost-Desprez, magistrate faut-il le rappeler, qui vous communique une telle information recueillie par sa greffière entre deux portes ?
Gérard Davet et Fabrice Lhomme : Madame Prévost-Desprez a manifestement été écœurée par les manœuvres du pouvoir via le procureur de Nanterre pour l’empêcher d’enquêter. C’est ce qui explique qu’elle ait aujourd’hui envie de vider son sac.
Noël : La magistrate ne devait-elle pas dénoncer ces faits au parquet ? N’est-ce pas une obligation déontologique ?
Gérard Davet et Fabrice Lhomme : Encore une fois, à partir du moment où ces confidences ont été recueillies hors procès-verbal, elles ne pouvaient pas être utilisées judiciairement. Par ailleurs, la juge entretient des relations tellement exécrables avec le Parquet, qu’elle soupçonne de protéger le pouvoir, que toute communication entre les deux parties était absolument impossible.
Tarentule : Relater les paroles d’une juge dessaisie qui évoque des déclarations hors-procès verbal, n’est-ce pas un peu "limite" pour des journalistes d’investigation que vous êtes ? N’êtes-vous pas en train de vous exposer à une plainte en diffamation ?
Gérard Davet et Fabrice Lhomme : Il nous a semblé que recueillir les déclarations d’une magistrate connue et respectée était au contraire une démarche journalistique incontestable. D’autre part, ces déclarations viennent conforter d’autres éléments déjà apparus publiquement. Par ailleurs, quand bien même les déclarations des témoins parlant de remise d’espèces auraient été consignées sur un procès-verbal, elles n’en constitueraient pas plus une preuve irréfutable.
Raphaël : Pourquoi avoir choisi de faire un livre, plutôt que de publier une série d’articles dans Le Monde ?
Ju : Pourquoi n’avoir pas publié cette information dans votre journal ?
Gérard Davet et Fabrice Lhomme : Les personnes que nous avons interrogées, et qui toutes décrivent un système visant à affaiblir ou attaquer des personnes coupables de menacer le président de la République, n’ont accepté de s’exprimer qu’à condition que leurs témoignages soient regroupés dans un ouvrage, afin d’éviter une personnalisation excessive et donc dangereuse pour elles.
Elisa : Ce livre va-t-il rendre plus difficile votre travail journalistique vis-à-vis de l’Elysée ?
Gérard Davet et Fabrice Lhomme : Nous n’en savons rien, mais en ce qui nous concerne, la publication de cet ouvrage ne changera absolument rien à nos méthodes de travail.
Judith : Curiosité : pourquoi avoir publié ces bonnes feuilles dans Libé et L’Express, alors que vous êtes tous deux journalistes au Monde ?
Gérard Davet et Fabrice Lhomme : La publication de bonnes feuilles est un choix qui relève uniquement de l’éditeur. D’autre part, nous estimons qu’il est préférable que les extraits d’un livre publié par des journalistes ne paraissent pas dans la publication qui les emploie, pour des raisons déontologiques qui nous semblent évidentes.
Nicolas. F. : Votre livre fait déjà beaucoup de bruit ce matin, alors qu’il s’agit uniquement d’extraits, pourriez-vous nous en dire un peu plus concernant celui-ci ?
Gérard Davet et Fabrice Lhomme : Notre livre donne la parole à une trentaine de personnalités qui ont toutes en commun d’avoir été à un moment ou à un autre victimes de la vindicte du pouvoir. Il s’agit de magistrats, de policiers, de hauts fonctionnaires, de journalistes, etc., dont la carrière, voire la vie, a été affectée. Nous décrivons les méthodes, parfois brutales, utilisées par le pouvoir pour se débarrasser des gêneurs.
Henry : Que ferez-vous si M. Sarkozy vous attaque en diffamation ? Comment pouvez-vous apporter des preuves de vos dires ?
Gérard Davet et Fabrice Lhomme : C’est à la justice maintenant de faire son travail et de s’emparer de ces révélations. Une nouvelle fois, ces déclarations de la juge s’inscrivent dans un contexte plus général. La juge Prévost-Desprez a relu ces déclarations, les assume et si la justice le souhaite, nous imaginons qu’elle sera disponible pour toute audition.
MrBen : Vous-mêmes ou votre éditeur avez-vous subi des pressions avant la sortie du livre ? Avez-vous contacté l’Elysée pour avoir les explications du président ?
Gérard Davet et Fabrice Lhomme : Premièrement, nous n’avons subi aucune pression de qui que ce soit. Par ailleurs, concernant Nicolas Sarkozy, il s’est toujours tenu à une règle : il ne répond jamais aux demandes d’entretien dans un livre le concernant. Nous avons publié ce livre lorsque nous avons terminé notre enquête tout simplement. Nous n’obéissons à aucun calendrier politique. Enfin, en France, ne sommes-nous pas en permanence en campagne électorale ? Si nous avions voulu interférer dans le cours de la prochaine présidentielle, nous aurions au contraire retardé le livre, afin qu’il paraisse dans les derniers mois ou les dernières semaines précédant l’échéance. Sur le plan politique, la seule chose que nous souhaitons, c’est qu’il y ait un débat parlementaire et, pourquoi pas, une demande de commission d’enquête sur les méthodes employées par le pouvoir et les services secrets.
Tommaso : Y a-t-il une chance pour que l’enquête reprenne et qu’il y ait un nouveau développement judiciaire ?
Gérard Davet et Fabrice Lhomme : Bien entendu, pour la bonne et simple raison qu’il y a toujours des enquêtes en cours sur les différents volets de l’affaire Bettencourt. Elles sont instruites au tribunal de Bordeaux, et les juges qui en sont chargés pourraient se saisir de nos révélations.
Paul : Pensez-vous que votre livre aura un impact sur le choix des Français en 2012 ?
Gérard Davet et Fabrice Lhomme : Ce n’est absolument pas notre propos. Nous ne sommes pas des journalistes politiques, mais des journalistes enquêteurs. Notre seul but, c’est de décrypter un système dont la violence n’est pas compatible avec un Etat démocratique.
betacam33 : Ces juges de Bordeaux n’ont-ils pas été saisis justement dans l’optique d’étouffer cette affaire ?
Gérard Davet et Fabrice Lhomme : Non. Ceux qui ont voulu étouffer l’affaire, ce sont les membres du Parquet dépendant du pouvoir. En particulier Philippe Courroye, dont les méthodes ont été déclarées illégales par la cour d’appel de Bordeaux. Les juges de Bordeaux ont toute latitude, s’ils le souhaitent, pour pousser à fond leurs investigations.
Ryad : Est-ce que vous pensez que vos révélations démontrent clairement l’absence d’un contre-pouvoir effectif, ce que devrait être la justice et qui, le cas échéant, interviendrait contre les dérives monarchiques ?
Gérard Davet et Fabrice Lhomme : La justice n’est pas indépendante en France, on peut le regretter. On s’aperçoit, à la lueur de cette affaire, à quel point la volonté sarkozyste de supprimer les juges d’instruction serait une erreur. Même si ceux-ci ne sont pas tous exempts de reproches, ils présentent au moins l’avantage d’être indépendants.
Dominique : La juge risque-t-elle des poursuites disciplinaires ?
Gérard Davet et Fabrice Lhomme : La juge n’est pas membre du parquet, elle dépend du siège. Il est compliqué de s’en prendre à une magistrate opiniâtre, courageuse et qui n’a commis, par ailleurs, aucune faute.
DSK , c'est la gauche caviar , mais là il a du se cogner au plafond de sa cellule , en tout les cas ce n'est pas un homme de gauche et encore moins socialiste , mais jusqu'à quand on va galvauder ce mot"socialiste" n'est ce pas Jaurès?
Il a fait ses adieux hier au FMI et s'est félicité de sa succession : la très libérale Christine Lagarde. Au même moment, Michel Rocard estimait que Dominique Strauss-Kahn était atteint « d’une maladie mentale » et qu’il avait des « difficultés à maîtriser ses pulsions ».
Avant de quitter les Etats-Unis, DSK est passé par le FMI présenter ses excuses. Un peu bête de foire, de nombreux salariés ont voulu se faire prendre en photo avec l'ancien patron de l'institution. Mais surtout, il a félicité Christine Lagarde pour ses mesures et a jugé qu'on ne pouvait lui "trouver meilleur successeur", précisant et "pas uniquement parce qu'elle est Française".
Son retour en France n’arrange pas les histoires des socialistes. Si les enquêtes d’opinion montrent que les Français ne veulent plus voir l’ancien patron du FMI en course dans la primaire socialiste, son positionnement dans la campagne présidentielle et dans l’éventuelle majorité reste posé.
Lundi soir Michel Rocard a condamné en termes particulièrement vifs le comportement de DSK. "Cet homme a visiblement une maladie mentale, avec des difficultés à maîtriser ses pulsions. Il est hors du coup. C'est dommage, il avait un vrai talent, c'est vrai", a-t-il dit. Les socialistes sont partagés sur cette réaction. L'ancien ministre de la Culture et de l'Education, Jack Lang a vivement répliqué sur LCI. "Michel Rocard a quelques difficultés aussi à maîtriser ses pulsions. Quand on est comme ça en public, sur des questions privées, on s'impose un minimum de retenue", a-t-il dit. Le maire de Paris Bertrand Delanoë n'a en revanche pas souhaité commenter les propos de Michel Rocard et a exprimé son respect à l'égard de l'ancien directeur général du Fonds monétaire international. "Je veux surtout être dans le respect de l'épreuve qu'il a subie et de la liberté pour lui de construire sa vie comme il l'entend", a-t-il dit. Le retour en France de DSK ne s’annonce pas si paisible entre les polémiques et l’enquête ouverture pour abus sexuel, par Tristane Banon. DSK
Source : l'HUMA
La vérité sur le 11 septermbre , petit à petit , se mey à jour au fur et à mesure que se décrochent les crasses des faucons,par le vent de l'histoire Sue savons nous de ce qui c'est passé à cette époque?
« En s'appuyant sur des milliers de sources, cette critique détaillée, loin de partir d'idées préconçues ou d'exprimer une opinion réactionnaire, soulève assez de questions précises et dérangeantes pour étayer une demande de nouvelle enquête plus convaincante que jamais. »
- Publishers Weekly, (extrait de la chronique de présentation, par le magazine professionnel de l'édition US,
qui le choisit comme l'un des 50 meilleurs livres de l'année, lors de sa parution).
qui le choisit comme l'un des 50 meilleurs livres de l'année, lors de sa parution).
L’AUTEUR : David Ray GRIFFIN
David Ray GRIFFIN est professeur émérite de philosophie des religions et de théologie à la Claremont School of Theology et à la Claremont Graduate University. Il est également, codirecteur du Center for Process Studies, qui diffuse et développe le courant philosophique d'Alfred North Whitehead, lequel se fonde sur les sciences. M. Griffin a publié une trentaine de livres dont 10 sur le 11-Septembre, parmi lesquels 4 ont été traduits en français : Le Nouveau Pearl Harbor, Omissions & manipulations de la Commission d'enquête (prix de la Fondation Hélios en 2006) et La Faillite des médias (médaille de bronze dans la catégorie Actualités de l'Independent Publisher Book Awards en 2008), et cet ouvrage. À sa sortie, il fut élu « Choix de la semaine » par la revue professionnelle Publishers Weekly (comparable aux États-Unis à Livres Hebdo en France).
En 2009, M. GRIFFIN a été désigné comme l'une des 50 personnalités les plus influentes par le magazine New Statesman.
Son site Internet (en anglais) : http://davidraygriffin.com
RÉSUMÉ
FACTUEL & IRRÉFUTABLE
Que savez-vous réellement des attentats qui ont justifié la « guerre contre le terrorisme » ?
Deux guerres et des centaines de milliers de morts plus tard, sans oublier les populations déplacées et les réfugiés qui se comptent par millions, il convient de se demander en toute lucidité : À qui profite le crime du 11-Septembre sinon au complexe militaro-industriel, aux compagnies de mercenaires et de sécurité, aux pétroliers ?
- Plus spécifiquement, savez-vous que les invasions de l'Afghanistan et de l'Irak étaient planifiées de longue date, bien avant les attentats du 11-Septembre ?
- Savez-vous que le 10 septembre 2001, Donald Rumsfeld annonçait à la presse que son ministère avait perdu la trace comptable de 2 300 milliards de dollars… et que les bâtiments détruits au Pentagone le lendemain matin abritaient les services comptables de l'armée ?
- Savez-vous qu'au Pentagone des horloges se sont arrêtées 6 minutes avant l'heure à laquelle le Boeing 757 est censé avoir frappé, c'est-à-dire à l'heure exacte où des témoins ont entendu des explosions et senti l'odeur de la cordite, caractéristique des bombes ?
- Savez-vous que les responsables militaires chargés de la défense aérienne le 11 septembre n'ont pas été sanctionnés : ils ont été promus ! La même chose est vraie pour les agents de la CIA et du FBI qui ont empêché les enquêtes d'aboutir…
- Savez-vous que certains des 19 pirates présumés avaient été identifiés par le programme Able Danger de l'armée US dès janvier 2000 ?
- Savez-vous qu'il n'y a aucune preuve formelle et tangible de la présence des 19 terroristes musulmans à bord des 4 avions ? Ou que dans ses premières interviews une semaine après les attentats, loin de revendiquer cette action, ben Laden s'en est distancié ? Qu'aucune preuve n'a jamais été fournie attestant sa responsabilité ou celle d'al-Qaïda (autre qu'une bande vidéo à l'authenticité contestée) ? Que le FBI ne recherchait pas ben Laden pour le 11-Septembre ?
- Savez-vous que les communications sur des téléphones portables depuis les avions étaient impossibles à l'altitude à laquelle ils sont censés avoir été passés ? Et que d'après le FBI, aucun appel de portable n'a d'ailleurs abouti ?
- Connaissez-vous les noms de Sibel Edmonds, Coleen Rowley, Anthony Schaffer, Harry Samit, Robert Wright, quelques-uns des lanceurs d'alerte dont la Commission d'enquête n'a pas mentionné les informations dans son Rapport final ?
- Savez-vous que du métal fondu a été retrouvé dans les décombres de Ground Zero alors que les incendies ne pouvaient en aucun cas atteindre la température de fusion de l'acier ?
- Connaissez-vous l'existence de la 3e tour du World Trade Center ? Savez-vous que cet édifice, presque aussi haut que la tour Montparnasse à Paris, s'est effondré sur lui-même en 7 secondes, d'une manière qui correspond parfaitement à une destruction contrôlée par explosifs ? C'était la 3e fois qu'un gratte-ciel s'effondrait intégralement à cause d'un incendie : les 2 premières étaient les Tours Jumelles, 7 heures plus tôt le même jour.
- Savez-vous ce qu'est la nanothermite, retrouvée dans la poussière des effondrements des 3 tours ?
- Connaissez-vous la signification des expressions « terrorisme sous faux pavillon », « opérations sous fausse bannière », « terrorisme fabriqué », « stratégie de la tension », « guerre psychologique » ? Connaissez-vous l'existence des réseaux Stay-Behind et du Gladio ? Du précédent historique que constitue l'opération Northwoods ?
- Savez-vous que les président et coprésident de la Commission d'enquête sur les attentats considèrent eux-mêmes les travaux de la Commission comme incomplets et parcellaires ?
- Vous souvenez-vous que les « aveux » des membres d'al-Qaïda leur ont été extorqués sous la torture et n'ont de ce fait absolument aucune valeur juridique ?
- Savez-vous qui est Tim Osman ? Si vous avez été « troublé » par l'histoire de l'assassinat d'Oussama ben Laden, vous êtes déjà un « conspirationniste » en puissance aux yeux des médias et de leurs experts autoproclamés en terrorisme !
- Vous souvenez-vous de la psychose mondiale engendrée par les courriers à l'anthrax au lendemain des attentats, d'abord imputés à al-Qaïda, puis à Saddam Hussein ? Il s'avère que l'enquête du FBI a conclu que l'anthrax utilisé provenait en fait d'un laboratoire militaire américain de guerre biologique.
- Savez-vous qu'il existe encore une multitude d'autres faits tout aussi « troublants » ?
En fin de compte, que savez-vous vraiment du 11-Septembre ?
Il est temps de voir ces événements sous un jour différent, avec un autre regard. Ce livre de l'auteur qui fait autorité sur le sujet fourmille de faits irréfutables qui vous laisseront d'abord sans voix, et vous feront prendre conscience que depuis 10 ans, on ne vous dit pas la vérité sur le « terrorisme »… Tel un procureur implacable, David Ray GRIFFIN avance pas à pas dans un dédale de secrets et de mensonges, de dissimulations et de tromperies, pour faire la lumière sur l'événement fondateur d'une nouvelle ère de restrictions des libertés, et de guerres sans fin.
ÉLOGES & CRITIQUES
« La vérité n’aura jamais été autant considérée comme un concept si étrange et obsolète ici à Washington que depuis le 11-Septembre et son lot de questions sans réponses sur les graves omissions de la version officielle – ainsi que les tentatives de marginaliser les esprits critiques comme David Ray Griffin, traité de « blasphémateur » par des présentateurs de télévision. L’auteur, continuant son travail méticuleux au milieu de cet océan de mensonges, présente une recherche exhaustive intégrant les dernières découvertes de ses précédents ouvrages. Le Congrès autorisera-t-il un jour une véritable enquête sur l’événement majeur de notre temps ? »
- Ray McGovern, ancien analyste de la CIA
et responsable de la rédaction de la note d’information quotidienne du Président
et responsable de la rédaction de la note d’information quotidienne du Président
« Le dernier ouvrage de Griffin est un exemple de recherche de niveau académique. La version officielle des faits s’y trouve réfutée à la fois par une recherche empirique méticuleuse et par une analyse rigoureuse. Dans sa quête de vérité, Griffin examine attentivement chaque événement entourant la tragédie du 11-Septembre en y révélant les mensonges de l’Administration. Au terme de son fascinant travail de recherche exhaustif, Griffin démontre clairement que les attentats du 11-Septembre sont un coup monté de l’intérieur même des États-Unis. »
- Michel Chossudovsky, professeur d’Économie
et auteur de Guerre et Mondialisation : A qui profite le 11-Septembre ?
et auteur de Guerre et Mondialisation : A qui profite le 11-Septembre ?
« M. Griffin a une nouvelle fois présenté avec rigueur les nombreuses questions qui restent en suspens et les incohérences entourant la version officielle sur les terribles attentats du 11-Septembre. Malheureusement, des millions de dollars du contribuable américain ont été gaspillés dans des enquêtes qui n’ont jamais fait porter la moindre responsabilité au gouvernement, qui ont posé trop peu de questions et présenté encore moins de réformes. Et pourtant, les attentats du 11-Septembre ont été utilisés de manière scandaleuse dans des buts politiques et stratégiques. Si l’on ne connaît pas la vérité, alors l’enquête a échoué à démontrer où se trouvait la responsabilité de cette catastrophe, et si l’enquête a échoué, alors rien ne peut changer. Et si rien ne change, nous sommes toujours en danger. »
- Monica Gabrielle, veuve de Richard Gabrielle, mort dans l’effondrement de la tour Sud du WTC,
et membre du Comité directeur des familles des victimes pour la Commission d’enquête
et membre du Comité directeur des familles des victimes pour la Commission d’enquête
« Ce livre démontre que le Président Bush et le Vice-président Cheney ont une longue liste de questions à laquelle les Américains attendent des réponses. Cette fois, ils devront témoigner séparément et sous serment, contrairement à leur témoignage devant la Commission, où ils témoignèrent à huis clos : car il est nécessaire que chacun puisse entendre ce qu’ils ont à dire. »
- Jesse Ventura, gouverneur du Minnesota de 1999 à 2003
« Des citoyens partout à travers le monde militent contre les mensonges à la base de la prétendue guerre contre le terrorisme – à savoir l’explication officielle des attentats du 11-Septembre. En parallèle d’Internet, qui permet à la fois aux responsables et aux citoyens ordinaires de militer contre cette guerre au mensonge, David Ray Griffin révèle, d’une manière implacable, les dizaines d’omissions, de manipulations et de contradictions de la version officielle. Le Nouveau Pearl Harbor 2 présente un argumentaire exhaustif critiquant cette version des faits mensongère qui est à l’origine de la politique générale occidentale depuis le 11-Septembre. C’est désormais aux responsables politiques et aux journalistes du monde entier d’exposer la vérité aux peuples. »
- Yukihisa Fujita, membre de la Chambre des conseillers de la Diète du Japon
(le Sénat japonais)
(le Sénat japonais)
« Les cirques emploient des gens pour nettoyer les éléphants, un sale boulot, mais il faut bien que quelqu’un s’en charge. Les membres de la Commission d’enquête du le 11-Septembre se sont eux-mêmes pris pour le personnel d’un cirque, passant le balais derrière l’éléphant (républicain). Ils ont bâclé leur travail, il est en effet facile de voir que le 11-Septembre a été organisé au sein même des États-Unis. La version officielle – qui affirme que les attentats auraient été commis par des musulmans venus du Moyen-Orient – est la source de nombreux maux, lesquels menacent de détruire notre pays si ce n’est le monde entier. Le Nouveau Pearl Harbor 2 de David Ray Griffin contient tout ce dont le Congrès et la presse ont besoin pour enquêter sur le crime et le mensonge les plus affreux de notre histoire. »
- Edward Asner, acteur et citoyen
« Avec cet ouvrage, le professeur Griffin consolide sa place en tant que principal porte-parole de ce mouvement grandissant réunissant les gens exigeant des réponses à leurs questions sans cesse plus nombreuses sur le 11-Septembre. (…) Même les membres du Mouvement pour la Vérité sur le 11-Septembre qui se sont eux-mêmes intéressés de près au sujet trouveront dans ce livre de nouvelles informations, présentées avec le même style précis et facile à lire dont Griffin a su faire preuve dans ses précédents ouvrages. (…) En l’absence d’un renouveau dans le journalisme d’investigation – ce à quoi on peut difficilement s’attendre, étant donné la concentration des médias alignés – des livres comme celui-ci semblent être notre meilleur espoir, en armant le citoyen avisé d’informations irréfutables et en fournissant une base solide pour exiger une nouvelle enquête. »
– Shelton F. Lankford, lieutenant-colonel retraité de la Marine US
« Vous et moi, tout comme de nombreux citoyens du monde entier, sommes victimes d’un crime odieux. Ce livre expose de manière accablante le complot qui a conduit à la destruction hollywoodienne des Tours Jumelles, qui a accusé les musulmans d’être derrière le 11-Septembre, et a trompé ceux qui veulent la vérité en détruisant les preuves et en travestissant volontairement les faits. Qui avait les motivations, les moyens et l’opportunité de démolir trois gratte-ciels, y compris le bâtiment 7, lequel n’a même pas été touché par un avion ? Qui a pu pénétrer l’espace aérien le plus protégé du monde pour s’attaquer à cette forteresse qu’est le Pentagone ? Quel en était le but ? Qui avait pour ambition de concentrer les pouvoirs, d’avoir la mainmise sur la dernière goutte d’énergie fossile de la planète ? Mais, hélas, qui pense à nos enfants ? David Ray Griffin, professeur de théologie, apolitique, est devenu au fil des ans, suite à ce coup d’état, un grand journaliste scientifique. En examinant le crime tragique du 11-Septembre, ce professeur accompli rend un grand hommage aux victimes.
– Lynn Margulis, professeur de la faculté de Géosciences de l’université de Massachusetts-Amherst, et titulaire de la médaille nationale de la Science
« Dans Le Nouveau Pearl Harbor, le Dr Griffin soulevait de sérieuses questions au sujet de la destruction du World Trade Center – un aspect de la théorie du complot officielle que j’ai tout particulièrement étudié. Aujourd’hui, dans Le Nouveau Pearl Harbor 2, Griffin continue de démolir le cœur de la version officielle des faits grâce à un argumentaire sans concession, qui est désormais sa signature, et cette fois c’est en s’appuyant sur les arguments de scientifiques, d’architectes et d’ingénieurs que Griffin dissèque méthodiquement les rapports officiels. Aux auteurs du rapport du NIST : la mascarade est terminée ! »
- Richard Gage, membre de l’IAI, (l’Institut Américain des Architectes)
et fondateur de l’association Architectes et Ingénieurs pour la Vérité sur le 11-Septembre
et fondateur de l’association Architectes et Ingénieurs pour la Vérité sur le 11-Septembre
« David Ray Griffin est le fer de lance du plus important sujet de recherche citoyen de l’Histoire. Son nouvel ouvrage, superbement construit, rassemble une grande quantité de nouveaux éléments et démontre de manière incontestable que la version officielle sur le 11-Septembre est une supercherie. »
- Dr Graeme MacQueen, fondateur du Centre d’Étude pour la Paix de l’université de McMaster
« Ce nouveau livre de David Ray Griffin nous procure toujours davantage de clefs pour comprendre dans le détail, des événements qui ont sans conteste modelé ce début de siècle. Pour avoir exercé le métier de pilote de ligne durant près de 30 ans, dont environ 20 en tant qu’instructeur, je suis reconnaissant au professeur Griffin d’apporter en masse tant d’éléments d’analyse critique, sans lesquels tellement de questions resteraient sans réponse. À quatre reprises ce jour-là, la mécanique de précision que constitue le monde du transport aérien a été mise en échec de manière totalement invraisemblable. De la violation des protocoles radio et transpondeur au manque de réponse appropriée de l’armée de l’Air ; de la trajectoire du prétendu vol AA77 sur le Pentagone, impossible à maîtriser par un pilote amateur, à l’absence totale de références d’identification (parmi les milliers de pièces interchangeables dûment répertoriées qui composent un avion) ; de l’absence d’enregistrements des données de vol (qui sont justement conçus pour donner ce type de renseignement après un crash) à leur incohérence (lorsqu’elles ont été fournies), et sur bien d’autres points encore (dégâts constatés sur les sites des crashs au Pentagone et en Pennsylvanie notamment), l’auteur apporte les preuves irréfutables d’une gigantesque manipulation. La thèse officielle nous demande d’accepter sans examen critique une série de manques, d’invraisemblances et de fabrications contre lesquelles s’élève toute mon expérience professionnelle. Griffin nous les révèle et je partage entièrement ses conclusions : la réalité est nécessairement radicalement différente de ce que l’on nous a raconté ! Avec le temps, les incohérences de la version officielle éclatent comme un fruit trop mûr : elle est maintenant sur le point de s’effondrer. Le grand mérite de M. Griffin est de nous expliquer les véritables raisons, les motifs, et les mécanismes mis en oeuvre avant, pendant et après le 11 septembre 2011. »
- Michel Charpentier, pilote de ligne et pilote instructeur pendant près de 30 ans, essentiellement sur long-courrier, sur des avions (DC8, DC10, B747, Airbus 320-330-340)
de taille et de technologie comparables aux Boeing 757 et 767
impliqués dans les attentats du 11-Septembre
de taille et de technologie comparables aux Boeing 757 et 767
impliqués dans les attentats du 11-Septembre
« Le professeur Griffin est l’expert le plus reconnu mondialement s’agissant de la remise en cause de la thèse officielle sur le 11/9. À présent que les autorités ont répondu aux critiques en échafaudant de nouvelles théories, David Ray Griffin expose, de façon claire et didactique, les preuves évidentes qui les réfutent. Pourquoi un autre livre sur le 11-Septembre ? Parce que, comme Griffin le démontre de façon limpide et didactique, cet événement ne constitue pas seulement un des plus grands crimes de l’histoire américaine – mais aussi le crime le plus farouchement couvert, et celui dont les conséquences politiques sont les plus profondes. L’auteur montre comment, depuis une décennie, les événements du 11-Septembre, et la façon dont ils ont été présentés, furent utilisés pour déstabiliser le système démocratique de ce pays. Surtout, il détaille comment cette déstabilisation s’est opérée – à cause du refus de la part des média, des institutions universitaires ou religieuses de débattre de ces questions, et du nombre de critiques qui, pour les uns, se sont couverts de ridicule en relayant la version orwellienne du gouvernement, et pour les autres ont été limogés, ou réduits au silence, pour l’avoir remise en cause. »
- Peter Dale Scott, ancien diplomate, professeur émérite de Littérature à Berkeley, poète, auteur de La Route vers le nouveau désordre mondial
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