Le blog d'un syndicaliste Paysan : Jean Claude Depoil/
RÉSISTER EST UN DEVOIR.
SE SOUMETTRE UNE ERREUR ?
NON ,UNE FAUTE IMPARDONNABLE/
Lutter contre l'argent roi qui détruit tout/
De Louise Michel:
"Puisqu'il semble que tout coeur qui bat pour la liberté n'a droit qu'a un peu de plomb,j'en réclame ma part, moi!Si vous me laissez vivre ,je ne cesserai de réclamer vengeance...si vous n’êtes pas des lâches tuez moi!".
Photo d'une "manif" paysanne FDSEA au Donjon dans les années 50
Les moutons vont à l'abattoir. Ils ne disent rien, et ils n'espèrent rien. Mais du moins, ils ne votent pas pour le boucher qui les tuera et pour le bourgeois qui les mangera. Plus bête que bête, plus moutonnier que les moutons, l'électeur nomme son boucher et choisit son bourgeois. Il a fait des révolutions pour conquérir ce droit.
Octave Mirbeau, La grève des électeurs (1888)
H. Krazucki ancien secrétaire général de la CGT
Rien ne fait plus de mal aux travailleurs que la collaboration de classes. Elle les désarme dans la défense de leurs intérêts et provoque la division. La lutte de classes, au contraire, est la base de l’unité, son motif le plus puissant. C’est pour la mener avec succès en rassemblant l’ensemble des travailleurs que fut fondée la CGT. Or la lutte de classes n’est pas une invention, c’est un fait. Il ne suffit pas de la nier pour qu’elle cesse : renoncer à la mener équivaut pour la classe ouvrière à se livrer pieds et poings liés à l’exploitation et à l’écrasement.
Mikis Théodorakis
"Si les peuples d’Europe ne se lèvent pas, les banques ramèneront le fascisme"
Seul les poissons morts vont dans le sens du courants ...
Jean Jacques Rousseau :
« Le premier qui, ayant enclos du terrain, s’avisa de dire : « Ceci est à moi » et trouva des gens assez simples pour le croire fut le vrai fondateur de la société civile… Gardez-vous d’écouter cet imposteur, vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous et que la terre n’est à personne…Quand les héritages se furent accrus en nombre et en étendue au point de couvrir le sol entier et de se toucher tous, les uns ne purent plus s’agrandir qu’aux dépens des autres… De là commencèrent à naître la domination et la servitude »
Jean Jaurès
«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots»
Maximilien Robespierre, 1789
"Nul n'a le droit d'entasser des monceaux de blé à côté de son voisin qui meurt de faim".
RÉSISTER,LUTTER , CONSTRUIRE
Les générations futures ne nous pardonneront pas d'avoir laisser faire
Un blog pour une idée
Une idée maitresse me guide pour construire ce blog : mettre l'Homme au centre de toutes les préoccupations, reconquérir la dignité perdue, travailler pour un monde Humain, au delà de toutes considérations tendancieuses, pour moi seul compte ,l'humanisme , le combat contre l'exploitation de l'homme par l'homme pour le profit ,une priorité absolue ; pour moi et tous ceux qui luttent, l'être humain et son environnement sont le socle de toutes revendications,
L' Homme doit être le but et l'argent l'accessoire d'échange et rien d'autre
"la terre nous l'empruntons à nos enfants ,nous ne l'héritons pas de nos parents"
Afin d'éviter des attaques au dessous de la ceinture par des gens dont le seul but est d'exister en supprimant les autres, je me vois obliger de mettre en place une modération des commentaires: bien sur il ne s'agit pas de supprimer le débat démocratique , mais il est ors de question de salir les gens pour le plaisir de faire du mal , simplement parce que l'on critique l'action du pouvoir de l'argent , ceux qui respecteront l'être humains continueront comme par le passé à s'exprimer .
Et oui l’extrême droite a pris des ailes et ce blog n'est pas à son service , soyez tous sur vos gardes et prenez garde à vous
Geronimo sur son lit de mort ; d'une terrible actualité
Quand le dernier arbre aura été abattu, Quand la dernière rivière aura été empoisonnée, Quand le dernier poisson aura été péché, Alors, on saura que l’argent ne se mange pas.
Hugo Chavez.
"Si le climat était une banque, les pays riches l’auraient déjà sauvé"
Préambule du texte de la Constitution de l'OIT, Organisation internationale du Travail,1919
"une paix universelle et durable ne peut être fondée que sur la base de la justice sociale"
Avant d'abriter des mères célibataires sous la férule des sœurs du Bon Secours, le « home » de Tuam était un hospice abritant les indigents pendant la famine des années 1840.
Crédits : EOIN O'CONAILL POUR LE MONDEfacebooktwittergoogle +linkedinpinterest
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Le lotissement de Dublin Road, où avaient été enterrés près de 800 enfants, jouxte aujourd'hui un terrain de jeu.
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Un mémorial y a été érigé. Il est entretenu par les riverains.
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Enfants morts : le gouvernement irlandais veut étendre l’enquête
En Irlande, le gouvernement se dit déterminé à faire toute la lumière après les révélations sur la mort des quelque 800 enfants dans les années 50, dans une maison tenue par des religieuses catholiques à Tuam (ouest). Comment ces enfants sont-ils décédés ? Y a-t-il eu maltraitance, négligence ou d'autres violations des droits de l'homme ? Et pourquoi ces enfants ont-ils été jeté dans une fosse sceptique ? Le Premier ministre Enda Kenny a indiqué avoir demandé au ministre chargé de l'enfance 'd'établir une liste de personnalités qui auront pour mission de déterminer l'étendue de cette affaire, voir s'il s'agit d'un cas isolé ou s'il y a d'autres cas ailleurs dans le pays sur lesquels il faudrait se pencher'. De son côté, l'association Amnesty International a également demandé l'ouverture en urgence d'une enquête sur ce sujet. L'établissement accueillait des mères célibataires et leurs enfants. Pendant longtemps, les habitants ont cru que les restes retrouvés là étaient ceux de victimes de la grande famine au XIXe siècle. Cette affaire pourrait ternir un peu plus l'image de l'église catholique irlandaise déjà éclaboussée par des scandales de pédophilie et de maltraitance au cours des dernières décennies.
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Certains souvenirs troubles de l'enfance s'estompent avec l'âge. D'autres pas. Le« sale petit tour » que Catherine Corless jouait aux orphelins placés par les bonnes sœurs au fond de sa classe de l'école de la Miséricorde à Tuam, à la fin des années 1950, n'a cessé de la hanter. Aujourd'hui, il traumatise l'Irlande tout entière, confrontée aux révélations de cette petite femme rousse, épouse d'agriculteur et passionnée d'histoire locale, sur les mauvais traitements qu'ont endurés, pendant des décennies, des milliers d'enfants nés hors mariage, ainsi que leurs mères. Celles-ci, chassées de leurs familles, placées dans des « homes » tenus par des religieuses catholiques, étaient contraintes jusqu'au début des années 1960 d'abandonner leurs enfants, fruits du péché, quand ils ne mouraient pas en bas âge de malnutrition ou de maladie.
Mardi 10 juin, s'adressant solennellement au Parlement, le premier ministre irlandais, Enda Kenny, a qualifié d'« abomination » le sort de ces femmes et enfants. Il a annoncé la création d'une commission d'enquête. Au total, 35 000 mères célibataires auraient été placées dans dix homes, dont celui de Tuam, petite ville tranquille de l'Ouest irlandais. Les enfants morts se compteraient par centaines. L'affaire occupe quotidiennement la « une » des journaux dont certains évoquent un « holocauste irlandais ». Les manifestations de protestation et de compassion se multiplient de Galway à Dublin depuis que, le 25 mai, Catherine Corless a lâché sa bombe dans le Irish Mail. « Une fosse commune pour 800 bébés », a titré ce dimanche-là le tabloïd.
Assise à la table de sa cuisine donnant sur le bocage, la jeune sexagénaire raconte comment le remords et la pitié, liés au souvenir d'une petite cruauté enfantine – de faux bonbons malicieusement tendus à des camarades mal nourris –, l'ont transformée en historienne, l'entraînant progressivement à briser l'amnésie sur des pages sinistres et dérangeantes de l'histoire de l'Eglise catholique et de la République d'Irlande. « J'ai toujours gardé le souvenir de ces enfants relégués dans un coin de ma classe, quand j'avais 6 ans, lance-t-elle. Ils sortaient dix minutes après nous pour échapper aux regards. Les sœurs nous menaçaient : si nous désobéissions, nous finirions comme eux. »
Après avoir elle-même élevé ses quatre enfants et beaucoup d'autres en tant que nourrice, Catherine Corless a trouvé dans la généalogie un passe-temps pour sa retraite. « J'ai commencé en aidant des Américains en quête de leurs racines irlandaises. » Grâce à une association d'histoire locale, elle s'est formée aux techniques de recherche. Elle a multiplié les entretiens avec de vieux habitants de Tuam. Beaucoup se souvenaient de cette bâtisse grise aux allures de forteresse tenue par les sœurs, le fameux home, détruit dans les années 1970, dont une maquette construite par ses soins trône désormais dans sa cuisine. Certains évoquaient l'existence de sépultures.
Un terrible récit publié dans le Tuam Herald en 2010 allait servir d'étincelle. Un certain Martin y racontait qu'en 1947, à l'âge de 2 ans, il avait été arraché à sa mère, pensionnaire du home tenu par les sœurs du Bon Secours à Tuam, pourêtre placé dans une famille de fermiers dont il devint le petit esclave. Aiguillonnée par ce témoignage, Catherine Corless en recueillit de nombreux autres : des adultes se souvenaient des mauvais traitements, de l'adoption forcée, racontaient leurs années d'efforts pour tenter de retrouver l'identité de leur mère, leur surprise de découvrir des frères et sœurs placés comme eux dans des familles irlandaises pauvres, ou donnés à des couples américains fortunés par le biais des petites annonces. Des destins d'enfants volés qui ont inspiré Stephen Frears pour son film Philomena (2013). « J'ai fait alors le lien avec mes souvenirs d'écolière : ces enfants stigmatisés que j'avais traités avec méchanceté, les hauts murs du home surmontés d'éclats de verre coupants… poursuit l'historienne. Je me suis souvenue que ces enfants disparaissaient à 7 ans, sitôt faite leur première communion. Je sais aujourd'hui que c'était la limite d'âge fixée par les sœurs du Bon Secours : ensuite, c'était soit l'adoption, soit le placement dans une terribleécole technique. »
« C'ÉTAIT DEVANT MA PORTE »
Frannie Hopkins avait découvert par hasard la fosse commune du "home" de Tuam quand il était enfant. |
Mais le home de Tuam recelait un autre secret, plus sinistre encore, furtivement découvert en 1975 par deux gamins du quartier. En cherchant à ramasser des pommes, ils avaient escaladé l'ancien mur d'enceinte du home, étaient tombés sur une dalle qu'ils avaient réussi à soulever. Le visage maigre de Frannie Hopkins, aujourd'hui âgé de 50 ans, se crispe à l'évocation de cet épisode cuisant de son enfance : « La fosse, énorme, était remplie de petits squelettes. J'en ai fait des cauchemars pendant des années, lâche cet ancien militaire qui a servi l'ONU au Liban et au Soudan. J'ai vécu bien des drames. Mais celui-ci est pire : c'était devant ma porte. Des victimes – les mères – ont été traitées en criminelles, leurs enfants sacrifiés. Depuis cinquante ans, beaucoup de gens vivent à côté de ces monceaux de petits ossements. Ils ont préféré ne pas savoir. »
Du bout du pied, l'ancien casque bleu scrute l'herbe grasse qui parsème un sol inégal : « C'est là. » Le home a laissé la place à une vaste aire jeu où les enfants du lotissement miment le Mondial de football en maillots rouge et jaune. Presque invisible, un muret délimite un petit triangle de verdure. Une statue de la Vierge trône au milieu des buissons de chèvrefeuille et d'églantine. Des bouquets de fleurs fraîches, des ours en peluche, complètent le décor de ce mémorial aménagé par des voisins peu après la macabre découverte des années 1970. A l'époque, les enfants, effrayés, avaient raconté leur aventure ; leurs parents avaient appelé un prêtre qui était venu bénir les lieux. Puis l'oubli a fait son œuvre.« Les gens se taisaient alors : ils craignaient l'Eglise. S'ils avaient osé dénoncerles agissements d'un prêtre ou d'une sœur, on les aurait traités de menteurs,commente Frannie Hopkins. Aujourd'hui, l'Irlande est plus diverse culturellement et l'Eglise moins puissante. »
Le mémorial érigé à la place de la fosse commune de Tuam. |
Le secret a néanmoins tenu jusqu'à ce que, en 2013, Catherine Corless établisse le lien entre ses recherches, la découverte des petits squelettes et ce lieu de recueillement improvisé, enclave d'une mémoire enfouie. Aux archives de l'état civil à Galway, elle a fini par obtenir la liste des enfants morts au home de Tuam : 796 décès entre 1925 et sa fermeture, en 1961. Bouleversée, elle l'a confrontée aux registres du cimetière local. A deux exceptions près, aucun nom ne s'y trouve.« Où sont-ils ? », répète-t-elle.
DES ESSAIS DE VACCIN AURAIENT ÉTÉ PRATIQUÉS SUR LES ENFANTS
L'étude des plans cadastraux a fait apparaître qu'une antique fosse septique correspond au lieu de découvertes des ossements d'enfants. D'où sa conviction – près de 800 enfants morts ont été jetés là – et l'immensité du scandale. Apocalyptique, un rapport sanitaire sur le home daté de 1944 confirme cette hécatombe : un bébé de treize mois végète « dans un état pitoyable, émacié, avec un appétit vorace, et probablement déficient mental ». Des dizaines de« bébés en mauvaise santé, qui ne se développent pas », vivent dans des locaux surpeuplés. La mortalité est effarante : un décès par quinzaine pendant près de quarante ans. Les causes de la mort relevées par 796 fiches d'état civil confirment : Patrick Derrane, âgé de cinq mois, est mort de « gastro-entérite » ; Mary Blake d'« anémie » à trois mois et demi ; Matthew Griffin de « méningite » à trois mois… Dernières révélations de la presse irlandaise : des essais de vaccin auraient été pratiqués sur les enfants des homes dans les années 1960.
Depuis que Catherine Corless possède la liste des enfants, une obsession l'habite : inscrire chacun de leurs noms et dates sur une plaque, près de la fosse commune. « Il faut leur rendre leur identité pour leur donner une voix. » Elevée dans la foi catholique, elle se dit aujourd'hui « non religieuse » :« Je crois qu'il existe une force supérieure qui nous aide à faire le bien. Mais ce n'est pas le Dieu dont l'Eglise me parle. » Sa modeste revendication mémorielle a été engloutie par le flot des réactions suscitées par ses révélations.
A Dublin, des associations de défense des personnes adoptées réclament désormais une enquête de l'ONU pour éviter les pressions de l'Eglise ; un référendum constitutionnel sur le droit d'accès aux origines personnelles est envisagé. Quant à la question des réparations financières, elle n'a pas tardé àaffleurer. « L'Etat doit reconnaître le mal qu'il a fait et s'excuser ; c'est lui qui a placé ma mère et toute sa fratrie dans ce home financé par l'argent public où certains sont morts, sous prétexte que leurs parents étaient indigents », tonne Thomas Garavan, professeur à Edimbourg, qui a bataillé contre les servicessociaux pour se découvrir quatre oncles et tantes cachés, tous anciens de Tuam. Il lutte désormais pour reconstituer son ascendance, brisée par de multiples adoptions forcées.
LES DÉMONS DE SON HISTOIRE REFOULÉE
Après l'immense scandale des prêtres pédophiles et celui, retentissant, des Magdalene Laundries, ces blanchisseries où les « filles perdues » étaient contraintes de travailler gratuitement sous la férule de nonnes pour expier leurs péchés (adapté sur grand écran par Peter Mullan dans The Magdalene Sisters, en 2001), les démons de son histoire refoulée secouent à nouveau l'Irlande catholique. Après leur victoire électorale en 1932, les républicains irlandais se sont appuyés sur la toute-puissante Eglise catholique afin d'asseoir leur pouvoir etcontrôler la société. L'exclusion des filles mères relevait alors de l'évidence morale, non seulement pour les clercs, mais pour les politiques et la population.
Dans un pays où plus d'une naissance sur trois a lieu désormais hors mariage et où la pratique religieuse reste élevée mais décline, les Irlandais ont longtemps détourné leurs regards des femmes et des enfants « bannis ». L'évidence s'est transformée en un immense scandale et les silences gênés en de très dérangeantes questions.
Mes parents , ces êtres aimés qui en nous quittant laissent un vide immense
une vie de labeur , sans cadeau , lui la guerre lui ayant prit un oeil ,il avait vingt ans , elle, vécut en tant que fille ; épouse et soeur les guerres de 1870; 14/18. 40/45. et la guerre d'Algérie, ils furent des exemples de courage
Deux êtres chers
Mon épouse et notre fille, que la société dit différente
L'homme , cette infime partie de la nature qu'il entend gouverner...
De gauche ou de droite les paysans savent la chanter
Si Pascal avait su que sa citation est aujourd'hui force de loi , face au dictât du fric !
« Etrange zèle qui s’irrite contre ceux qui accusent des fautes publiques et non contre ceux qui les commettent » (Les Provinciales
il y a longtemps que les puissants misent sur notre soumission.....
" Les rares personnes qui comprendront le système seront soit si intéressées par ses profits, soit si dépendantes de ses largesses qu’il n’y aura pas d’opposition à craindre de cette classe-là ! La grande masse des gens, mentalement incapables de comprendre l’immense avantage retiré du système par le capital, porteront leur fardeau sans se plaindre et peut-être sans même remarquer que le système ne sert aucunement leurs intérêts » : Rothschild Brothers of London, citant John Sherman, communiqué aux associés, New York, le 25 juin 1863, comme quoi c’est pas nouveau.«
Albert Einstein
«Le monde est dangereux à vivre ! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire.»
LENINE :
le capitalisme ne sera jamais dans une situation absolument désespérée tant que les travailleurs lui permettront de survivre
Louis blanc
«L’égalité n’existe que lorsque chacun produira selon ses forces et consommera selon ses besoins.»
Henry Ford
" Si la population comprenait le système bancaire, je crois qu’il y aurait une révolution avant demain matin" .
VICTOR HUGO
« C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. »
On dit d'un fleuve emportant tout qu'il est violent, mais on ne dit jamais rien de la violence des rives qui l'enserrent
et en parlant de Rosa Luxemburg
"Rosa-la Rouge aussi a disparu Le lieu où repose son corps est inconnu. Elle avait dit aux pauvres la vérité Et pour cela les riches l’ont exécutée."
De Paul Eluard
Vous marchez sans but sans savoir que les hommes Ont besoin d’être unis d’espérer de lutter Pour expliquer le monde et pour le transformer
George Orwell
"Si vous voulez une image du futur, imaginez une botte écrasant - pour l’éternité- le visage d’un homme."
Gandhi, à tous les escrocs en col blanc
"Vivre simplement, pour que simplement d'autres puissent vivre." (Gandhi)
Georges Séguy
Ne nous y trompons pas », avertit l’ancien chef syndical. « La baisse du pouvoir d’achat des salariés et des retraités, les violations des droits du travail, la mutilation de la Sécurité sociale, la privatisation des services publics, les cadeaux faits au patronat, les faveurs fiscales accordées aux plus riches, les atteintes au droit de grève, le soutien de l’État aux restructurations des géants de la finance, de l’industrie et du commerce, la complaisance de l’Élysée envers les Etats-Unis, tout cela ne sort pas de la seule imagination de Nicolas Sarkozy. Il s’agit de la mise en œuvre d’un projet mûrement réfléchi, destiné à inclure dans la mondialisation capitaliste, et sous l’égide des Américains, une France libérée de charges sociales prétendument excessives dont l’a dotée son mouvement social. »
Rosa Luxemburg
"La liberté seulement pour les partisans du gouvernement, pour les membres d’un parti, aussi nombreux soient-ils, ce n’est pas la liberté. La liberté, c'est toujours la liberté de celui qui pense autrement. Non pas par fanatisme de la "justice", mais parce que tout ce qu'il y a d’instructif, de salutaire et de purifiant dans la liberté politique tient à cela et perd de son efficacité quand la "liberté" devient un privilège."
La tâche historique qui incombe au prolétariat, une fois au pouvoir, c’est de créér, à la place de la démocratie bourgeoise, la démocratie socialiste, et non pas de supprimer toute démocratie" (in "La Révolution russe" - 1918).
Mahmoud Darwich
"Nous souffrons d'un mal incurable
qui s'appelle l'espoir"
Saint Just: a toujours raison plus de 220 ans plus tard ...........
Quand tous les hommes seront libres, il seront égaux; quand ils seront égaux, ils seront justes.
Les monts d'Ardèche
Pourtant que la montagne est belle ..............Jean Ferrat
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De moi !sans aucune prétention
SAURAS TU
Homme pétris de vanité, Sauras tu Faire taire le canon et les hostilités Homme fou d’argent Sauras tu Tourner le dos à ta cupidité Homme riche de ta diversité Sauras tu Te ressaisir ,réfléchir et réparer Sauras tu Comprendre notre terre Qui, t’ayant porté et protégé Pendant des millénaires Aujourd’hui par ta faute Court de grands dangers Homme de sagesse Sauras tu Travailler à inventer Pour demain et après demain Un monde où règnera la générosité Sauras tu A force de persévérance Faire triompher la solidarité Pourras tu , enfin Regarder l ‘avenir d’un œil serein Et Construire une société pleine d ‘HUMANITE
J C Depoil
Narbonne
Narbonne affiche son passé de lutte et imprime dans la pierre sa mémoire collective
Enfin libre , Salah Hamouri , dorénavant parlons de sa séquestration au passé
La France ne doit pas se soumettre à ce gouvernement extrémiste Israëlien , et exiger la fin de ces internements au mépris du droit ; Vive la Palestine libre
Stèle de Louise Michel à Vroncourt la côte
Ce tout petit village inconnu du grand public , a connu enfant cette immense révolutionnaire anarchiste,grande figure de la Commune de Paris , de nouvelle Calédonie ,son lieu de détention , elle a su passer toutes ses épreuves et devenir une femme au destin international....
ESPOIR PAR L'IMAGE
Une image que mon fils ainé m'a fait parvenir ; cette image ,c'est beau plein d'espoir; que la vie pourrait être belle sans ces extrémistes qui aujourd'hui se déguisent en êtres humains normaux
LUTTER
A quoi sert de lutter Sinon avancer A quoi sert de lutter Sinon réparer A quoi sert de lutter Sinon ensemble, gagner et partager A quoi sert de lutter Sinon garantir A nos jeunes un avenir A quoi sert de lutter Sinon réveiller Les consciences endormies A quoi sert de lutter Sinon combattre l'injustice A quoi sert de lutter Sinon faire vivre les solidarités Lutter, lutter..... Et si, lutter c'était aussi EXISTER
JC Depoil
le "gilet de bleu"
Symbole de la peine pour le paysan et l'ouvrier si je devais choisir un drapeau ce serait celui-là
Une de mes passions, la rando en montagne avec mon épouse,réveil au dessus des nuages
Dans les Pyrénnées , le matin lors de l'un de nos bivouacs ( c'est beau reposant et , déconnecté de la civilisation!
Une autre de mes passion , LA PHOTO
Une des portes de Carcassone
L'université Corse à Corté
Le drapeau Corse flotte sur le mur de la seule université Corse crée pendant les 19 années de son indépendance , la Corse ce lieu magique que nous avons visité avec mon épouse et ma fille.Un lieu chargé d'histoire ,un lieu ou l'homme a pris , prend et prendra encore son destin en main
La vie s'accroche partout
Cette plante endémique que j'ai photographié sur le chemin de la mâture , dans les pyrénnées occidentales, ce chemin construit à la sueur des hommes pour acheminer les mâts des bateaux de la marine royale , beaucoup y ont trouvé la mort
Le pont du Gard
merveille pour les yeux du touriste contemporain, on oublie trop facilement que des centaines d'esclaves ont trimé et pour certains laissé leur vie pour l'un des plus beaux monuments qui nous reste de l'empire romain
Une mésange
Comme l'oiseau sur la branche , l'homme se bat contre un système dont peu ont compris que l'argent en était le moteur et l'être humain le carburant!
La Martinique
Il est 6 h ce matin là ,Bernadette goûte au charme tranquille de cette plage , au fond , au pied de la colline s'élève un monument à la mémoire des esclaves dont un des bateaux qui les emmenaient sur le lieu de leur misère ,a fait naufrage
Village d'Ardèche en automne
La beauté de ces villages font presque oublier, qu'en France nombres de gens ne peuvent se loger correctement, pourtant si notre devise était appliquée que le peuple vivrait heureux!
Paysage du Morvan
N'y vient que mauvaises gens et mauvais vent "disaient les bourgeois , il est vrai que ma région de naissance a la particularité d'enfanter des hommes au caractère bien trempé , l'usine du Creusot a longtemps embauché des morvandiaux qui sont loin de s'être laisser faire!
En Ardèche le paysage merveilleux que nous offre la nature
comme un ultime clin d'oeil avant de s'endormir pour plusieurs mois la nature nous démontre dans un artifice de couleurs ,qu'elle déçide de tout ,l'homme n'en étant qu'un tout petit maillon, même si il se prend pour plus important qu'il n' est!
Le train jaune
Il dessert les petites communes des Pyrénées orientales , devient l'image emblématique de cette région , alors que dans le reste de la France toutes les voies secondaires de la SNCFsont en passe de devenir impraticables!
Nénuphar
Photo prise au cours de l'un de nos nombreux arrêts sur la route des pyrénnées , images de tranquillité , de sérénité ,dans un monde de plus en plus dur
Des Chevaux en estives (pyrénnées atlantiques
sensation de liberté ,ou pourtant l'homme est omnipresent , sans paysans : pas de telles images mon appareil crépitera encore longtemps pour montrer la trace humaine et paysanne dans les plus merveilleux paysages
Cromlech(pyrénées atlantiques)
Monument d'éternité , la beauté sauvage que l'homme moderne se fait un malin plaisir à détruire
comme l'oiseau
vol au dessus de l'Ardèche ;sans argent les gens regardent et se donnent ainsi l'impression d'exister , n'est ce pas Hulot?
Jean Jaurès
Sur une place du centre ville de Carmaux ,statue du député assassiné pour avoir lutter pour la paix
A Moulins Rassemblement à l'appel de la FDSEA03
Devant la Préfecture 03
pendant que certains s'engraissent les autres trinquent!
les moutons avaient quitté leur douillette bergeriepour témoigner de notre detresse
l'équipe FDSEA qui a affronté les ultralibéraux qui détiennent la chambre d'agriculture
déclaration universelle des droits de l'homme
Article premier
Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité.
Article 2
1.Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation. 2.De plus, il ne sera fait aucune distinction fondée sur le statut politique, juridique ou international du pays ou du territoire dont une personne est ressortissante, que ce pays ou territoire soit indépendant, sous tutelle, non autonome ou soumis à une limitation quelconque de souveraineté.
Article 3
Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.
Article 4
Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude; l'esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes.
Article 5
Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.
Chacun a le droit à la reconnaissance en tous lieux de sa personnalité juridique.
Article 7
Tous sont égaux devant la loi et ont droit sans distinction à une égale protection de la loi. Tous ont droit à une protection égale contre toute discrimination qui violerait la présente Déclaration et contre toute provocation à une telle discrimination.
Article 8
Toute personne a droit à un recours effectif devant les juridictions nationales compétentes contre les actes violant les droits fondamentaux qui lui sont reconnus par la constitution ou par la loi.
Article 9
Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu ou exilé.
Article 10
Toute personne a droit, en pleine égalité, à ce que sa cause soit entendue équitablement et publiquement par un tribunal indépendant et impartial, qui décidera, soit de ses droits et obligations, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle.
Article 11
1. Toute personne accusée d'un acte délictueux est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d'un procès public où toutes les garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées. 2. Nul ne sera condamné pour des actions ou omissions qui, au moment où elles ont été commises, ne constituaient pas un acte délictueux d'après le droit national ou international. De même, il ne sera infligé aucune peine plus forte que celle qui était applicable au moment où l'acte délictueux a été commis.
Article 12
Nul ne sera l'objet d'immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d'atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes.
1. Toute personne a le droit de circuler librement et de choisir sa résidence à l'intérieur d'un Etat. 2. Toute personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays.
1. Devant la persécution, toute personne a le droit de chercher asile et de bénéficier de l'asile en d'autres pays. 2. Ce droit ne peut être invoqué dans le cas de poursuites réellement fondées sur un crime de droit commun ou sur des agissements contraires aux buts et aux principes des Nations Unies.
Article 15
1. Tout individu a droit à une nationalité. 2. Nul ne peut être arbitrairement privé de sa nationalité, ni du droit de changer de nationalité.
Article 16
1. A partir de l'âge nubile, l'homme et la femme, sans aucune restriction quant à la race, la nationalité ou la religion, ont le droit de se marier et de fonder une famille. Ils ont des droits égaux au regard du mariage, durant le mariage et lors de sa dissolution. 2. Le mariage ne peut être conclu qu'avec le libre et plein consentement des futurs époux. 3. La famille est l'élément naturel et fondamental de la société et a droit à la protection de la société et de l'Etat.
Article 17
1. Toute personne, aussi bien seule qu'en collectivité, a droit à la propriété. 2. Nul ne peut être arbitrairement privé de sa propriété.
Article 18
Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le culte et l'accomplissement des rites.
Article 19
Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit.
Article 20
1. Toute personne a droit à la liberté de réunion et d'association pacifiques. 2. Nul ne peut être obligé de faire partie d'une association.
Article 21
1. Toute personne a le droit de prendre part à la direction des affaires publiques de son pays, soit directement, soit par l'intermédiaire de représentants librement choisis. 2. Toute personne a droit à accéder, dans des conditions d'égalité, aux fonctions publiques de son pays. 3. La volonté du peuple est le fondement de l'autorité des pouvoirs publics ; cette volonté doit s'exprimer par des élections honnêtes qui doivent avoir lieu périodiquement, au suffrage universel égal et au vote secret ou suivant une procédure équivalente assurant la liberté du vote.
Article 22
Toute personne, en tant que membre de la société, a droit à la sécurité sociale ; elle est fondée à obtenir la satisfaction des droits économiques, sociaux et culturels indispensables à sa dignité et au libre développement de sa personnalité, grâce à l'effort national et à la coopération internationale, compte tenu de l'organisation et des ressources de chaque pays.
Article 23
1. Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage. 2. Tous ont droit, sans aucune discrimination, à un salaire égal pour un travail égal. 3. Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu'à sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s'il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale. 4. Toute personne a le droit de fonder avec d'autres des syndicats et de s'affilier à des syndicats pour la défense de ses intérêts.
Article 24
Toute personne a droit au repos et aux loisirs et notamment à une limitation raisonnable de la durée du travail et à des congés payés périodiques.
Article 25
1. Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l'alimentation, l'habillement, le logement, les soins médicaux ainsi que pour les services sociaux nécessaires ; elle a droit à la sécurité en cas de chômage, de maladie, d'invalidité, de veuvage, de vieillesse ou dans les autres cas de perte de ses moyens de subsistance par suite de circonstances indépendantes de sa volonté. 2. La maternité et l'enfance ont droit à une aide et à une assistance spéciales. Tous les enfants, qu'ils soient nés dans le mariage ou hors mariage, jouissent de la même protection sociale.
Article 26
1. Toute personne a droit à l'éducation. L'éducation doit être gratuite, au moins en ce qui concerne l'enseignement élémentaire et fondamental. L'enseignement élémentaire est obligatoire. L'enseignement technique et professionnel doit être généralisé ; l'accès aux études supérieures doit être ouvert en pleine égalité à tous en fonction de leur mérite. 2. L'éducation doit viser au plein épanouissement de la personnalité humaine et au renforcement du respect des droits de l'homme et des libertés fondamentales. Elle doit favoriser la compréhension, la tolérance et l'amitié entre toutes les nations et tous les groupes raciaux ou religieux, ainsi que le développement des activités des Nations Unies pour le maintien de la paix. 3. Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d'éducation à donner à leurs enfants.
Article 27
1. Toute personne a le droit de prendre part librement à la vie culturelle de la communauté, de jouir des arts et de participer au progrès scientifique et aux bienfaits qui en résultent. 2. Chacun a droit à la protection des intérêts moraux et matériels découlant de toute production scientifique, littéraire ou artistique dont il est l'auteur.
Article 28
Toute personne a droit à ce que règne, sur le plan social et sur le plan international, un ordre tel que les droits et libertés énoncés dans la présente Déclaration puissent y trouver plein effet.
Article 29
1. L'individu a des devoirs envers la communauté dans laquelle seule le libre et plein développement de sa personnalité est possible. 2. Dans l'exercice de ses droits et dans la jouissance de ses libertés, chacun n'est soumis qu'aux limitations établies par la loi exclusivement en vue d'assurer la reconnaissance et le respect des droits et libertés d'autrui et afin de satisfaire aux justes exigences de la morale, de l'ordre public et du bien-être général dans une société démocratique. 3. Ces droits et libertés ne pourront, en aucun cas, s'exercer contrairement aux buts et aux principes des Nations Unies.
Article 30
Aucune disposition de la présente Déclaration ne peut être interprétée comme impliquant pour un Etat, un groupement ou un individu un droit quelconque de se livrer à une activité ou d'accomplir un acte visant à la destruction des droits et libertés qui y sont énoncés.
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