Je voudrais que mes touches d'ordinateur soit autant de fer qui de leur impulsion les marquent au fer rouge la détresse paysanne , pour qu'à chacune de leur toilette ( car il faut paraître c'est le plus important!) ils voient ces gens (qui ne sont plus là) leur dire et dans les yeux , , vous êtes TOUS responsables .
jeudi 17 février 2011
C'en est trop , cette fois la, elle est pleine, la détresse humaine ne doit plus tuer
C'en est trop , cette fois là elle est pleine , la campagne saigne , le paysan souffre , mais en silence , se tue .
Cette lettre est l'adressée au locataire de l'Élysée ,au premier ministre , au ministre de la santé , au ministre de l'agriculture ,à tous le élus locaux , députés, sénateurs conseillers régionaux et conseillers généraux car tous sans exception sont responsables pour cela je trempe ma plume dans le sang de ces disparus , dans le marigot de la misère , dans le désespoir rural, dans les larmes des pères , des mères , des enfants , des proches , des amis, des voisins , des collègues de ceux qui ont décidé d'en finir.
Non , cela devient insupportable , tous sont concernés , du premier ministre , au conseiller général, si ils avaient un minimum d'humanité ils devraient réagir , à mon grand désespoir , ce n'est pas le cas , j'ai bien entendu cet élu local , affirmer que nous étions à la FDSEA03 des hommes dépassés, que j'étais un homme du passé , oui mesdames messieurs, je suis un homme qui a beaucoup d'estime pour les combattants de la liberté pour les combattants pour la dignité humaine qui se sont battus pour les droits de l'homme et qu'aujourd'hui vous jetez en pâture à ces chiens de financiers ,qui avec leur « ratios »tuent ,
Aujourd'hui y compris dans ce département , je cherche les responsables qui vont nous aider : du préfet au président du conseil général , aux députés , aux sénateurs : silence , pourtant TROIS NOUVEAUX suicides ont eu lieu ces deux dernières semaines , nous avons depuis plus de trois ans taper à toutes les portes ,rien , et aujourd'hui : l'hécatombe
En 2007 j'ai écris une lettre ouverte à madame Bachelot , aujourd'hui toujours sans réponse!
Vous rendez vous compte , trois paysans ou paysannes - car il y a une femme de paysans cette fois ci ,elles souffrent tout autant et peut être plus - qu' en deux semaines sur un même département mettent fin à leurs jours et cela laissent de marbre tous ceux qui ont une parcelle de décision politique!
Avec notre psychothérapeute , Nadine Chevalier , nous avons frappé à toutes les portes pour que dans l'urgence on nous débloquent des fonds afin au moins d'aider ceux qui en font la demande , à ce jour rien . Combien de morts nous réservent les semaines à venir ? Ha! c'est vrai ,j'oubliais la campagne électorale pour les cantonales mérite mieux que ces manants qui, dégoutés se pendent!
Je voudrais que mes touches d'ordinateur soit autant de fer qui de leur impulsion les marquent au fer rouge la détresse paysanne , pour qu'à chacune de leur toilette ( car il faut paraître c'est le plus important!) ils voient ces gens (qui ne sont plus là) leur dire et dans les yeux , , vous êtes TOUS responsables .
Je voudrais que mes touches d'ordinateur soit autant de fer qui de leur impulsion les marquent au fer rouge la détresse paysanne , pour qu'à chacune de leur toilette ( car il faut paraître c'est le plus important!) ils voient ces gens (qui ne sont plus là) leur dire et dans les yeux , , vous êtes TOUS responsables .
A tous les syndicats , ouvriers ou paysans , je leur dis : « unissons nous car chacun à notre place ,nous voyons les nôtres souffrir , mourir , tous travaillons pour gagner notre vie , et engraisser ces spéculateurs , il est tant que chacun se lèvent et disent :STOP le drame n'a que trop duré »
A vous mesdames , messieurs, élues, élus , accrochés à vos avantages comme le chien à la culotte de l'intrus je vous dis « certains meurent , ceux qui restent les pleurent mais demain les comptes,vous les rendrez ».
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1 commentaire:
Indignes-toi,
indignons-nous,
Indignez-vous...
mais comment peut-on dicter l'impératif de notre conjugaison sans en avoir au préalable conjugué le présent de l'indicatif :
Je m'indigne !
... de cette indignité ilencieuse à la peine et au désepoir.
... de cette indignité des pouvoirs qu'ils disent d'autant plus "publics" qu'ils les asservissent à leur seul profit.
... de cette indignité du silence complice et coupable des masses asservies.
Mais la dignité ne se gagne pas au prix de l'indignation, simple manifestation de la désapprobation commune, elle n'est à portée que de la lutte et du vrai combat politique qui pose au moins l'interdit d'embrasser un préfet de Sarkozy.
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